domingo, 11 de dezembro de 2011

Sao Paulo à Noel : lumière pour chauffer le cœur.





Tous les ans, la fin de l’année coïncide avec les fêtes les plus chaleureuses : une chaleur d’espoir, d’union et de communion. Une fête qui commence à Sao Paulo au début du mois de décembre, pour célébrer pendant le mois entier la naissance symbolique de quelque chose de nouveau dans nos vies, de la joie des regards des enfants dans la nuit de Noel, au espoir des adultes de retrouver des jours pleinement vécus, avec le début d’encore une année.

La lumière continue a être la représentation de ce sentiment toujours renouvelée à cette époque de l’année, alors je vous choisi un petit menu de nouveautés proposés dans ma belle ville par rapport à l’année dernière. .
L’ouverture officiel a été le 2 décembre, avec une célébration à la cathédrale Sé, accompagné par un concert da la Symphonique Heliopolis(une intervention éducative dans cette favela de la ville) et du chœur « da gente ». Depuis cette date, plusieurs attractions ont été activés et la ville restera décoré jusqu’au 6 janvier 2012.

Cette année, une des nouveautés est la grande arbre de la zone lest, une arbre de 54 mètres (l’équivalent à un bâtiment de 17 étages), qui fera briller les pupilles des habitants de Tiquatira, dans le quartier de la Penha et les visiteurs des environs.

La Place Charles Miller a reçu l’installation d’une énorme crèche et recevra des projections monumentales inspirés à l’histoire de Noel. Au même endroit se déroulera aussi la représentation du ballet «  Le casse-noix » de la Cie Cisne Negro, en pleine air pour la toute première fois (le 3 et le 21 décembre, à 20h15).

Déjà traditionnelles à cette époque, l’arbre du Parc de l’Ibirapuera et les présentations des jeux d’eaux seront encore plus beaux cette année. Deux présentations gratuites par jour, à 20h30 et à 21h, feront la joie des admirateurs des spectacles.

Plusieurs rues de la ville sont illuminés dans un partenariat de la mairie avec des entreprises privés, et de promenades accessibles à toutes et à tous peuvent être réalisés par autocars et même par métro, qui propose un itinéraire curieux.
Le Parc du Peuple propose une programmation qui plaira surtout les enfants pendant les weekends de décembre. Une représentation spéciale aura lieu les 10, 11, 17 et 18 décembre : des artistes de cirque représenteront « Un compte de Noel » pour la joie de petits et des grands qui aiment l’esprit de Noel.

Mais si finalement vous cherchez une promenade plus personnalisé, vous retrouverez avec la sympathique équipe du Cicerona un accueil et une disponibilité surprenante. Digne de cet esprit qui on sent dans l’air, le toujours nouveau esprit de Noel…

sexta-feira, 25 de novembro de 2011

Toledo ou Tolède : au cœur de l’Espagne, et sur les montagnes.


                                           photo : http://thebesttraveldestinations.com/

Un endroit éternellement protégé par les murailles qui gardent une ville charmante et pleine de vie. Je vous présente Toledo, ville espagnole situé à moins de 90 kilomètres de la capitale, Madrid. Construite sur une colline de vue fantastique, cette ville a une histoire très intéressante, qui peut être imaginé quand on circule à l’intérieur de la ville forteresse.

Les romains qui ont fondé la ville en 192 a.c. sont aujourd’hui représentés que par des ruines retrouvés dans la ville. Vers les années 596 de l’ère chrétienne, elle est devenue la capitale des visigots, jusqu’à 711, quand la bataille de Guadalete l’a changé encore des mains, cette fois ci pour les Musulmans.

Des disputes diverses, toujours autour des questions de foi, ont crée une atmosphère très particulière à cette ville fortifié qui a maintenu le poids de l’histoire très marqué par des batailles.

Quand on circule dans ses rues, on mont les collines, on traverse les ruelles, on partage avec les murs l’étonnement d’une ville de plusieurs visages, une ville qui a témoigné l’indignation d‘un peuple.

Jusqu’à nos jours elle est encore réputée par la production de produits aciers et couteaux. La technique - appris avec les perses et musulmans - est acessible dans les boutiques de la ville où ont peut les admirer - et même des épées - , et les acheter si on veut.

La ville peut être accédé de diverses façons. Actuellement il y a un TGV qui fait le parcours à partir de Madrid en 20 minutes. Ainsi, après avoir pris un vol jusqu’à la capitale, vous pouvez rejoindre la ville par train, mais aussi par voiture.

Les attractions architectoniques de la ville sont de couper le souffle. Commencez déjà les vues panoramiques accessibles de plusieurs points de la ville, et aussi de son extérieur, d’où on peut admirer la beauté de la forteresse et la magnitude des ses murs en fusion de couleurs avec la terre et le ciel.

Pendant une période, Tolède avait une grande tolérance religieuse, en accueillant dans la ville des juifs, des chrétiens et des musulmans, jusqu’à l’époque de la Reconquête, quand les juifs et musulmans qui ne se sont pas converti ont été expulsé de la ville. Heureusement la ville a gardé encore des monuments construits qu’on peut visiter : la synagogue Santa Maria La Blanca et la synagogue del Transito, des magnifiques bâtiments de style mudéjar; ainsi que la Mosquée del Cristo de la Luz, qui a participé d’un épisode intéressant avec « El Cid » pendant la reconquête chrétienne.

Et pour continuer a déchiffrer ce circuit éclectique des fois, la Cathédrale Sainte Marie de Tolède, patrimoine mondiale de l’Unesco, mérite d’être visité. Elle a été construite en style gothique français à l'emplacement du temple d'origine musulmane, un autre bâtiment témoin des conflits de foi.

Une ville si belle et porteuse d’une histoire si vaste, offre aussi le meilleur de la cuisine espagnole. Prendre un bon gaspacho et une délicieuse Tortilla assi sur un restaurant de la ville fait voyager dans le temps… et pourquoi pas maintenant ?

Les vacances d’hiver s’approchent, rien que trouver un vol pas cher et y aller, pour plus jamais l’oublier…

quarta-feira, 23 de novembro de 2011

Le musée Ipiranga, les portes de l’histoire d’une ville.


                                            photo : http://www.omelhordobairro.com.br/

Une belle journée libre peut bien se transformer en cours d'histoire du Brésil et une promenade enrichissante par les jardins du Parc de l’Indépendance. Tout seul, en couple, ou en famille, le musée de l'Ipiranga - Musée Paulista - est plein de curiosités à être découvertes. Le musée Paulista a été construit dans un endroit très spécial. En 07 septembre 1822, la région du quartier Ipiranga a témoigné l'indépendance du Brésil. D.Pedro I, selon l'histoire qu'on apprends à l'école, a déclaré comme prince de la colonie de Portugal :"Indépendance ou mort", et a changé l'histoire des deux pays en les séparant.

La construction du musée à cet endroit a été finalisé au premier anniversaire de la République, le 15 novembre 1890. Réalisé pendant 6 ans, par un architecte et ingénieur italien, la construction s'est inspiré par les œuvres de la Renaissance, dans un style éclectique plein de décors et luxe.

Le jardin, qui peu nous rappeler des jardins européens, a été d'abord fait par un paysagiste belge en 1909, remplacée en 1920 par le jardin qui se maintient jusqu'à nos jours. Une promenade qui plonge dans l'histoire de la ville et du pays est proposé par l'équipe du Cicerona Cultura, qui peut vous présenter les curiosités et les secrets d'une époque pleine de transformations.

Aujourd'hui, le musée est le plus important de l'Université de Sao Paulo, qui exécute des recherches et approfondi de plus en plus les connaissances de l'époque de l’indépendance à partir des œuvres d'art, mobilier et objets liés aux évènements historiquement importants de cette période.

Le musée, qui est l'un de plus visités de la ville - possède plus de 125 mil pièces qui servent comme matériel de recherche à la compréhension de la société brésilienne, surtout de la société "paulista".Des sculptures, des peintures, des bijoux, des meubles et des documents (qui incluent des ustensiles des indiens et des "bandeirantes", qui parcouraient le pays et ses forêts) sont utilisés dans les recherches des articles datés entre les siècles XVI et XX.

Les "Bandeirantes" illustrés sur les murs du musée ont été les responsables pour la vrai "découverte" du Brésil, dans son immensité. Le pays a été connu, les indiens chassés et l'or est parti par les chemins ouverts à l'époque, une histoire polémique et tortueuse. Il y a même un escalier qui fait hommage aux hommes qui ont déchiffré le Brésil.

Tout est là, il faut juste aller voir. Bonne promenade!

segunda-feira, 21 de novembro de 2011

Paraty : un patrimoine naturel, architectonique et historique à Rio.


                                                       photo : http://travellerspoint.com/
Il y a quelques temps je vous parlai du littoral sud de l'état de Rio de Janeiro. Et si on continuait dans la même direction ?

Pour arriver dans la ville de Paraty, le trajet d'avion est pareil, le plus simple c'est de prendre un vol direction Rio et d’y atteindre la ville en voiture. Imaginez qu'en sortant de l'île Grande, proche de l' Angra dos Reis, vous prenez encore l'autoroute Rio-Santos. A 95 kilomètres de Angra, ce trouve une ville très agréable, une ville que promet encore plus que de belles et tranquilles plages.
Paraty est un des destins les plus charmants de la cote du Brésil, est aussi un des plus complets. Peuplé à sa naissance en 1531 par les indiens Guaianazes, la ville dont le nom signifie "poisson de fleuve" a réussi a conserver des traditions d’une façon qu’on voit pas beaucoup dans les villes de nos jours. Peut être pour cette raison, la ville possède les titres de Monument Historique de l'état (depuis 1945), Patrimoine historique et artistique nationale (depuis 1958) et Monument Historique nationale (depuis 1966).
On peut connaître l'histoire et admirer les constructions du centre ville très bien conservés; marcher sur ses trottoirs en pierre et observer ses maisons coloniales, ses cafés, bistrots et ateliers d'art. Les fenêtres coloriés, les portes en bois massif et les églises vous montrerons un peu de l''histoire de cette ville qui possédait le plus important port d'exportation d'or qui venait de Minas Gerais; ensuite de café et cachaça. Quand la route a changé par la construction d'une ligne de train qui liait Sao Paulo et Rio, par la vallée du Paraiba, la ville a souffert une décadence et un isolement involontaire. Isolement qui l'a permis de se conserver tel qu'elle était, jusqu'à nos jours.
La ville témoigne un phénomène très intéressant : pendant certains périodes de l'année, l'eau de la marée monte et inonde les rues, qui ont été projetés pour cela. Les maisons ont été aussi construites de façon a être protégés du phénomène, qui arrive pendant les premiers jours de pleine lune. L'eau de la mer traverse et lave la ville, qui change de décor avec les canoës qui circulent.
L'eau vient vraiment bénir cette ville qui protège, grâce à la préservation de la forêt atlantique, plus de 65 plages, accessibles seulement par bateau. La plongée est un autre moyen d'admirer la nature si généreuse de la région, en nageant dans cette eau verte émeraude sur la compagnie des jolies poissons coloriés qui curieusement viennent auprès des plongeurs.
L'authenticité est la preuve de la conservation d'une ville rustique et accueillante, qui peut être parcouru de plusieurs façons. Par bateau, des promenades vous amèneront aux plages et aux îles, ainsi que aux cascades par les promenades écologiques. Mais si vous cherchez un autre rythme pour découvrir ses secrets, les promenades à pied vous amèneront à des coins presque inconnues gardés par la forêt atlantique.
C'est à Paraty que le FLIP - Festival Littéraire Internationale de Paraty - est né. Cet événement l'a transformé dans une ville littéraire, qui reçois des écrivains qui viennent échanger et partager ses œuvres, ses styles, ses passions. Encore une raison de connaître cette ville, que peut certainement vous garder encore des surprises. D'ici a la prochaine édition, qui aura lieu de 04 à 08 juillet 2012, vous auriez du temps pour trouver un vol pas cher jusqu'à Rio et plus jamais oublier l'ambiance de cette superbe ville.

quinta-feira, 17 de novembro de 2011

Sao Paulo : la musique et la culture accessible à tous.



                                               photo: http://visitesaopaulo.com/

Sao Paulo est une ville qui ne s’arrête jamais. Dans l’interminable pulsation d’une métropole, elle donne vie à un nouveau événement à chaque 6 minutes.

Avec autant de choix, la ville réserve un plus : des superbes attractions gratuites.

Dans le cadre musical, le « choro », variété musicale déjà visité sur mon blog, est à la fois une invitation à un voyage au passé de la ville et au plaisir d’une découverte musicale.

Le groupe « Choro da casa » se présente au theatre Coletivo tous les jeudis jusqu’au 24 novembre. Cette année chaque présentation comptera avec des invités spéciaux. Formé par des musiciens avec une grande experience en « choro », et ses nuances qui rappelent la gafieira, la samba, le baiao et d’autres rythmes. Ne ratez pas si vous etes dans la ville ce jours -ci. Le theatre ce trouve au 1623 de la rue Consolaçao, et commence à 21h00.
Alors, un vendredi romantique à deux ou en famille demande la visite à la maison de « Trovadores Urbanos », ou vous pouvez découvrir le mélange de théâtre, musique et poésie qui était une façon à l’ancienne de déclarer l’amour. Vous allez vous passionner pour ce cadeau unique offert par cette ville de contrastes. Rendez-vous à 20h à la rue Aimberé, 651, au quartier de Perdizes. Quelqu’un pour vous accompagner et vous permettre d’être plus à l’aise ? Contactez l’équipe du Cicerona
Alors, il y a aussi de très intéressantes options à ceux qui s’interessent par l’univers des amérindiens : l’exposition « Artefatos Indigenas » et « Harald Schultz - Regard Anthropologique ».

La première exposition a lieu au « Pavilhao de cultures brésiliennes », au Parc Ibirapuera. Présenté comme l’art, elle propose un regard ouvert à culture indigène. Valorise les artefacts pas seulement comme de l’artisanat avec son contenu culturelle traditionnel et la signification de l’acte de faire, mais aussi comme une nouvelle acquisition dans l’introduction de matériaux modernes, sans perdre l’arrière plan de maintenir et valoriser les traditions des chaque tribu représenté dans l’exposition.

Vous allez avoir un bon approche par 270 œuvres, des tribus Wajãpi, Galibi, Palikur, Karipuna, Galibi-Maworno, Tiriyó, Kaxuyana, Wayana, Aparai, Asurini, Kayapó e Kayapó Xikrin, toutes de la région amazonienne de l’état du Para, Amapa et Mato Grosso. Rendez-vous à partir de 9h, du mardi au dimanche, jusqu’à 8 janvier 2012.

Sur le même sujet, le regard d’un photographe est montré à l’intérieur de l’état de Sao Paulo. Vous pouvez faire une promenade aussi jusqu’à la ville de Tupa, ou se trouve le musée India Vanuire ou se trouve l’exposition de photos qui registrent le quotidien des enfants indigènes, faites depuis 30 ans par Harald Schultz. Il se trouve au 521, rue des Coroados, au centre de Tupa, de 9h à 17h.

Des bons plans tracés, mais toujours besoin d’une bonne compagnie pour guider et enrichir la promenade, contactez l’équipe du Cicerona Culture… Bon séjour à Sampa !

terça-feira, 15 de novembro de 2011

Coimbra et ses belles ruelles



                                           photo: http://coimbrahostel.blogspot.com/
L’arrivée à cette belle ville, au cœur de Portugal, environ 200 km loin de Lisbonne m’a beaucoup marqué. Nous sommes arrivés en voiture, après avoir traversé les courbes de la Serra da Estrela, et nous avons rencontré des ruelles si étroites comme j’ai n’avais jamais vu auparavant. Des ruelles, une après l’autre, comme dans un film ancien, quand les seuls moins des transports étaient les chars et les chevaux.

En arrivant à l’hôtel, une place très sympathique nous invitait à une promenade nocturne; et avec la brise chaude d’été nous sommes parti prendre l’air.

Coimbra possède son propre aéroport pour ceux qui préfèrent prendre un vol, vue qu’il faut au moins trois jours pour y arriver tranquillement en voiture, par les autoroutes. En partant de Paris, vous trouverez certainement des compagnies aériennes qui font le trajet.

La journée suivante s’annonçait longue, sous une grosse chaleur. Les montées ont mis à l’épreuve l’esprit sportif du notre groupe, mais les coins les plus sympathiques demandaient cet effort. L’église Sé Velha, en style romain s’imposait sombre et vivante au même temps, comme si ses murs pouvait raconter l’histoire des années témoignés par cet œuvre.

En traversant la rue, nous avons visité une des premières universités européennes, la première en Portugal : l’Université de Coimbra.

Jusqu’à nos jours, Coimbra maintient une ambiance jeune et politisé grâce à l’université et aux étudiants qu’y vivent. Cette reconnue université compte 21000 étudiants et la plus grande et la plus ancienne association d’étudiants du pays. Probablement pour cette liaison, la ville aura très bientôt le premier Tribunal Universitaire Européen. Comme ville universitaire, Coimbra passe pour des grands travaux qui ont pour objectif dynamiser la ville et favoriser sa candidature à Patrimoine Culturel de l’humanité. La musique, très valorisé dans l’authenticité du fado, retrouve aussi les nouvelles musicalités du jazz et blues.

Coimbra a été la ville natale du premier roi de Portugal et pendant longtemps la capitale du pays. Elle exhibe un charme particulier dans le centre vieux, ou on circule en identifiant tous les passages culturelles registrés dans ses monuments.

Historiquement, Coimbra a été peuplé par la diversité, les romains, les musulmans et les chrétiens ont marqué la ville avec ses caractéristiques particuliers, en conquérant la ville à tour de rôle.

L’Aqueduc de Saint Sébastian d’origine romaine a été restauré et préservé, sur le parcours qui reliait le monastère de Saint Anne et le château de Coimbra, qui n’existent plus aujourd’hui. Le jardin de la Manche représente une des premières œuvres de la renaissance, et a été « imaginé » par le roi Jean III, qui lui a dessiné sur la manche de sa veste; pendant que le jardin Botanique a été finalisé par le Marquis de Pombal, et compte par une infinité de plantes très variés.

Ainsi, vous retrouverez dans les monastères, églises et cathédrales de Coimbra la diversité religieuse conservés depuis longtemps, mélangé harmonieusement à son statut de ville universitaire.



terça-feira, 8 de novembro de 2011

Ceagesp : des nourritures pour tous les sens.


                                       photo : http://www.rainhasdolar.com/


J’ai grandi en mangeant des fruits et des légumes de saison, très proche de l’univers de cet endroit appelé Ceagesp. Ma grand-mère ainsi que ma mère participaient d’un groupe qui achetait une grande quantité des légumes des saisons et partageaient également, ce qui a marqué nos papilles pour toujours. Des gratins, des soufflés, des légumes à croquer, tout frais et bon, ce qui a structuré notre santé, la mienne et des mes sœurs.

Un grand espace de vente à particuliers et aussi à toute sorte de commerçants, de petits supermarchés à restaurants - ce monde mérite une visite attentive pour tous les sens. On se régale avec les couleurs intenses, un cadeau pour le regard; avec les aromes des fruits mélangés aux fleurs, des parfums inoubliables à l’odorat; et en plongeant dans le bruit enthousiaste des vendeurs à négocier, dans une atmosphère très vivante.

L’entrepôt est la plus grande du secteur, qui soutient la distribution dans tout l’état, de fruits et légumes, viandes et poissons, plantes et fleurs. Cet espace publique est considéré comme un des plus grands du monde, où il y a tout un travail de recherche pour garantir la continuité des prix en rapport à la qualité des produits offerts. Il arrive sur place un programme dont l’objectif est soutenir et aider les petits agriculteurs à créer un lien avec leurs clients, qui passent à connaitre l’origine exacte du produit acheté et la transparence du producteur. Comme exemple, selon des emballages suggérés qui indiquent des informations précises, les clients peuvent devenir fidèles à certains producteurs qu’ils sont d’accord.

Environ soixante pêcheurs peuvent atteindre leurs clients pas trop loin de la mer, et offrir une grande variété des poissons, crustacés et mollusques encore très fraiches.

L’incroyable Marché des fleurs est très reconnu et fréquenté avec son infinité de plantes, fleurs et artisanat, distribués sur 20 mil m2. Les décorations festives, les cadeaux originaux, la créativité et motivé devant telle diversité.

Préparez vous alors, économisez votre énergie pour admirer à partir de 5h du matin, consultant à partir du site officiel les jours et horaires de fonctionnement de cet univers pour les sens. Laissez vous guider par la sympathie et l’approche des guides du Cicerona, qui pourront vous aider à connaitre un peu plus de l’esprit du peuple brésilien.

quarta-feira, 2 de novembro de 2011

L’Ile Grande - la beauté naturelle d’un paradis sur la Terre.




Le Rio de Janeiro cache de très belles surprises, heureusement de plus en plus protégés par ses habitants, conscient des effets de l’homme sur la nature. Je parle de l’ile Grande, un trésor a découvrir dans la cote sud de la capitale mondialement connue.
Vous y retrouverez un paradis pour les gouts les plus variés : les fêtes et l’hospitalité brésilienne, la mer parfois tranquille, parfois exubérante; le ciel étoilée et la nature intense de la foret atlantique : toute la beauté retrouvé dans un seul lieu.
Comment y arriver ? Si vous venez à partir d’un vol à Sao Paulo, vous pouvez se faire plaisir en prenant la route Rio-Santos, avec ses belles paysages et plages; mais si vous arrivez à Rio de Janeiro, la route est plus courte, mais un peu moins belle. Il existe un petit aéroport à Angra dos Reis, pour les avions particuliers et un grand choix d'héliports.
Il faut prendre un bateau ou un ferryboat, qui sortent de Angra dos Reis et de Mangaratiba pour arriver finalement sur l'île, où les voitures ne peuvent pas rentrer.
La plus grande île de l’état, 193 km2 et 106 plages; conserve encore des habitudes des ses premiers habitants : les indiens tamoios et tupinambas, ce qui maintient son habitat originel, et même dans les villages d’hébergement, où il est possible partir à innombrables promenades, les enfants jouent tranquilles, les petits restos et campings sont variés selon les besoins et les conditions de chaque un.
Les plages offrent la plus grande variété de paysages, c’est vraiment incroyable ! Toujours dans les nuances de bleu, l’eau peut faire semblant d’un lac tranquille et transparent, du coté tourné vers le continent. De ce coté là, il y a plus de monde, plus d’options d’hébergement, le confort de l’électricité et de la téléphonie. Les promenades en bateau partent souvent des ces villages, mais selon l’intérêt, toutes les attractions peuvent être satisfaites.
L’ile peut faire plaisir aux sportifs, car elle peut être découverte à pied en randonnée, en plongée, par le surf et même par montain bike. Les amateurs de la plongée peuvent se régaler en observant les bateaux victimes des naufrages à la Plage da Parnaioca - le Vapor Japurá - naufrage en 1860, à la Plage Vermelha - le vapor Califórnia - en 1888; à la Baie de Jacuacanga- l’Encouraçado Aquidabã - 1906. On n’a même pas cité les plongées moins profondes, qui permettent l’observation d’une énorme variété de poissons, et qui sais même des immenses tortues marines.
Ceux qui aiment la randonnée peuvent choisir entre une vingtaine de propositions qui partent surtout d’Abraao, avec des guides locaux; mais aussi d’Araçatiba pour découvrir de très près la nature, ainsi que pour les mountainbikers. L’époque la plus favorable est entre mai et aout, car la température est agréable et il ne pleut presque pas.
Du coté de l’océan, plus sauvage, les surfeurs aimeront les vagues de Lopes Mendes, Santo Antonio et Aventureiro. L'île garde des endroits encore très rustiques, où l'electricité est arrivé il y a quelques années. Là, les amateurs de la nature pourront admirer le merveilleux ciel étoilé.
Cette île surprenante peut faire plaisir aussi aux couples, aux groupes et aux familles, à partir d’un approche du paysage paradisiaque des plages dans les promenades maritimes qui sont les plus recherchés. Cette vue magnifique de la variété de ce bout de paradis peut être même enrichi par la apparition des dauphins en pleine mer ! Merveille que je peut témoigner, et que je n'irai jamais oublier.
Le menu est presenté… maintenant c’est à vous de choisir la compagnie aérienne pour le trajet, l’époque la plus favorable selon vos possibilités… Une chose je vous assure, vous allez vous surprendre avec ce que vous allez trouver !

quinta-feira, 27 de outubro de 2011

Tour à Sao Paulo, sur un vélo !



L’équipe du Cicerona a crée une promenade qui plaira certainement les français aimants des deux roues : un tour en vélo au centre ville.

La promenade, qui est accompagné par un cycliste expérimenté, suis un circuit des rues très connues comme l’avenue Paulista, rue Augusta, rue Brigadeiro Luis Antonio, avenue de la Liberté…ah, la liberté de circuler dans un autre rythme, ce qui donne la possibilité d’un nouveau regard sur les choses, les monuments, les bâtiments, les alentours…Mais qui exige aussi une attention particulière, car dans ce parcours il n’existent pas beaucoup des pistes cyclables.

Un icône dans le parcours c’est la rue Augusta, qui croise l’avenue Paulista, et garde deux visages dans chaque coté : le glamour du quartier du Jardins et le monde « underground » du centre ville, une rue qui mérite être vue et visité pendant moments divers de la journée. Remarquez le « Conjunto Nacional », au coin des rues Paulista, Augusta et Padre Joao Manuel, une œuvre qui a accueilli le premier « shopping center » de l’Amérique Latina et contient un horloge symbole de la ville, qui marque l’heure et la température de la région.

L’avenue Paulista et son charme particulier, ses bâtiments, le musée d’Art de Sao Paulo (MASP) et le Parc Trianon, tous font partie de l’entourage de cette promenade de 10.700m, qui peut durée trois heures…Pas beaucoup par rapport à la quantité d’attractions proposés.

Le centre historique est aussi valorisé par cette vision sur les deux roues. Le majestueux Théâtre Municipale de la ville, récemment restauré, est désormais si beau à l’extérieur qu’à l’intérieur.

Le coin de l’avenue Ipiranga et l’avenue Sao Joao, éternisé par Caetano Veloso dans la chanson Sampa… peut inviter à la réflexion sur la vie qui s’envole dans les grandes villes, dans ce mouvement pressé qui nous avale, et qu’on ne se rends même pas compte. Observez dans l’avenue l’édifice Copan et l’ancien Cine Ipiranga, dont espace interne a été récemment considéré patrimoine historique et culturel de la ville. La Place de la Republique, de représentative diversité; le Pateo du Colégio, qui marque le kilomètre zéro de la ville; la cathédrale Sé et ses nombreuses renouvèlements, entouré par la Place qui cache les souterrains d’un métro où circulent environ 79 mil personnes par jour. On respire l’histoire dans un quartier qui mérite beaucoup plus qu’un regard… mérite un soin spéciale, un soin attentive aux besoins du peuple qui aime cette région.

En sortant du cœur du centre ville, le parcours suit la rue de la Liberté, coin connu par son visage japonais, et ses très bons restaurants. Ensuite, passe devant le Centre Culturel, toujours avec des bonnes attractions - le 35o Festival de Cinéma, qui se déroule en ce moment, entre autres.

Il n’y a pas de début, il n’y a pas de fin… cette promenade ouvre des portes et propose des nouvelles découvertes… A chaque un de retrouver son intérêt au milieu de ce grand repas !

sexta-feira, 21 de outubro de 2011

Lisbonne est vraiment bonne.



Qui connais l’histoire du Brésil sais que ce pays a été colonisé par les portugais, arrivés en 22 avril 1500. Depuis ce jour le pays ne serais plus jamais le même…
Dans nos jours, après tous les immigrations, la culture brésilienne est métisse, mélange de toutes les immigrations que le pays a reçu depuis l’arrivée des portugais. Des italiens, des allemands, des espagnols, des japonais, des hollandais et beaucoup d’autres peuples se sont installés au Brésil dans l’espoir d’une meilleure qualité de vie, mais le pays a maintenu une caractéristique qui nous reliera pour toujours : la langue portugaise.
Si je suis un résultat de cette mélange si représentative chez le brésilien, je voudrais m’approcher des origines portugaises et voir de plus près l’esprit de ce peuple. En famille, nous avons loué une voiture pour connaitre Lisbonne, la terre d’où partaient les navigateurs des années 1500. De Paris, nous avons choisi l’aventure d’y aller pendant deux jours par les autoroutes, en traversant la France et l’Espagne, mais il est très simple de trouver des vols directs ou indirects par plusieurs compagnies aériennes, même au dernier minute. Pour les petites vacances de Toussaint, c’est une très bonne idée, changer d’air et profiter de la douceur du climat au bord de la mer.
Nous sommes allés pendant le mois d’aout, pendant une chaleur très forte, qui peut parfois déranger le rythme des promenades.
Lisbonne est faite pour être découverte tranquillement, à pied ou en prenant des bus. Nous avons commencé par la partie baisse, le quartier appelé Baixa détruit en 1755 par un tremblement de terre et complètement reconstruit par Marquês de Pombal. Le Couvent des Carmes en ruines représente toute la mémoire de ce terrible événement, et est devenu aussi le Musée archéologique du Carmo. De la, nous avions deux choix : celui de monter à droite ou celui de monter à gauche. D’un coté, le Château de Saint George et l’église Sé, la plus ancienne de la ville; de l’autre une vue superbe du château. On a commence par la vue du château, si beau de loin comme de près.
Entre une promenade et l’autre on a pu comprendre l’origine chaleureuse de notre peuple par l’accueil sympathique des portugais dans la rue, qui nous aidaient même quand on ne demandait pas de l’aide. On se sentait chez nous en se promenant dans la rue, en croisant les regards et les sourires, en retrouvant des points en commun à des villes historiques brésiliennes, comme Olinda, à Pernambuco. En plus, le ciel bleu et la brise chaude qui nous accompagnait complétait le cadre : on avait l’impression d’être encore de l’autre coté de l’océan !
Le château de Saint George mérite une visite tranquille, entre ses murs des pierres qui ont témoigné un fascinant changement historique. Se promener entre ses belles arbres, et regarder du haut des ses tours la vue du quartier de la Baixa et du fleuve Tage c’est indispensable. Il se trouve dans le quartier d’Alfama, le cœur de la capitale, quartier qui a assisté la naissance du fado, musique traditionnel portugaise. Depuis ses temps, il est plein de bistrots agréables à passer une soirée, à déguster la gastronomie locale.
En sortant de la partie centrale, le quartier de Belém révèle encore des monuments intéressants à visiter : le Monastère de Jéronimos et le Tour de Belém, qui sont presque voisins et tous les deux considérés Patrimoine Culturel de l’humanité. Pendant que le premier contient une très belle architecture dans toutes les pièces qui peuvent être visités, le deuxième garde l’histoire défensive portugaise et le patriotisme de ce peuple.
Une semaine serais nécessaire à connaitre à fond cette ville sympathique, qui garde ce peuple chaleureux et souriant.







domingo, 16 de outubro de 2011

L’île du Cardoso : la nature dans son splendeur.






                                     photo: http://www.melhorespraias.com.br/files/maruja.jpg



Il y a très longtemps, certainement une quinzaine d’années, une aventure nous a fait connaître et plus jamais oublier une île, pas loin da la ville de Sao Paulo, l’Ile du Cardoso. Inaccessible par avion, on peut la rejoindre par voiture à partir de Sao Paulo en prenant l’autoroute Régis Bittencourt et des toutes petites routes, pour finalement arriver à Pariquera-Açu et traverser un fleuve par bateau. Les efforts sont récompensés : l’île représente la nature en état brut.

Pour passer le jour de l’an, on a l’habitude de fuir des grands événements, on cherche plutôt la tranquillité, des endroits plus éloignés des bouchons et plus proches de la nature pure, presque intouchable. L’arrivée a la ville où on est obligé de laisser la voiture a été déjà une grande aventure : avec dérapage sur une route mouillée qui rappelait une piste interminable de savon.

Après la surprise, un bateau motorisé nous a conduit jusqu’au Maruja, le centre du village, où on trouve des auberges très simples et des campings. Sur le trajet, des « botos », un spécimen de dauphin qui vit sur les fleuves brésiliens, sont vénus nous féliciter, avec sa présence magique et inoubliable.

L’Ile est depuis 1962 un Parc d’Etat, protégé par des lois qui restreint la construction, l’habitation et le tourisme pour protéger la richesse des marais, de la forêt atlantique et de « restinga ».

Le parc est habité pour environ 480 personnes, qui survivent grâce à la pêche et à la culture de subsistance. L’île est un exemple de patrimoine de l’humanité qui depuis 1998 arrive a équilibrer le tourisme et la préservation de l’environnement, un succès de développement durable. Sur le site officiel, des conseils basiques sont transmis tels acheter des produits locaux, ne pas ramener des animaux, quoi faire avec les déchets. Tout la simplicité et la beauté de cet endroit a un prix a continuer et c’est de responsabilité du visitant de se renseigner sur la façon de maintenir les locaux le plus préservés que possible.

Et que des merveilles à découvrir : le coucher du soleil au bord du fleuve, les cascades, les orchidées, les plages, la convivialité offerte en sourires par la communauté locale. J’ai vécu un passage d’année tranquille et inoubliable, je vous invite à vous programmer pour être enchanté par ce bout du Brésil.



sexta-feira, 7 de outubro de 2011

Sao Paulo par Niemeyer.


                                         photo : http://adoroviagem.uol.com.br/uploads/ponto/edificio-copan-sao-paulo-sp-12354.jpg


Nous avons aussi notre Gaudi, dont les œuvres modernes font partie de l’histoire du Brésil . Un architecte, aujourd’hui centenaire, qui a conçu Brasilia et ses bâtiments gouvernementaux, quelqu’un qui a imprimé son style dans les coins plus imprévus au Brésil : Oscar Niemeyer. Prenez un weekend pour visiter le centre ville, si jamais vous avez pris un vol à travail, il y a toujours des surprises à découvrir.

C’est dans la ville de Sao Paulo, déjà envahie par les Shoppings Centers - plus de 70, un recorde brésilien - que l’équipe de la Cicerona Cultura a préparé un circuit inimaginable pour nous : la découverte architectonique et culturelle des galeries commerciales du Centre Ville.

Comme on se surprends avec un Gaudi dans un bâtiment ordinaire à Barcelone, on s’étonne avec trois bâtiments projetés par Niemeyer, dans un centre ville qui vit une période de changement, entourés des projets des restauration et transformations importants.

L’ Edificio Copan, une des œuvres à visiter, est un gratte-ciel d’une histoire compliqué qui a pris onze ans pour être achevé. Si Niemeyer a signé le projet, et a maintenu sa marque à l’extérieur du bâtiment, il n’a pas accompagné sa construction et son achèvement. Dans les années 1970 le bâtiment a vécu ses pires moments, entre disputes internes et violences, histoires racontées même en livres. A partir de 1986, un groupe de résidents ont assumé l’administration et ensuite, avec la revitalisation du centre ville, le bâtiment résidentielle a commencé a transformer son visage, et a abriter des propriétaires les plus diversifiés, sans se laisser à l’abandon.

L’Edificio Eiffel, une autre œuvre réalisé par Niemeyer, a inauguré le style « pièces », inexistant à l’époque à la ville. Constatez de près sa formation unique et très particulière pour les années 1950, détaillée par un guide du Cicerona.

Le troisième bâtiment a être découvert est la Galerie California, aussi au Centre ville. Entouré de polémique, ses couloirs des bureaux et boutiques ont été critiqués à l’époque de son inauguration, mais aujourd’hui, sont en train de être restaurés, principalement le mosaïque de Portinari, qui était caché au sous sol du bâtiment. Le travail de restauration du mosaïque sera terminé en 2013, et peut être visité même pendant les travaux.
    Photo : http://www.flickr.com/photos/arteforadomuseu/page13/
Voilà encore un secret de plus caché par cette ville qui ne dort jamais, qui pulse sans arrêt. Si vous n’avez pas programmé les prochaines vacances, ça y est, il a même du temps pour trouver un vol pas cher. Bon voyage !

sexta-feira, 30 de setembro de 2011

Trujillo, un trésor au coeur espagnol.


La région d’Extremadura en Espagne a été une agréable découverte que j’aimerais partager avec vous.


On avait traversé une bonne partie de l’Espagne, en faisant connaissance du paysage aride, presque désertique dont les seuls représentants de la végétation étaient des oliviers tordues - tels ceux qui ont été éternisés par Dali dans ses œuvres. J’entends souvent que les déserts cachent des oasis, alors si on considère un patrimoine comme Trujillo, on pourrait bien lui classifier comme cela.

Le village de 655 km, dont la Plaza Mayor marque le centre ville possède un historique mystique et mystérieux. En plus, cela se sent dès l’arrivée… une ville très sympathique que nous a donne envie de faire connaissance.

Une ville préhistorique et médiévale, Trujillo a été la ville natale de Francisco Pizarro, responsable par l’extermination du peuple Inca, au Pérou. On y trouve même une statue au centre de la place, car la ville valorise ses célèbres personnages.

Du charme de la cigogne qui a construit son nid sur la tour du cloche de l’église, à l’irrésistible symétrie des murs qui entourent la Plaza, valorisés par des lumières bien placés; tout dans la ville nous a enchanté. La soirée du dîner en plein air a été spécial, car les tables étaient vraiment sous les étoiles, qui on pouvait voir très bien grâce à la tonalité des lumières, très subtiles, en mettant en valeur les contours de la ville.

Le château de Trujillo est aussi très intéressante à visiter, avec son atmosphère médiévale et le paysage a perdre de vue. Pour l’accéder, il faut monter par les ruelles étroites conservés en très bon état.

Cette découverte a été possible par voiture, complètement par hasard, mais maintenant que je vous a présenté, vous pouvez prendre un vol jusqu’à Madrid, loin 256 km de la ville… Et connaitre ce petit coin caché de l’Espagne.

sexta-feira, 9 de setembro de 2011

Le majestueux Théâtre Municipal de Sao Paulo ouvre à nouveau les portes.




Le Théâtre Municipal de Sao Paulo , localisé à la Place Ramos de Azevedo, au centre ville de Sao Paulo, a fêté son centenaire avec une restauration minutieuse qui a durée trois ans. Avec une histoire très particulière, que l’équipe du Cicerona Cultura peut vous détailler et présenter de plus près, le théâtre a été le sujet dans un autre texte, mais merite d'être revisité.
 Le Théatre, une des attractions de plus grande beauté du centre ville, vit un moment plein de nouveauté.
Il a ouvert ses portes avec tous les détails revalorisés le dernier 12 juin, où les 25 vitraux ont été démontées, restaurés, nettoyées et remis en place.
Les fauteuils ont récupéré le tissu rouge originel, qui était recouvert pour un vert des travaux des années 80, en valorisant l’atmosphère ancienne. Le salon est une autre attraction, parce qu’il contient un café décoré par les frères Campana, des designers brésiliens reconnus mondialement, maintenant avec le plafond restauré.
Je vous propose de vérifier la programmation du lieu prochainement, de haut niveau, le même des travaux réalisés. Si vous etes en vacances il faut absolument y aller, mais si vous avez pris un vol a travail direction Sao Paulo, vous pouvez aussi en profiter. Détendez vous et émerveillez vous avec la programmation proposé entre 14 et 18 septembre : Rigoletto, composition de 1850 de Giuseppe Verdi, sera la première opéra jouée. Avec la direction de scénique de Felipe Hirsch et scenario de Daniela Thomas, la présentation promet être si impactant que Hamlet, par Ambrosio Thomas, qui a inauguré le Théâtre en septembre 1911.
Pour les adorateurs du ballet, le reconnu ballet de Leipzig, une des plus importantes compagnies allemandes, jouera encore en septembre La grande Messe, de Mozart.
Alors, si vous aimez les cordes, Le « Quarteto de Cordas da Cidade de Sao Paulo » et son invité Cristina Ortiz ira vous surprendre.
C’est Sao Paulo dans toute sa beauté, sa diversité et originalité, qui n’exclu rien, qui me surprends chaque fois… J’aimerais bien prends un vol pas cher pour être là, mais si jamais vous avez cette possibilité… racontez moi le splendeur du lieu et sa beauté !

quinta-feira, 4 de agosto de 2011

Une avenue, tous les gouts.

Photo : http://www.sp-sp.net/fotos-sp/av-paulista.htm



Il est impossible de penser à la ville de Sao Paulo, sans imaginer l’avenue la plus symbolique de la ville, sa carte postale la plus connue : l’avenue Paulista.

La passerelle de toutes les manifestations inimaginables, elle a accueilli seulement pendant les deux derniers mois des marches contre le machisme, à faveur des travaux pour une bonne piste de skate à la place Roosevelt, et contre la construction de l’usine de Belo Monte, en région Amazonienne. C’est le lieu de voir et d’être vu, de demander et démontrer l’avis pour le monde entier ! Sans parler sur la « Gay Pride », événement déjà traditionnel, avec plus de 4 millions de participants cette année, des chiffres records mondialement. Enfin, l’avenue Paulista est de tous et de toutes, le symbole démocratique du peuple brésilien : des gens qui proviennent du pays entier, retrouve un coin dans toute sa longueur et hauteur.

Avant de vous parler des ses petits secrets, je vous raconterais pourquoi elle me plaît.

Sur les escaliers du bâtiment « Gazeta » j’ai vécue des tas des surprises, aux alentours du cinéma, des galeries et des petits restos, j’ai rencontré des amoureux, des histoires de complicité et de la chaleur humaine, caractéristique du brésilien. Devant les banques ou chez le fleuriste, j’ai retrouvait de temps en temps un ami des bons vieux temps… et on discutait longuement, on rêvait d’un avenir différent… Chaque un de nous a pris un chemin, mais nous serons pour toujours de très bons amis.

L’avenue a toujours plu le plus différents gouts. De l’appréciateur gourmand de l’art culinaire jusqu’aux amateurs du cinéma, des livres et d’autres formes d’art, tous retrouvent à Paulista sa place.
C’est pour cette raison que l’équipe du Cicerona a préparé un circuit flexible, que peut être fait en voiture ou à pied… selon les envies, les intérêts, on trouvera certainement toujours des choses à faire.

Le « Conjunto Nacional » est une référence des constructions des années 50, avec la Librairie Culture implanté en 5 mil m2, remplis des bouquins. Une visite au MASP, avec son architecture moderne monumentale et ses ouvres d’arts permanentes et expositions temporaires, et en sortant de là, avec le besoin de prendre un peu d’air, traverser la rue et respirer au Parc Trianon.
Le Parc qui garde encore des vestiges de la Foret atlantique a été inauguré avec la construction de la avenue, sous la supervision et projet du français Paul Villon. Inspiré dans le romantisme européen du XIX siècle, le parc a été la scène de plusieurs fêtes de la haute société des Seigneurs du Café. Actuellement, possède le jardin paysagiste signé par Burle Marx, très reconnu par ces jardins modernes. C’est curieux d’être en plein centre urbain et pouvoir sentir l’humidité d’un jardin tropical.

Pourquoi pas finir la promenade inspiré à la même époque qu’on a commencé ? Une visite à la Maison des Roses, appelé récemment d’Espace Haroldo de Campos (écrivain concretiste), est un espace culturel de poésie et littérature, plein d’expositions intéressantes. En plus, au fond de la cour se cache un jardin bucolique, d’ ambiance décontracté, où une cafeteria nous attend.

Maintenant je n’ai plus des secrets à cacher, c’est a vous d’y aller et vérifier la diversité de cette charmante avenue.

sexta-feira, 29 de julho de 2011

Olinda, encore une surprise brésilienne.




Oh, linda terra para se implantar uma vila !

Quelle belle terre pour se fonder une ville !

Il était une fois une ville appelé comme ça : Olinda. Cette belle terre, comme disait déjà son premier fondateur qui a beaucoup investi pour le développement du lieu, reste encore si belle et charmante comme dans les années qu’elle était capitale de l’état du Pernambuco.

Une terre pleine de bonheur, avec le soleil qui règne sur une mer tranquille et transparente, qui attends les fêtes très fréquentes. Là où une partie de mon cœur bat, chez mes parrains, j’ai découvert un autre rythme de vie, une autre température, une autre odeur.

La grande voisine capitale, la ville de Recife a pris heureusement son poste et a progressé avec ses bâtiments au bord de la mer, comme s’il voulaient toucher le ciel. Dommage, car ils ont crée quelques ombres sur les coraux naturels qu’y existent et embellissent la coté.

Olinda a échappé à ce progrès désordonné, et a gardé le charme et la beauté de ses constructions, déclaré il y a trente ans patrimoine mondiale de l'Humanité par l'Unesco. Son centre ville a su restaurer des bâtiments d’extrême beauté très caractéristique de la colonisation portugaise, et même de l’époque qu’elle a été sur le domaine hollandais.

Depuis environ vingt ans que je prends des vols visiter mes parrains, je suis toujours enchanté par son atmosphère. L’odeur des algues et l’air marin presque touchable quand on passé au bord de la mer, envahissent mon esprit et remplissent mon cœur de joie. Des apéritifs pris entre amis dans des petits restos avec cette brise inoubliable n’ont jamais abandonnés mes meilleurs souvenirs. Je me souviens jusqu’aujourd’hui de la première fois que je suis monté jusqu’à l’église Sé, et des toutes les impressions si précieuses reçues. La fatigue causé par l’effort de la monté a été fortement compensé par la superbe vue de la mer et de la capitale, à seulement six km de distance. La musique locale, qui font la joie des amateurs du Carnaval, emballaient le coucher du soleil et les tentes d’artisanat .

Et le petit creux qui est apparu a été rempli par la incomparable Tapioca. Une jolie et forte dame noir, habillée en blanc, dont le sourire contrastait avec la beauté brillante de sa teinte; préparait rapidement cette merveilleuse gourmandise, réchauffant la farine de manioc en ajoutant comme farce un fromage locale appelé « queijo coalho », de la noix de coco râpée et du lait concentré sucré… une délice ! Pas de soucis pour les calories, car on peut danser le forro pendant quatre heures de suite et les a brulées toutes…

Olinda n’a pas besoin de pub, c’est une ville vraiment unique, de caractère. Même le Carnaval arrive d’une forme qui garde les traditions de poupées géantes sans laisser de s’actualiser. Les défilés très variés, le rythme du Frevo et Maracatu, pendant trois jours et trois nuits laissent le plus animés complètement épuisés.

Il n’y a pas d’époque qu’elle ne soit pas belle et agréable. Si vous cherchez un vol pas cher pour venir en famille, je vous conseille la tranquillité et la brise du mois de juillet et aout, mais si vous voulez fuir de l’hiver européen, et en profiter du Carnaval, venez en février ou mars, vous n’allez pas regretter !

quinta-feira, 21 de julho de 2011

Sao Paulo de lumière.

Qu’est-ce qu’on peut imaginer retrouver dans un quartier appelé Lumière, en plein centre ville de Sao Paulo ? L’équipe du Cicerona Cultura a préparé une promenade qui propose la visite à les endroits le plus illuminés du coin, plein des surprises et plaisirs à découvrir…               Photo Fernando Cohen
Le Musée d’Orsay a inspiré un endroit à Sao Paulo, en plus, dans le quartier de la Lumière… La Sale Sao Paulo a été crée dans une station de train, la station Julio Prestes, ainsi que le Musée d’Orsay. Mais l’art qu’on y trouve n’est pas dans les toiles et sculptures, plutôt une nourriture pour d’autres sens : à travers de la musique. Je ne cacherai plus aucun mystère : la Sale Sao Paulo est un des endroits avec une des meilleurs acoustiques du monde, une sale que reçoit des concerts de musique classique, et qui est aussi le centre de l’orchestre symphonique de Sao Paulo. Rien que la voir pour décrire telle splendeur.
C’est vraiment une opportunité d’admirer les stations restaurés au centre ville, et la station Luz qui a été construite en style victorien est un exemple à connaître, un carrefour qui traverse la ville et transporte milliers de « paulistanos » vers leurs travail ou chez eux, d’un coin à l’autre de la ville.
La Pinacoteca juste à coté est aussi à visiter, avec ses ouvres d’arts contemporaines et une dizaine d’expositions, un musée éclectique et dynamique qui certainement peut plaire tous les gouts, de ceux qui aiment les sculptures ou les toiles.                                               

Mais finalement si l’art ne vous intéresse pas autant, n’est pas votre sorte de nourriture préféré, l’art tout simple, la promenade vous réserve quelques petites surprises… l’art culinaire, mon cher !
Sao Paulo a été le centre de la caféiculture au Brésil, avec son apogée et sa décadence, alors, pourquoi pas ne prendre un petit café au Café du Musée, accompagnée d’une « empadinha »,une surprise fondant à la farce au poulet ? C’est trop peu pour votre gourmandise ? Les connaisseurs du coin indique une « Galinhada do Bahia »  qui vous régalera certainement… Les conseils sont donnés, maintenant c’est à vous d’en profiter !

quinta-feira, 14 de julho de 2011

Un petit bout flamand.


La meilleure façon de connaître un endroit, c’est d’être présentée par un natif, je veux dire, quelqu’un qui connais un coin très particulièrement, parce ce qu’il est né ou il a grandi là -bas. C’était notre cas à propos de Gand, la deuxième plus grande ville belge, où on a passé un weekend entre amis. Même si juste une journée de promenade a été très peu, les impressions vécus et partagés entre nous dans cette ville sympathique nous ont marqués pour toujours.
Mon amie belge représente pour moi la dimension que peut prendre la diversité. Une personne discrète, mais toujours enthousiaste, qui parle cinq langues couramment, mais qui connais l’importance de se conserver les traditions de sa culture. Même en parlant flamand avec ses enfants, en valorisant ses coutumes, ne les a jamais empêché de s’enrichir avec les autres cultures. Cette famille multiculturelle a habité déjà en France et est en Allemagne en ce moment.

Il y a environ 6 ans, l’aventure a commencé avec le voyage en train, quand on a couru comme des fous pour ne pas perdre la connexion très tôt le samedi matin. Ma petite famille, avec nos petits garçons de 7 et 5 ans, et nos amis avec ses deux petits de 2 ans et 2 mois. Bien installés dans le train, le voyage s’est passé très tranquillement. A l’époque, le voyage par train n’était pas très cher, mais j’en suis sûre qu’il est possible de trouver un vol pas cher si vous vous planifiez en avance.
Même pour les réservations en hôtel, l‘avance garantit des bons prix. Dans notre cas, on avait la chance de pouvoir s’héberger avec nos amis, dans leur propre maison de famille, aux environs du centre ville.
C’était magnifique la vision de cette toute petite maison, presque enchantée telle était son charme. La surprise était alors cachée à l’intérieur : les pièces étaient disposés en plusieurs étages, si étroite elle y était. A l’étage, la salle avec une très mignonne cheminée, et juste à coté, la cuisine, pleine de lumière grâce à son toit transparente, d’où on pouvait admirer la lune et les étoiles. Une toute petite échelle ramenait à une chambre et la salle de bains, et encore une autre au grenier très spacieux ou je me suis installée avec ma famille.
Toute la journée du samedi a été pleine de découvertes. Vous découvrirez Ghent, ou Gand, ou Gent, peu importe, dans ses charmantes ruelles et ses églises du moyen âge; vous pouvez circuler et prendre du temps dans ces charmants petits restos, ou même admirer l’unique forme des ses constructions, qu’on dirait des escaliers qui montent et descends, comme si on pouvait pressentir une ordre naturelle des choses, des hauts et bas que nous tous passons dans nos vies. Pour nous, le plus, était de partager ses moments avec des chers amis, en prenant des verres, en s’arrêtant entre les fontaines et les envies des enfants et ses petites curiosités.
La soirée était très agréable, et nous a conduit dans un resto exotique, qui servait toute sorte des viandes qu’on peut imaginer, ce qui a intéressé même les enfants. La nuit nous invitait à une petite promenade, cette fois ci, avec le changement de lumière qui valorisait le contour naturel des constructions et donnait des ailes à l’imagination.
Le lendemain matin était surprenante, avec l’attitude des enfants en préparer eux mêmes le petit déjeuner, en cherchant les utiles et gourmandises tranquilles dans la cuisine, comme s’ils était chez nous. Une voyage inoubliable et très enrichissante, ce qui prouve qu’un weekend bien vécu est plus significatif qu’un mois entier de vacances…
Ce dimanche là, on a repris le train bien fatigués (là un vol allait très bien, car on pourrait même rester un peu plus entre amis), mais bien heureux avec les instants vécus et partagés.

quarta-feira, 6 de julho de 2011

Qui n’a pas une place préférée ?

A l’ombre d’un arbre, on peut bien se tranquilliser. Sur un banc, on entend les oiseaux, on sent le vent, on est bien. Qui n’a pas une place préféré, un lieu aimé pour se reposer ? Pour lire un livre, réfléchir, discuter. Avec ou sans une petite chapelle ou une église, il y a des places autant qu' il y en a des gens sur les villes.

A Sao Paulo on trouve même une concentration d’elles, fait qui a donné l’idée de créer une promenade dirigé à  connaître quelques unes, avec ses particularités par l’équipe du Cicerona Cultura.

Parcourir 500 ans d’histoire dans un tout petit coin du centre ville. La place Clovis est aujourd’hui presque intégré à la Place da Sé, plus connu par la station de métro et la cathédrale, mais registre dans ses bancs et sur la mémoire des ceux qu’y ont vécu un temps ou les Places étaient des lieux de rencontre et du bien manger, pas seulement un point de référence. Avec la modernisation, des démolitions mal gérées on presque effacé des certains coins, qui restent seulement dans la mémoire des gens du quartier, par exemple le ciné-thêatre Saint Hellène. 

A propos de la Cathédrale de la Sé, nous pouvons admirer l'un des cinq plus grands édifices religieux de style gothique  avec toute la beauté et splendeur de ce lieu de prière.

Au palais du Conte de Sarvedas, restauré après un état de ruines, nous pouvons voir des jolies vitraux et des délicats travaux manuels sur les bois, un bâtiment ancien entouré de bâtiments modernes. Aujourd’hui il abrite le Musée de la Justice de l’état de Sao Paulo, qui peut être visité de lundi à vendredi.

Au patio du collège, nous revivons la naissance de la ville avec l’instalation de jésuites, là ou l’histoire de la ville a commencé.

Revivre l’histoire de la ville au centre le plus mouvementée de l’Amérique Latine.

segunda-feira, 20 de junho de 2011

Où la mer impose sa force.


On vient de passer le jour de l’an dans un coin presque désert, plus près que jamais de l’essentiel, et on est parti plein d’énergie pour le retour, mais on n’était pas pressé du tout… le retour allait se faire dans le rythme bahianais, notre rythme aussi ces jours là.
Vers les plages plus urbaines, on a découvert la possibilité de partir pour une journée à Abrolhos, une réserve naturelle, pleine de richesse et beauté.
L’archipel est appelé ainsi comme une recommandation aux anciens navigateurs, car ses alentours sont pleins de coraux : Abrolhos c’est un arrangement des mots qui signifient « ouvre les yeux ». Il est constitué de cinq petits îles d’origine volcanique, de fréquentation limité, attitude qui envisage la préservation de l‘environnement et des la faune locale. Et c’est justement cette faune la richesse qu’on peut admirer au fond de la mer, dans les airs et sur la terre.
Localisé à 70 km de la ville de Caravelas, l’archipel possède un écosystème marine abondant, visible jusqu’à 25 mètres de profondeur, dans des eaux calmes et transparentes. On a passé la plus part du temps dans l’eau, en train d’admirer les couleurs vivantes des poissons, des coraux, dans le balance de la mer. Une journée inoubliable. Sur les îles, on a pu observer les oiseaux dans son habitat, et la distribution des différents espèces sur l’île, dans une harmonie incroyable. Même les baleines Jubarte cherchent l’archipel entre les mois de juillet et novembre…malheureusement on ne les a pas croisé.
Après cette journée sur la mer, c’était l’heure de reprendre la route. Avec l’indication de quelques habitants locaux, on a retrouvé une perle au milieu des plantations d‘eucalyptus, destinés à la fabrication de papier. Un labyrinthe des rues nous a ramené à des plages encore très préservés : la Cote Dorée. On n’aurait peut être jamais retrouvé ce coin magnifique si on avait pris un vol pour retourner à Sao Paulo, il y a toujours des endroits cachés du tourisme de masse ou on peut se surprendre.
Des falaises qui protégeaient une végétation sublime, presque délicate, qui dansaient à la saveur du vent, là où il y avait avant la forêt atlantique. Plus on s’éloignait de la plage principale, plus le silence régnait, et les plages étaient plus belles et sauvages, où la mer impose visiblement sa force.
Presque à coté, déjà dans l’état du Espirito Santo, voisin du très célèbre Rio de Janeiro; on a visité Itaunas, pour finir bien ce bout de cote.
Entre dunes et un projet Tamar (destiné à la protection des tortues marines), cette plage de sable fin propose des différents attractions pour tous les âges et gouts : des soirées de forro, des restos décontractés, des fêtes locales… une ambiance particulière, chaleureuse, comme on est habitué au Brésil… Une bonne raison pour chercher un vol pas cher et partir en famille, en amoureux, là ou on a l’impression d’être toujours en vacances.

segunda-feira, 13 de junho de 2011

La porte d’entrée de Pedro Alvares Cabral : les plages du sud bahianais.



Quand on apprends dans les cours d’histoire qu’un portugais nommé Pedro Alvares Cabral « a découvert » le Brésil, on n’imagine pas du tout le scenario de cet instant qui marquerait pour toujours l’avenir du pays.

A bord de sa caravelle, il peu probablement a crié « Terra à vista » ( Terre en vue ) comme on entend parler, mais certainement il a repéré une énorme montagne appelé à partir de là de Mont Pascal. Oui, il me semble que c’était un dimanche des Pâques, le 22 avril 1500.

Le mont fait partie d’un Parc National de même nom, évidement donné par sa présence. J’ai eu l’occasion de le connaître jusqu’à son sommet, dans une très belle voyage faite il y a presque 15 ans.

Nous avons parti en voiture à partir de Sao Paulo, en destination d’un village au sud de l’état de Bahia. Pour y accéder, on a du parcourir 1500 kilomètres, trajet fait tranquillement dans 28 heures de route. Le plus dures on été les derniers 45 kilomètres : sur une route sableuse, obstacle fort encourageante pour les aventuriers. Ne vous inquiétez pas, il existe aujourd’hui d’autres formes d’y accéder; certainement de vols réguliers des petites compagnies aériennes font le lien entre Salvador, la capitale et Porto Seguro, une ville très touristique, pas loin de là bas.

En arrivant au point de départ du village, on a laissé la voiture d’un coté du fleuve qui le séparait de la civilisation.  C'était encore un village sans électricité, entouré par la nature, la conscience écologique et des indiens pataxos, dont les tribus entourait les lieux : le village de Caraiva.

Il n’y a pas beaucoup de mots pour décrire le charme de ce coin : une grande plage entouré d’arbres à noix de coco, déserte, d’où on pouvait partir vers des promenades courtes ou longues, selon nos envies et dispositions. Le seul bruit était des vagues qui ne se fatiguait pas de secouer le sable chaud toute la journée. Le petit village est bien servi d'auberges et même d’options plus raffinés d’hébergement. Il n’y a pas longtemps même l’électricité est arrivé.

Entre le fleuve et la mer, on passait le temps à s’enchanter par les enfants du village à jouer dans l’eau comme des poissons en fête. Telle intégration avec la nature je n’avais jamais vu, et je pense sincèrement qu’elle est du à une certaine simplicité qui a été préservé mystérieusement par cette atmosphère de tranquillité. Des promenades en bateau, à pied, des soirées animés et des ciels étoilés… Caraiva c’est ça, un peu de tout dans un seul endroit.

Une semaine dans cette ambiance, difficile reprendre la route, la vie, le bruit. Comme on ne voulait pas vraiment partir, on a décidé, ou même instant qu’on reprenait la autoroute, de monter le Mont Pascal pour essayer d’observer la vue contraire aux portugais, quand ils sont arrivés par la première fois par ici.

Entourés par la foret atlantique, très humide et chaude, on est allé jusqu’au bout… pour être un peu déçus : le ciel était couvert des nuages et on n’arrivait pas à voir ni même la mer… Drôle de promenade, on a descendu en courant, comme des enfants tel était notre soif. Au parking, on a fait des échanges : du très jolie artisanat des indiens pataxos par nos serviettes, des vêtements, des produits d'hygiène, auxquelles ils n‘ont pas beaucoup l‘accès. Maintenir la culture et tradition devant le progrès de la civilisation est un vrai défi pour ce peuple presque complètement inexistante depuis l’arrivé des portugais.

Notre aventure a continué, mais en direction différente : vers la frontière avec l’état du Espirito Santo (Saint Esprit)…

segunda-feira, 6 de junho de 2011

Sao Paulo vers le silence.

photo : Fernando Cohen
Une métropole comme Sao Paulo ne connais pas le silence… C’est facile à imaginer l’impossibilité du silence dans une immensité de vie 24 heures sur 24, mais on y trouve quand même de coins plus introspectives et silencieux dans cette ville monumentale.

Vous avez un dimanche libre à Sao Paulo, du à un vol à travail ? L’équipe du Cicerona à une promenade sur mesure pour vous proposer qui ira transformer cette journée. Si ce n’est pas le cas, car vous avez pris un vol pas cher pour passer quelques jours de vacances dans cette ville mystérieuse, là aussi, vous pouvez enrichir votre perspective de la ville accompagné d’un guide du Cicerona, qui peut vous aider à comprendre un peu plus de ces mystères qui circulent et racontent un peu de son histoire.

La promenade commence par le Large Sao Bento (Saint Benoit). Le large a ce nom en hommage au Monastère de Saint Benoit, qui accueille des visiteurs qui peuvent assister à la messe des dimanches, faites en latin, et entendre le chant Grégorien chanté par les moines qu‘y vivent. Ces sont des moines bénédictins, arrivés depuis 1598 dans la ville. Une petite abadie, devenue après quelques temps une chapelle, ou, petit à petit, après quelques changements et constructions, est devenu le monastère d’aujourd’hui. La boulangerie doit certainement être visité, avec ses délices préparés par les moines.

La localisation du monastère a été choisi en honneur a la tribu d’un sage indien appelé Tibiriça, un personnage qui a aidé la communication entre les amérindiens et les européens récemment arrivés. Le bâtiment a témoigné des événements historiques de la ville et du Brésil, et garde aussi quelques curiosités, comme l’horloge le plus précis de la ville et sa bibliothèque, dont la moitié des livres ont été publiés pendant le XIX e siècle.

Après une matinée enrichissante et introspective, le promenade continue avec la vue à partir du viaduc Santa Efigenia, lui-même une œuvre d’Art; de la vallée du Anhangabau, un mot de la langue « tupi » qui signifie les Eaux des Esprits Maudits. En effet, où on voit aujourd’hui une grande place avec des jeux d’eaux, sculptures et un beau jardin a beaucoup changé depuis le siècle dernier. D’abord, il y avait un fleuve où les gens se baignait, après quelques années, vers 1855, une rue a été crée pour que les habitants pouvaient traverser , jusqu’à l’urbanisation croissante entre les années 30 et 50. Dans les années 80, un grand projet a revitalisé la région, une des belles cartes postales de la ville aujourd’hui, un espace public qui accueil manifestations et spectacles - d’où on peut admirer d’autres cartes postales de la ville.

Encore un visage de ma ville natale : Sao Paulo - surprenante, bouleversante et stimulante.

quarta-feira, 1 de junho de 2011

L’oasis brésilien.



Dans un petit coin du Brésil, inaccessible par voiture, bus, avion, hélicoptère, il se trouve un oasis… Pour y arriver, il faut vraiment le vouloir, avoir envie, être prête à dépasser toutes les difficultés. Pour aller à Rio Novo dos Lençois, il faut se munir de l’essentiel.

La porte des « Lençois Maranhenses », a été pour nous le village de Barreirinhas. Actuellement accessible par une autoroute raisonnable, il possède aussi un petit aéroport, que reçois des petits avions et hélicoptères venus des aéroports des états voisins. Mais, en 1995, on a parcouru le trajet Sao Luiz - Barreirinhas dans un autocar très particulier, tous débout pendant quelques heures dans une route poussiéreuse et sinueuse. Nos bagages, qui ont été gardés à coté du steppe, avaient une couche généreuse de la poussière du chemin, événement auquel on ne pouvais pas y croire, et qu‘on a gardé dans une photo incontestable.

Entre la tranquillité des rues, la vision de la porte du paradis : une immense dune aux pieds du fleuve qui a donné le nom au village, où on a pris le bateau-bus qui nous a ramené aux sables tièdes de Vassouras.

Avec nos tentes, 5 litres d’eau minérale, du fromage, des tranches de pain de mie, de la confiture de lait et peut être quelques restes que je ne me rappelle plus, on a vécu deux jours comme si on était dans un autre monde. Entre les dunes, la formation des lagunes temporaires surprenantes, d’une eau tiède et cristalline, on avait pas trop besoin de manger : la nourriture était d’une autre nature. Jamais si proche des mes vrais besoins, je étais heureuse et pleine, sans presque rien. Entre les deux tentes qu‘on a préparé avant le coucher du soleil, on a fait un petit feu qu’attirait les bestioles - heureusement, car au moins elles nous laissaient tranquilles. On ne pouvait pas s’asseoir, sans être piqués, alors on restait débout jusqu’au moment du lever de la lune, qui nous a salué la bonne nuit. On faisait partie de cet univers, complètement intégré à cette nature surprenante.

On a découvert l’existence d’un autre village, accessible que par une voiture 4 X 4, qui rassemblerait à un oasis, avec des dunes et lacs fixes, qui ne dépendait pas des eaux des pluies. On est parti à 5h00 du matin en direction à Rio Novo, avec le nom de l’auberge Oasis dos Lençois, appartenant à Mazé.

Le voyage lui-même était déjà une aventure, car on montait et descendait de la voiture quand elle n’arrivait pas a traverser le sable et les ponts en mauvais état. Le paysage était très particulier, une sorte de désert humide, en imaginant que cela soit possible, appelé « restinga ». Il pleut dans cette région 300 fois plus qu’au désert du Sahara, un phénomène unique, ce qui permet la formation de cette flore incroyable.

Alors, on est passé cinq jours à l’ombre d’un arbre, à coté d’un fleuve très vivant, sans l’eau chaude ni électricité, en écoutant les histoires de Mazé et en savourant la cuisine locale. Une heure avant le coucher du soleil, on se promenait et se bagnait dans les lagunes, en témoignant des plus belles paysages et lumières que je n’ai jamais vu.

Récemment l’accès à ce bout de paradis est beaucoup plus facile, mais il faut encore une bonne dose de courage et goût par l’aventure aux aventuriers que décident de s’y rendre… je vous assure, ce voyage vaut la peine !

sexta-feira, 20 de maio de 2011

Le rencontre avec l’essentiel à Sao Luis do Maranhao.


Pendant un mois de voyage j’ai appris plus que en trois ans de fac. Je parle de mon expérience au Maranhao, état du Nord-est brésilien. Presque à la frontière de la région nord, cet état ne correspond pas aux autres états du nord-est, très cherchés par ses attractions touristiques, ses jolies plages de sable blanc qui sont entourés par une mer vert émeraude. Cet état, si lointain de la métropole Sao Paulo, ma ville natale; a changé mon regard sur la vie.
C’était en juillet 1995, pendant les vacances d’hiver, qu’on a pris le bus pour y arriver. Au Brésil, à la fac on n’a pas suffisamment d’argent pour prend un vol qui puisse traverser le pays d’un bout à l’autre, mais on a suffisamment d’énergie et créativité pour arriver n’importe où. Deux journées et deux soirées se sont passés dans un autocar, qui s’arrêtait chaque trois heures.
On a traversé des grandes villes et des très mauvaises autoroutes, tout dans un esprit de très grande harmonie avec les autres passagers. On partageait les nourritures, les histoires, les espoirs… On a pris presque toute une journée pour traverser cet immense état en observant une nature presque intacte.
La capitale Sao Luis nous attendait dans toute son splendeur. Ses plages où le coucher du soleil était si beau que la naissance de la lune, où les grandes différences des marées transformaient la même plage dans une autre, où la chaleur des gens dépassaient tous les limites. Nous avons été accueillis dans une maison de famille, comme ils reçoivent les siens : en partageant la table, les chambres, les sourires. Par la fenêtre, on regardait les étoiles et sentait la brise fraiche et parfumé sur nos hamacs.
Sao Luis possède un centre ville très préservé, récemment rénové à l’époque, où les nuits se passaient tranquilles, comme le changement de ses marées. Dans ses ruelles la culture palpitait dans les spectacles musicaux du Boi Bumba, dans toutes ses variations rythmiques. On a eu la chance d‘assister, dans le théâtre municipale, un spectacle inoubliable, où les différences de couleur, sociales et religieuses n’avaient aucune importance : par la seule raison que la Fête du Bumba-meu-boi unissaient toutes les croyances. Le mois de juillet est très particulier pour les fêtes de ce genre, ce qui mérite véritablement une visite; certainement il y a une compagnie aérienne qui fait le parcours… pas besoin de prendre deux jours de voyage pour vivre l’enchantement « maranhense ».
Là bas, la simplicité joue le rôle de l’essentiel : dans la façon de manger, de s’habiller, de se communiquer; et quand on est simple, rien n’est compliqué. Quand on se dispose à vivre dans l’essentiel, on se demande pourquoi ne pas l’avoir fait avant…
Ces valeurs m’ont tellement marqués, que plus jamais je ne verrais la vie si compliqué, pour plus qu’elle ait l’air, car il y a toujours une solution plus simple de ce qu’on imagine.
On ne savait pas, mais nos prochains jours seraient encore plus basés sur l’essentiel que jamais.

sábado, 14 de maio de 2011

Un regard à perdre de vue.

Photo : Fernando Cohen
Quand on marche dans les rues du centre ville de Sao Paulo, on ne se rends pas compte de sa dimension, ni de son extension. Dans ses 1.522.986 Km 2 elle accueille plus de 19 millions d’habitants.
Les bâtiments qui font partie de son structure, son presque des personnages qui peuvent raconter l’histoire de son peuple. On peut même les voir d’un autre angle, surprenante, dans une des promenades proposés par l’équipe du Cicerona Cultura.
Le progrès est si évident à Sao Paulo, qu’on a l’impression que tout les vestiges du passé ont été effacés. Pourtant c’est bien là ou un guide peut vous faire découvrir le vrai sens de plusieurs curiosités de la ville.
Le programme « Sao Paulo du progrès, depuis autrefois » propose une promenade détaillé des la rue XV de novembre et de la Place Antonio Prado. C’était dans cette région que Sao Paulo a commencé a devenir métropole.
Le premier arrêt est au Centre Cultural Banco do Brasil, un espace d’expositions, salles de théâtre, cinéma, restaurants et cafés. On ne peut pas partir sans expérimenter la suavité d’un grain de café très spécial, encore plus savoureux si accompagné d’un traditionnel pao de queijo (pain au fromage).
La visite continue dans le pateo de la Bourse, où elle fonctionnait au siècle dernier.
Le top de la promenade c’est la visite à la Tour du bâtiment Banespa, avec ses 35 étages. C’est au dernier où on peut admirer la dimension de cette ville multiracial, pleine d’adjectives et qui ne arrête jamais.

Sao Paulo n’est pas fait de bâtiments, mais de gens, des personnes qui aiment cette ville avec ses défauts et ses qualités, des gens très accessibles, pleines d’histoires de vie à raconter.

L’equipe du Cicerona propose finir la promenade dans un resto très sympathique dans la Place Antonio Prado, une option pour déguster aussi les qualités gastronomiques de la ville… et c’est un bon sujet pour une autre fois !