quarta-feira, 22 de fevereiro de 2012

Connexions gourmandes franco-brésiliennes







La cuisine brésilienne signifie, pour le brésilien qui aime la cuisine, une expression de générosité et d'amour. Ainsi que les bons plats de famille français, ils sont fêtés et savourés aux grands repas dominicales qui durent toute une journée. Certainement, il y a eu un moment de l’évolution de la cuisine amoureuse auxquelles les deux pays se sont rapprochés.
Sinon, comment expliquer les similitudes entre le Cassoulet et son cousin très populaire, préparé avec le haricot noir, notre connue "feijoada". Le pot au feu, qui réchauffe les corps et les coeurs très profondément, n'imagine pas que des soupes aussi chaleureuses sont longuement faites avec les boeufs du l'autre coté de l’océan, Et que, en plus, le bouillon peut être un vrai régal et s’appeler "Capelletti au brodo", comme en Italie. Les tourtes et nos "empadas" s'approchent beaucoup, et les farces sont toujours les plus belles découvertes, tant ici comme là bas...Le gigot d’agneaux, un classique de la cuisine française, est aussi un plat réservé aux moments les plus importants au Brésil, comme les fêtes de la fin de l'année et les pâques, liés à des coutumes religieux que, dans nos jours, il n'y a pas grand monde qui reconnait.
Les légumes farcis, différemment, mais aussi bien assaisonnés, ont toujours fait partie des plus belles tables familiales dans ma mémoire; des aubergines et poivrons dont le couvercle étaient des bouts de pains aromatisés à la farce, irrésistiblement parfumés.  Nos "escondidinhos" d'origine de la culture du Nord-est du pays- en traduisant, petits cachés - sont une version formidable du Hachis Parmentier, autant satisfaisant que la version française.
Un autre point en commun, que je trouve en regardant les deux univers, c''est la passion pour la viande. Tous les deux cultures sont, d'une façon générale, passionnés par la viande rouge, soit elle traité avec royauté - des touches de bon sel et poivre, saignant, presque nature;  soit elle généreusement salé et servi dans les "churrascarias", sur des plateaux qui circulent autour des assiettes des fidèles carnivores qui fréquentent les "rodizios" du Brésil, ou se mange à volonté. A part les défilé des viandes, des tables de salades attendent les plus affamés. 
Des exagères à part, la relation avec la nourriture nous approchent et est une invitation très séduisant pour ceux qui s’intéressent par des nouvelles impressions culturelles à travers la gourmandise.
Tout un monde s'ouvre à Sao Paulo, où vous pouvez vous approcher de toutes les cuisines du monde, préparés avec un soin extrême et une fidélité exemplaires. Des très bons restaurants japonais, chinois, portugais, espagnols, libanais, italiens, allemands, et de n'importe quel pays, servent de la bonne cuisine alliés à l'accueil très particulier brésilien, ce qui vous pouvez confirmer vous mêmes. Imaginez votre parcours dans la ville et partagez vos envies avec l'équipe du Cicerona Cultura : elle va transformer une simples promenade dans un voyage inoubliable !    

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