sexta-feira, 11 de fevereiro de 2011

Salvador da Bahia - une richesse au milieu de la cote brésilienne

Au nord-est du Brésil il ne fait jamais froid. L’hiver là bas, entre les mois de juin à septembre, est marqué par des périodes de pluies et un peu plus de vent au bord de la mer que pendant le reste de l’année. Un temps très favorable pour le tourisme, et parfait pour atteindre tous les gouts. Qui préfère la chaleur d’été, d’environ 30 dégrées peut aller se joindre à la foule à l’époque du Carnaval. Pour ne pas manquer à cette fête inoubliable il faut prendre un vol vers Salvador da Bahia, où se passe l’un des plus mouvementés fêtes des rues du Brésil, la plus grande fête de rue du monde ! Si cela vous intéresse, sachez qu’il en a encore des billets (les Abadas) pour suivre les « Trios eletricos » pendant 4 jours et 4 nuits. Le Carnaval cette année se déroulera entre le 04 et 09 Mars, mais à Salvador la fête commence une semaine avant. Bah oui, on aime la fête aux Brésil.
Alors, si on pense un peu plus loin, aux grands vacances par exemple, il n’y aura peut être pas beaucoup des compagnies aériennes à proposer le même trajet, mais vous allez retrouver les mêmes paysages, avec beaucoup plus de tranquillité et un temps plus doux et agréable.

Il y a quelques années, on est parti pendant le mois de Juillet à Salvador sans trop planifier le trajet. Des vacances avec quelques repaires, mais sans un destin précis.
On a pris quelques jours pour connaître Salvador, la première capitale du Brésil.
Salvador est aujourd’hui le résultat d’une mélange entre les cultures européennes, africaines et amérindiennes. C’est évident quand on croise les « soteropolitanos » la richesse musicale, artistique, gastronomique et architecturale, qui provient certainement de ce mélange intercontinentale. La ville a été la porte d’entrée de l’esclavage, et garde les endroits marqués par la souffrance de ces temps difficiles. Avec l’abolition de l’esclavage d’autres problèmes ont apparus, le manque de travail pour les africains et sa vie dans un milieu discriminatoire et hostile. La force de la ville d’aujourd’hui est un reflexe de la force de la culture africaine qui a supporté les jours difficiles et a prédominé sur les autres cultures.
Le quartier du Pelourinho (petit pilori, car c’est là que les esclaves étaient punis) c’est un de ces endroits qui a été revitalisé et restauré. La culinaire bahianaise est très connue aussi par cette mélange. Et qu’est-ce qu’on peut bien manger dans le quartier avec la vue du haut de l’ascenseur Lacerda, la mer à l’horizon ! Dans la culinaire typique locale on trouve beaucoup de poissons, fruits de mer, noix et lait de coco. J’aimerais bien apprendre a faire deux œuvres d’art de la culinaire bahianaise : le bobo de camarao ( crevette) et le vatapa . Là, on est dans la Haute Cité, et en bas se trouve la Basse Cité. Au bord de la mer on voit la première Cathédrale du Brésil, et les constructions plus anciennes que sont des plus en plus entourés de grands bâtiments.

De la Lagoa do Abaeté au Farol da Barra, Salvador est une perle a être découverte par soi-même. Sans parler de toutes les plages qui peuvent être découvertes en partant vers nord comme vers le sud. C’est justement à ce sujet que je vous parlerai la prochaine fois…

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