Oh, linda terra para se implantar uma vila !
Quelle belle terre pour se fonder une ville !
Il était une fois une ville appelé comme ça : Olinda. Cette belle terre, comme disait déjà son premier fondateur qui a beaucoup investi pour le développement du lieu, reste encore si belle et charmante comme dans les années qu’elle était capitale de l’état du Pernambuco.
Une terre pleine de bonheur, avec le soleil qui règne sur une mer tranquille et transparente, qui attends les fêtes très fréquentes. Là où une partie de mon cœur bat, chez mes parrains, j’ai découvert un autre rythme de vie, une autre température, une autre odeur.
La grande voisine capitale, la ville de Recife a pris heureusement son poste et a progressé avec ses bâtiments au bord de la mer, comme s’il voulaient toucher le ciel. Dommage, car ils ont crée quelques ombres sur les coraux naturels qu’y existent et embellissent la coté.
Olinda a échappé à ce progrès désordonné, et a gardé le charme et la beauté de ses constructions, déclaré il y a trente ans patrimoine mondiale de l'Humanité par l'Unesco. Son centre ville a su restaurer des bâtiments d’extrême beauté très caractéristique de la colonisation portugaise, et même de l’époque qu’elle a été sur le domaine hollandais.
Depuis environ vingt ans que je prends des vols visiter mes parrains, je suis toujours enchanté par son atmosphère. L’odeur des algues et l’air marin presque touchable quand on passé au bord de la mer, envahissent mon esprit et remplissent mon cœur de joie. Des apéritifs pris entre amis dans des petits restos avec cette brise inoubliable n’ont jamais abandonnés mes meilleurs souvenirs. Je me souviens jusqu’aujourd’hui de la première fois que je suis monté jusqu’à l’église Sé, et des toutes les impressions si précieuses reçues. La fatigue causé par l’effort de la monté a été fortement compensé par la superbe vue de la mer et de la capitale, à seulement six km de distance. La musique locale, qui font la joie des amateurs du Carnaval, emballaient le coucher du soleil et les tentes d’artisanat .
Et le petit creux qui est apparu a été rempli par la incomparable Tapioca. Une jolie et forte dame noir, habillée en blanc, dont le sourire contrastait avec la beauté brillante de sa teinte; préparait rapidement cette merveilleuse gourmandise, réchauffant la farine de manioc en ajoutant comme farce un fromage locale appelé « queijo coalho », de la noix de coco râpée et du lait concentré sucré… une délice ! Pas de soucis pour les calories, car on peut danser le forro pendant quatre heures de suite et les a brulées toutes…
Olinda n’a pas besoin de pub, c’est une ville vraiment unique, de caractère. Même le Carnaval arrive d’une forme qui garde les traditions de poupées géantes sans laisser de s’actualiser. Les défilés très variés, le rythme du Frevo et Maracatu, pendant trois jours et trois nuits laissent le plus animés complètement épuisés.
Il n’y a pas d’époque qu’elle ne soit pas belle et agréable. Si vous cherchez un vol pas cher pour venir en famille, je vous conseille la tranquillité et la brise du mois de juillet et aout, mais si vous voulez fuir de l’hiver européen, et en profiter du Carnaval, venez en février ou mars, vous n’allez pas regretter !
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