segunda-feira, 21 de março de 2011

La Ligne Verte : entre la mer et la nature.

Nous sommes à Salvador, la capitale de l’état de Bahia, ancienne capitale du Brésil. Nous avons prix un vol de Sao Paulo, avec l’intention de découvrir un peu sur une des villes les plus anciennes du Brésil. En famille, nous avons parcouru les coins plus connus de Salvador, et ensuite, nous sommes partis vers le sud de l‘état, pour passer quelques jours à Morro de Sao Paulo et Boipeba.

De retour à Salvador, nous avons loué une voiture pour partir vers le Nord cette fois ci. Rien n’empêche qu’on puisse faire le contraire, prendre un vol jusqu’à la capitale de l’état de Sergipe, Aracaju, et descendre en direction de Salvador.

Ce qui nous attendait : 230 km de plages entre Salvador et Mangue Seco, déjà dans l’état de Sergipe. Vers l’autoroute BA-009, appelé la route de la Noix de Coco (Estrada do Coco) jusqu’à la Plage du Fort, ou elle devienne la Ligne Verte.

Parallèle aux plages, la route demande une promenade tranquille et intuitive. Nous avons parcouru deux plages par jour pendant une semaine, en nous laissant guider toujours selon nos envies du moment.

Le matin on a découvert la plage d’Arembepe. Son petit village Hippie nous à séduit par son charme de communauté des années 70, encore peuple par les sympathisantes de ce mode de vie. Reposer dans un lac entre les arbres à la noix de coco, en entendant le bruit de la mer et se relâcher: un rythme qu’on ne se permet presque jamais…

En arrivant à la plage du Fort, on a profité pour visiter le projet TAMAR, destiné à la préservation des tortues marines. En accompagnant les œufs depuis la plage jusqu’à la naissance des toutes petites, le projet conscientise la population que les tuait avant, a devenir aussi des protecteurs d’un animal si important pour le cycle de la vie. Le plus : nous avons eu la chance d’arriver à la mare baisse, ce que veut dire contempler et profiter de piscines naturelles qui se forment au bord de la mer, avec l’eau verte transparente plein de poissons colorés. Un spectacle pour les enfants, et les adultes plus sensibles, accessibles à tous.

Comme hébergement, nous avons choisi de ne pas trop planifier. Au mois de juillet c’est la baisse saison, et on trouve ou s’héberger facilement. Alors, si vous préférez voyager avec réservation en avance, on y trouve pour tous les gouts et tous les poches, des hôtels très étoilés ou pas sont innombrables sur la Ligne Verte.

L’aventure de s’arrêter quand on a envie, de prendre une route pour vérifier la fin, de se perdre au milieu du sable, c’est le gout de la vie, de l’imprévisible, d’où quelques touches d’improvisation sont demandés, ce qui rend le voyage riche et inoubliable.

Imbassai, avec son petit village et ses plages préservés nous a enchanté, ainsi que Massarandupio, avec ses fortes vagues et ses dunes jaunes, qui est aussi une plage Naturiste.

Entre guides locales, nous avons découverts des lacs tranquilles cachés entre une plage et autre, pour arriver finalement à Mangue Seco, presque dans la frontière avec Sergipe.

Mangue Seco demande une bonne promenade, et nous avons trouvé un auberge écologique au milieu de la foret, d’où on entendait le petits singes tôt le matin.

La plage, scenario d’une histoire de l’écrivain Jorge Amado, est entouré des dunes, arbres à la noix de coco et petits restos au bord de la mer avec ses hamacs à l’ombre. La bonne cuisine peut être aussi dégusté : pourquoi pas une Casquinha de siri au bord de la mer ? La chair du crabe bien assaisonnée avec de l’ail, l’oignon, du persil ou coriandre si vous préférez, dans une texture crémeuse, servis sur une coquillage. A vous d’imaginer et déguster sur place…

Depuis ce beau voyage, le retour a été aussi très sympathique, plein de surprises et enchantement du contact avec la nature et le peuple locale. Les vacances d’été que s’approchent, et l’envie de calme, et la brise chaude…

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