segunda-feira, 6 de junho de 2011

Sao Paulo vers le silence.

photo : Fernando Cohen
Une métropole comme Sao Paulo ne connais pas le silence… C’est facile à imaginer l’impossibilité du silence dans une immensité de vie 24 heures sur 24, mais on y trouve quand même de coins plus introspectives et silencieux dans cette ville monumentale.

Vous avez un dimanche libre à Sao Paulo, du à un vol à travail ? L’équipe du Cicerona à une promenade sur mesure pour vous proposer qui ira transformer cette journée. Si ce n’est pas le cas, car vous avez pris un vol pas cher pour passer quelques jours de vacances dans cette ville mystérieuse, là aussi, vous pouvez enrichir votre perspective de la ville accompagné d’un guide du Cicerona, qui peut vous aider à comprendre un peu plus de ces mystères qui circulent et racontent un peu de son histoire.

La promenade commence par le Large Sao Bento (Saint Benoit). Le large a ce nom en hommage au Monastère de Saint Benoit, qui accueille des visiteurs qui peuvent assister à la messe des dimanches, faites en latin, et entendre le chant Grégorien chanté par les moines qu‘y vivent. Ces sont des moines bénédictins, arrivés depuis 1598 dans la ville. Une petite abadie, devenue après quelques temps une chapelle, ou, petit à petit, après quelques changements et constructions, est devenu le monastère d’aujourd’hui. La boulangerie doit certainement être visité, avec ses délices préparés par les moines.

La localisation du monastère a été choisi en honneur a la tribu d’un sage indien appelé Tibiriça, un personnage qui a aidé la communication entre les amérindiens et les européens récemment arrivés. Le bâtiment a témoigné des événements historiques de la ville et du Brésil, et garde aussi quelques curiosités, comme l’horloge le plus précis de la ville et sa bibliothèque, dont la moitié des livres ont été publiés pendant le XIX e siècle.

Après une matinée enrichissante et introspective, le promenade continue avec la vue à partir du viaduc Santa Efigenia, lui-même une œuvre d’Art; de la vallée du Anhangabau, un mot de la langue « tupi » qui signifie les Eaux des Esprits Maudits. En effet, où on voit aujourd’hui une grande place avec des jeux d’eaux, sculptures et un beau jardin a beaucoup changé depuis le siècle dernier. D’abord, il y avait un fleuve où les gens se baignait, après quelques années, vers 1855, une rue a été crée pour que les habitants pouvaient traverser , jusqu’à l’urbanisation croissante entre les années 30 et 50. Dans les années 80, un grand projet a revitalisé la région, une des belles cartes postales de la ville aujourd’hui, un espace public qui accueil manifestations et spectacles - d’où on peut admirer d’autres cartes postales de la ville.

Encore un visage de ma ville natale : Sao Paulo - surprenante, bouleversante et stimulante.

Nenhum comentário:

Postar um comentário