quinta-feira, 28 de abril de 2011

Un printemps en Sicile.


Pour qui n’avait jamais été en Italie, on a bien commencé… par le bas, par l’île de Sicile. En famille, on a parcouru toute la côte en voiture, et le planning était de faire le tour en partant de Palermo pour y retourner dans une semaine : la liberté absolue !
Le vol est arrivé à Palermo, où on a pris la voiture et où a commencé l’aventure. Une ville vivante et chaotique, avec un charme particulier retrouvé dans son centre ville, ou les motos, les pietons, les vendeurs des fruits et les animaux vivent dans une harmonie curieuse, chaque un respect l’autre comme il est. Les fraises étaient si surprenantes que la sympathie des ces gens simples et souriantes.
On est parti vers la cote le même jour, et on a trouvé un endroit vraiment spécial pour passer la nuit. La tombée de la nuit aux pieds d’une falaise nous a surpris par la beauté du premier coin qu’on s’est arrêté un peu par hasard… Dans la province de Cefalu, où on a fait un tour le jour suivant. La mer vue des anciennes constructions était quelque chose de magnifique.
L’île nous a vraiment surpris par l’harmonie entre les ruines gréco-romaines, les belles plages et la vision incroyable qu’on avait fois ou l’autre du volcan Etna. Pour moi, une drôle de comparaison - L’Etna est pour la Sicile comme la Tour Eiffel pour Paris, quand on se rends compte, elle est là devant nos yeux.
C’est justement l’Etna, qui nous a accompagné pendant au moins la moitié du voyage, notre deuxième surprise de l’aventure.
On a décidé de s’approcher au maximum du volcan, en prenant une route qui montait et changeait plus on montait. Même la neige a commencé a apparaître au bord de la route, pendant qu’on était habillés en bermudas dans la voiture… Cette nuit, on s’est couché dans l’auberge le plus proche du volcan, une grande émotion pas seulement pour les enfants.
Très tôt le matin on a fait une promenade aux alentours du volcan. Plus on s’approchait, plus l’air était lourd et froid. Le mystère d’un volcan que peut se manifester n’importe quand nous fait réfléchir sur le grand mystère de la vie.
Après la promenade, on s’est reposé et piqueniqué dans un bois pas très loin, aux ombres des premières feuilles du printemps tardif de la montagne.
Entre les arbres de citron sicilien fleuris qui parfumait la brise tiède et les exotiques artichauts qui poussaient forts dans les champs, on a traversé cette île si multiple et diversifié. Et on n’avait même pas commencé le voyage !

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