terça-feira, 15 de novembro de 2011

Coimbra et ses belles ruelles



                                           photo: http://coimbrahostel.blogspot.com/
L’arrivée à cette belle ville, au cœur de Portugal, environ 200 km loin de Lisbonne m’a beaucoup marqué. Nous sommes arrivés en voiture, après avoir traversé les courbes de la Serra da Estrela, et nous avons rencontré des ruelles si étroites comme j’ai n’avais jamais vu auparavant. Des ruelles, une après l’autre, comme dans un film ancien, quand les seuls moins des transports étaient les chars et les chevaux.

En arrivant à l’hôtel, une place très sympathique nous invitait à une promenade nocturne; et avec la brise chaude d’été nous sommes parti prendre l’air.

Coimbra possède son propre aéroport pour ceux qui préfèrent prendre un vol, vue qu’il faut au moins trois jours pour y arriver tranquillement en voiture, par les autoroutes. En partant de Paris, vous trouverez certainement des compagnies aériennes qui font le trajet.

La journée suivante s’annonçait longue, sous une grosse chaleur. Les montées ont mis à l’épreuve l’esprit sportif du notre groupe, mais les coins les plus sympathiques demandaient cet effort. L’église Sé Velha, en style romain s’imposait sombre et vivante au même temps, comme si ses murs pouvait raconter l’histoire des années témoignés par cet œuvre.

En traversant la rue, nous avons visité une des premières universités européennes, la première en Portugal : l’Université de Coimbra.

Jusqu’à nos jours, Coimbra maintient une ambiance jeune et politisé grâce à l’université et aux étudiants qu’y vivent. Cette reconnue université compte 21000 étudiants et la plus grande et la plus ancienne association d’étudiants du pays. Probablement pour cette liaison, la ville aura très bientôt le premier Tribunal Universitaire Européen. Comme ville universitaire, Coimbra passe pour des grands travaux qui ont pour objectif dynamiser la ville et favoriser sa candidature à Patrimoine Culturel de l’humanité. La musique, très valorisé dans l’authenticité du fado, retrouve aussi les nouvelles musicalités du jazz et blues.

Coimbra a été la ville natale du premier roi de Portugal et pendant longtemps la capitale du pays. Elle exhibe un charme particulier dans le centre vieux, ou on circule en identifiant tous les passages culturelles registrés dans ses monuments.

Historiquement, Coimbra a été peuplé par la diversité, les romains, les musulmans et les chrétiens ont marqué la ville avec ses caractéristiques particuliers, en conquérant la ville à tour de rôle.

L’Aqueduc de Saint Sébastian d’origine romaine a été restauré et préservé, sur le parcours qui reliait le monastère de Saint Anne et le château de Coimbra, qui n’existent plus aujourd’hui. Le jardin de la Manche représente une des premières œuvres de la renaissance, et a été « imaginé » par le roi Jean III, qui lui a dessiné sur la manche de sa veste; pendant que le jardin Botanique a été finalisé par le Marquis de Pombal, et compte par une infinité de plantes très variés.

Ainsi, vous retrouverez dans les monastères, églises et cathédrales de Coimbra la diversité religieuse conservés depuis longtemps, mélangé harmonieusement à son statut de ville universitaire.



terça-feira, 8 de novembro de 2011

Ceagesp : des nourritures pour tous les sens.


                                       photo : http://www.rainhasdolar.com/


J’ai grandi en mangeant des fruits et des légumes de saison, très proche de l’univers de cet endroit appelé Ceagesp. Ma grand-mère ainsi que ma mère participaient d’un groupe qui achetait une grande quantité des légumes des saisons et partageaient également, ce qui a marqué nos papilles pour toujours. Des gratins, des soufflés, des légumes à croquer, tout frais et bon, ce qui a structuré notre santé, la mienne et des mes sœurs.

Un grand espace de vente à particuliers et aussi à toute sorte de commerçants, de petits supermarchés à restaurants - ce monde mérite une visite attentive pour tous les sens. On se régale avec les couleurs intenses, un cadeau pour le regard; avec les aromes des fruits mélangés aux fleurs, des parfums inoubliables à l’odorat; et en plongeant dans le bruit enthousiaste des vendeurs à négocier, dans une atmosphère très vivante.

L’entrepôt est la plus grande du secteur, qui soutient la distribution dans tout l’état, de fruits et légumes, viandes et poissons, plantes et fleurs. Cet espace publique est considéré comme un des plus grands du monde, où il y a tout un travail de recherche pour garantir la continuité des prix en rapport à la qualité des produits offerts. Il arrive sur place un programme dont l’objectif est soutenir et aider les petits agriculteurs à créer un lien avec leurs clients, qui passent à connaitre l’origine exacte du produit acheté et la transparence du producteur. Comme exemple, selon des emballages suggérés qui indiquent des informations précises, les clients peuvent devenir fidèles à certains producteurs qu’ils sont d’accord.

Environ soixante pêcheurs peuvent atteindre leurs clients pas trop loin de la mer, et offrir une grande variété des poissons, crustacés et mollusques encore très fraiches.

L’incroyable Marché des fleurs est très reconnu et fréquenté avec son infinité de plantes, fleurs et artisanat, distribués sur 20 mil m2. Les décorations festives, les cadeaux originaux, la créativité et motivé devant telle diversité.

Préparez vous alors, économisez votre énergie pour admirer à partir de 5h du matin, consultant à partir du site officiel les jours et horaires de fonctionnement de cet univers pour les sens. Laissez vous guider par la sympathie et l’approche des guides du Cicerona, qui pourront vous aider à connaitre un peu plus de l’esprit du peuple brésilien.

quarta-feira, 2 de novembro de 2011

L’Ile Grande - la beauté naturelle d’un paradis sur la Terre.




Le Rio de Janeiro cache de très belles surprises, heureusement de plus en plus protégés par ses habitants, conscient des effets de l’homme sur la nature. Je parle de l’ile Grande, un trésor a découvrir dans la cote sud de la capitale mondialement connue.
Vous y retrouverez un paradis pour les gouts les plus variés : les fêtes et l’hospitalité brésilienne, la mer parfois tranquille, parfois exubérante; le ciel étoilée et la nature intense de la foret atlantique : toute la beauté retrouvé dans un seul lieu.
Comment y arriver ? Si vous venez à partir d’un vol à Sao Paulo, vous pouvez se faire plaisir en prenant la route Rio-Santos, avec ses belles paysages et plages; mais si vous arrivez à Rio de Janeiro, la route est plus courte, mais un peu moins belle. Il existe un petit aéroport à Angra dos Reis, pour les avions particuliers et un grand choix d'héliports.
Il faut prendre un bateau ou un ferryboat, qui sortent de Angra dos Reis et de Mangaratiba pour arriver finalement sur l'île, où les voitures ne peuvent pas rentrer.
La plus grande île de l’état, 193 km2 et 106 plages; conserve encore des habitudes des ses premiers habitants : les indiens tamoios et tupinambas, ce qui maintient son habitat originel, et même dans les villages d’hébergement, où il est possible partir à innombrables promenades, les enfants jouent tranquilles, les petits restos et campings sont variés selon les besoins et les conditions de chaque un.
Les plages offrent la plus grande variété de paysages, c’est vraiment incroyable ! Toujours dans les nuances de bleu, l’eau peut faire semblant d’un lac tranquille et transparent, du coté tourné vers le continent. De ce coté là, il y a plus de monde, plus d’options d’hébergement, le confort de l’électricité et de la téléphonie. Les promenades en bateau partent souvent des ces villages, mais selon l’intérêt, toutes les attractions peuvent être satisfaites.
L’ile peut faire plaisir aux sportifs, car elle peut être découverte à pied en randonnée, en plongée, par le surf et même par montain bike. Les amateurs de la plongée peuvent se régaler en observant les bateaux victimes des naufrages à la Plage da Parnaioca - le Vapor Japurá - naufrage en 1860, à la Plage Vermelha - le vapor Califórnia - en 1888; à la Baie de Jacuacanga- l’Encouraçado Aquidabã - 1906. On n’a même pas cité les plongées moins profondes, qui permettent l’observation d’une énorme variété de poissons, et qui sais même des immenses tortues marines.
Ceux qui aiment la randonnée peuvent choisir entre une vingtaine de propositions qui partent surtout d’Abraao, avec des guides locaux; mais aussi d’Araçatiba pour découvrir de très près la nature, ainsi que pour les mountainbikers. L’époque la plus favorable est entre mai et aout, car la température est agréable et il ne pleut presque pas.
Du coté de l’océan, plus sauvage, les surfeurs aimeront les vagues de Lopes Mendes, Santo Antonio et Aventureiro. L'île garde des endroits encore très rustiques, où l'electricité est arrivé il y a quelques années. Là, les amateurs de la nature pourront admirer le merveilleux ciel étoilé.
Cette île surprenante peut faire plaisir aussi aux couples, aux groupes et aux familles, à partir d’un approche du paysage paradisiaque des plages dans les promenades maritimes qui sont les plus recherchés. Cette vue magnifique de la variété de ce bout de paradis peut être même enrichi par la apparition des dauphins en pleine mer ! Merveille que je peut témoigner, et que je n'irai jamais oublier.
Le menu est presenté… maintenant c’est à vous de choisir la compagnie aérienne pour le trajet, l’époque la plus favorable selon vos possibilités… Une chose je vous assure, vous allez vous surprendre avec ce que vous allez trouver !

quinta-feira, 27 de outubro de 2011

Tour à Sao Paulo, sur un vélo !



L’équipe du Cicerona a crée une promenade qui plaira certainement les français aimants des deux roues : un tour en vélo au centre ville.

La promenade, qui est accompagné par un cycliste expérimenté, suis un circuit des rues très connues comme l’avenue Paulista, rue Augusta, rue Brigadeiro Luis Antonio, avenue de la Liberté…ah, la liberté de circuler dans un autre rythme, ce qui donne la possibilité d’un nouveau regard sur les choses, les monuments, les bâtiments, les alentours…Mais qui exige aussi une attention particulière, car dans ce parcours il n’existent pas beaucoup des pistes cyclables.

Un icône dans le parcours c’est la rue Augusta, qui croise l’avenue Paulista, et garde deux visages dans chaque coté : le glamour du quartier du Jardins et le monde « underground » du centre ville, une rue qui mérite être vue et visité pendant moments divers de la journée. Remarquez le « Conjunto Nacional », au coin des rues Paulista, Augusta et Padre Joao Manuel, une œuvre qui a accueilli le premier « shopping center » de l’Amérique Latina et contient un horloge symbole de la ville, qui marque l’heure et la température de la région.

L’avenue Paulista et son charme particulier, ses bâtiments, le musée d’Art de Sao Paulo (MASP) et le Parc Trianon, tous font partie de l’entourage de cette promenade de 10.700m, qui peut durée trois heures…Pas beaucoup par rapport à la quantité d’attractions proposés.

Le centre historique est aussi valorisé par cette vision sur les deux roues. Le majestueux Théâtre Municipale de la ville, récemment restauré, est désormais si beau à l’extérieur qu’à l’intérieur.

Le coin de l’avenue Ipiranga et l’avenue Sao Joao, éternisé par Caetano Veloso dans la chanson Sampa… peut inviter à la réflexion sur la vie qui s’envole dans les grandes villes, dans ce mouvement pressé qui nous avale, et qu’on ne se rends même pas compte. Observez dans l’avenue l’édifice Copan et l’ancien Cine Ipiranga, dont espace interne a été récemment considéré patrimoine historique et culturel de la ville. La Place de la Republique, de représentative diversité; le Pateo du Colégio, qui marque le kilomètre zéro de la ville; la cathédrale Sé et ses nombreuses renouvèlements, entouré par la Place qui cache les souterrains d’un métro où circulent environ 79 mil personnes par jour. On respire l’histoire dans un quartier qui mérite beaucoup plus qu’un regard… mérite un soin spéciale, un soin attentive aux besoins du peuple qui aime cette région.

En sortant du cœur du centre ville, le parcours suit la rue de la Liberté, coin connu par son visage japonais, et ses très bons restaurants. Ensuite, passe devant le Centre Culturel, toujours avec des bonnes attractions - le 35o Festival de Cinéma, qui se déroule en ce moment, entre autres.

Il n’y a pas de début, il n’y a pas de fin… cette promenade ouvre des portes et propose des nouvelles découvertes… A chaque un de retrouver son intérêt au milieu de ce grand repas !

sexta-feira, 21 de outubro de 2011

Lisbonne est vraiment bonne.



Qui connais l’histoire du Brésil sais que ce pays a été colonisé par les portugais, arrivés en 22 avril 1500. Depuis ce jour le pays ne serais plus jamais le même…
Dans nos jours, après tous les immigrations, la culture brésilienne est métisse, mélange de toutes les immigrations que le pays a reçu depuis l’arrivée des portugais. Des italiens, des allemands, des espagnols, des japonais, des hollandais et beaucoup d’autres peuples se sont installés au Brésil dans l’espoir d’une meilleure qualité de vie, mais le pays a maintenu une caractéristique qui nous reliera pour toujours : la langue portugaise.
Si je suis un résultat de cette mélange si représentative chez le brésilien, je voudrais m’approcher des origines portugaises et voir de plus près l’esprit de ce peuple. En famille, nous avons loué une voiture pour connaitre Lisbonne, la terre d’où partaient les navigateurs des années 1500. De Paris, nous avons choisi l’aventure d’y aller pendant deux jours par les autoroutes, en traversant la France et l’Espagne, mais il est très simple de trouver des vols directs ou indirects par plusieurs compagnies aériennes, même au dernier minute. Pour les petites vacances de Toussaint, c’est une très bonne idée, changer d’air et profiter de la douceur du climat au bord de la mer.
Nous sommes allés pendant le mois d’aout, pendant une chaleur très forte, qui peut parfois déranger le rythme des promenades.
Lisbonne est faite pour être découverte tranquillement, à pied ou en prenant des bus. Nous avons commencé par la partie baisse, le quartier appelé Baixa détruit en 1755 par un tremblement de terre et complètement reconstruit par Marquês de Pombal. Le Couvent des Carmes en ruines représente toute la mémoire de ce terrible événement, et est devenu aussi le Musée archéologique du Carmo. De la, nous avions deux choix : celui de monter à droite ou celui de monter à gauche. D’un coté, le Château de Saint George et l’église Sé, la plus ancienne de la ville; de l’autre une vue superbe du château. On a commence par la vue du château, si beau de loin comme de près.
Entre une promenade et l’autre on a pu comprendre l’origine chaleureuse de notre peuple par l’accueil sympathique des portugais dans la rue, qui nous aidaient même quand on ne demandait pas de l’aide. On se sentait chez nous en se promenant dans la rue, en croisant les regards et les sourires, en retrouvant des points en commun à des villes historiques brésiliennes, comme Olinda, à Pernambuco. En plus, le ciel bleu et la brise chaude qui nous accompagnait complétait le cadre : on avait l’impression d’être encore de l’autre coté de l’océan !
Le château de Saint George mérite une visite tranquille, entre ses murs des pierres qui ont témoigné un fascinant changement historique. Se promener entre ses belles arbres, et regarder du haut des ses tours la vue du quartier de la Baixa et du fleuve Tage c’est indispensable. Il se trouve dans le quartier d’Alfama, le cœur de la capitale, quartier qui a assisté la naissance du fado, musique traditionnel portugaise. Depuis ses temps, il est plein de bistrots agréables à passer une soirée, à déguster la gastronomie locale.
En sortant de la partie centrale, le quartier de Belém révèle encore des monuments intéressants à visiter : le Monastère de Jéronimos et le Tour de Belém, qui sont presque voisins et tous les deux considérés Patrimoine Culturel de l’humanité. Pendant que le premier contient une très belle architecture dans toutes les pièces qui peuvent être visités, le deuxième garde l’histoire défensive portugaise et le patriotisme de ce peuple.
Une semaine serais nécessaire à connaitre à fond cette ville sympathique, qui garde ce peuple chaleureux et souriant.







domingo, 16 de outubro de 2011

L’île du Cardoso : la nature dans son splendeur.






                                     photo: http://www.melhorespraias.com.br/files/maruja.jpg



Il y a très longtemps, certainement une quinzaine d’années, une aventure nous a fait connaître et plus jamais oublier une île, pas loin da la ville de Sao Paulo, l’Ile du Cardoso. Inaccessible par avion, on peut la rejoindre par voiture à partir de Sao Paulo en prenant l’autoroute Régis Bittencourt et des toutes petites routes, pour finalement arriver à Pariquera-Açu et traverser un fleuve par bateau. Les efforts sont récompensés : l’île représente la nature en état brut.

Pour passer le jour de l’an, on a l’habitude de fuir des grands événements, on cherche plutôt la tranquillité, des endroits plus éloignés des bouchons et plus proches de la nature pure, presque intouchable. L’arrivée a la ville où on est obligé de laisser la voiture a été déjà une grande aventure : avec dérapage sur une route mouillée qui rappelait une piste interminable de savon.

Après la surprise, un bateau motorisé nous a conduit jusqu’au Maruja, le centre du village, où on trouve des auberges très simples et des campings. Sur le trajet, des « botos », un spécimen de dauphin qui vit sur les fleuves brésiliens, sont vénus nous féliciter, avec sa présence magique et inoubliable.

L’Ile est depuis 1962 un Parc d’Etat, protégé par des lois qui restreint la construction, l’habitation et le tourisme pour protéger la richesse des marais, de la forêt atlantique et de « restinga ».

Le parc est habité pour environ 480 personnes, qui survivent grâce à la pêche et à la culture de subsistance. L’île est un exemple de patrimoine de l’humanité qui depuis 1998 arrive a équilibrer le tourisme et la préservation de l’environnement, un succès de développement durable. Sur le site officiel, des conseils basiques sont transmis tels acheter des produits locaux, ne pas ramener des animaux, quoi faire avec les déchets. Tout la simplicité et la beauté de cet endroit a un prix a continuer et c’est de responsabilité du visitant de se renseigner sur la façon de maintenir les locaux le plus préservés que possible.

Et que des merveilles à découvrir : le coucher du soleil au bord du fleuve, les cascades, les orchidées, les plages, la convivialité offerte en sourires par la communauté locale. J’ai vécu un passage d’année tranquille et inoubliable, je vous invite à vous programmer pour être enchanté par ce bout du Brésil.



sexta-feira, 7 de outubro de 2011

Sao Paulo par Niemeyer.


                                         photo : http://adoroviagem.uol.com.br/uploads/ponto/edificio-copan-sao-paulo-sp-12354.jpg


Nous avons aussi notre Gaudi, dont les œuvres modernes font partie de l’histoire du Brésil . Un architecte, aujourd’hui centenaire, qui a conçu Brasilia et ses bâtiments gouvernementaux, quelqu’un qui a imprimé son style dans les coins plus imprévus au Brésil : Oscar Niemeyer. Prenez un weekend pour visiter le centre ville, si jamais vous avez pris un vol à travail, il y a toujours des surprises à découvrir.

C’est dans la ville de Sao Paulo, déjà envahie par les Shoppings Centers - plus de 70, un recorde brésilien - que l’équipe de la Cicerona Cultura a préparé un circuit inimaginable pour nous : la découverte architectonique et culturelle des galeries commerciales du Centre Ville.

Comme on se surprends avec un Gaudi dans un bâtiment ordinaire à Barcelone, on s’étonne avec trois bâtiments projetés par Niemeyer, dans un centre ville qui vit une période de changement, entourés des projets des restauration et transformations importants.

L’ Edificio Copan, une des œuvres à visiter, est un gratte-ciel d’une histoire compliqué qui a pris onze ans pour être achevé. Si Niemeyer a signé le projet, et a maintenu sa marque à l’extérieur du bâtiment, il n’a pas accompagné sa construction et son achèvement. Dans les années 1970 le bâtiment a vécu ses pires moments, entre disputes internes et violences, histoires racontées même en livres. A partir de 1986, un groupe de résidents ont assumé l’administration et ensuite, avec la revitalisation du centre ville, le bâtiment résidentielle a commencé a transformer son visage, et a abriter des propriétaires les plus diversifiés, sans se laisser à l’abandon.

L’Edificio Eiffel, une autre œuvre réalisé par Niemeyer, a inauguré le style « pièces », inexistant à l’époque à la ville. Constatez de près sa formation unique et très particulière pour les années 1950, détaillée par un guide du Cicerona.

Le troisième bâtiment a être découvert est la Galerie California, aussi au Centre ville. Entouré de polémique, ses couloirs des bureaux et boutiques ont été critiqués à l’époque de son inauguration, mais aujourd’hui, sont en train de être restaurés, principalement le mosaïque de Portinari, qui était caché au sous sol du bâtiment. Le travail de restauration du mosaïque sera terminé en 2013, et peut être visité même pendant les travaux.
    Photo : http://www.flickr.com/photos/arteforadomuseu/page13/
Voilà encore un secret de plus caché par cette ville qui ne dort jamais, qui pulse sans arrêt. Si vous n’avez pas programmé les prochaines vacances, ça y est, il a même du temps pour trouver un vol pas cher. Bon voyage !