domingo, 16 de outubro de 2011

L’île du Cardoso : la nature dans son splendeur.






                                     photo: http://www.melhorespraias.com.br/files/maruja.jpg



Il y a très longtemps, certainement une quinzaine d’années, une aventure nous a fait connaître et plus jamais oublier une île, pas loin da la ville de Sao Paulo, l’Ile du Cardoso. Inaccessible par avion, on peut la rejoindre par voiture à partir de Sao Paulo en prenant l’autoroute Régis Bittencourt et des toutes petites routes, pour finalement arriver à Pariquera-Açu et traverser un fleuve par bateau. Les efforts sont récompensés : l’île représente la nature en état brut.

Pour passer le jour de l’an, on a l’habitude de fuir des grands événements, on cherche plutôt la tranquillité, des endroits plus éloignés des bouchons et plus proches de la nature pure, presque intouchable. L’arrivée a la ville où on est obligé de laisser la voiture a été déjà une grande aventure : avec dérapage sur une route mouillée qui rappelait une piste interminable de savon.

Après la surprise, un bateau motorisé nous a conduit jusqu’au Maruja, le centre du village, où on trouve des auberges très simples et des campings. Sur le trajet, des « botos », un spécimen de dauphin qui vit sur les fleuves brésiliens, sont vénus nous féliciter, avec sa présence magique et inoubliable.

L’Ile est depuis 1962 un Parc d’Etat, protégé par des lois qui restreint la construction, l’habitation et le tourisme pour protéger la richesse des marais, de la forêt atlantique et de « restinga ».

Le parc est habité pour environ 480 personnes, qui survivent grâce à la pêche et à la culture de subsistance. L’île est un exemple de patrimoine de l’humanité qui depuis 1998 arrive a équilibrer le tourisme et la préservation de l’environnement, un succès de développement durable. Sur le site officiel, des conseils basiques sont transmis tels acheter des produits locaux, ne pas ramener des animaux, quoi faire avec les déchets. Tout la simplicité et la beauté de cet endroit a un prix a continuer et c’est de responsabilité du visitant de se renseigner sur la façon de maintenir les locaux le plus préservés que possible.

Et que des merveilles à découvrir : le coucher du soleil au bord du fleuve, les cascades, les orchidées, les plages, la convivialité offerte en sourires par la communauté locale. J’ai vécu un passage d’année tranquille et inoubliable, je vous invite à vous programmer pour être enchanté par ce bout du Brésil.



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