quinta-feira, 27 de outubro de 2011

Tour à Sao Paulo, sur un vélo !



L’équipe du Cicerona a crée une promenade qui plaira certainement les français aimants des deux roues : un tour en vélo au centre ville.

La promenade, qui est accompagné par un cycliste expérimenté, suis un circuit des rues très connues comme l’avenue Paulista, rue Augusta, rue Brigadeiro Luis Antonio, avenue de la Liberté…ah, la liberté de circuler dans un autre rythme, ce qui donne la possibilité d’un nouveau regard sur les choses, les monuments, les bâtiments, les alentours…Mais qui exige aussi une attention particulière, car dans ce parcours il n’existent pas beaucoup des pistes cyclables.

Un icône dans le parcours c’est la rue Augusta, qui croise l’avenue Paulista, et garde deux visages dans chaque coté : le glamour du quartier du Jardins et le monde « underground » du centre ville, une rue qui mérite être vue et visité pendant moments divers de la journée. Remarquez le « Conjunto Nacional », au coin des rues Paulista, Augusta et Padre Joao Manuel, une œuvre qui a accueilli le premier « shopping center » de l’Amérique Latina et contient un horloge symbole de la ville, qui marque l’heure et la température de la région.

L’avenue Paulista et son charme particulier, ses bâtiments, le musée d’Art de Sao Paulo (MASP) et le Parc Trianon, tous font partie de l’entourage de cette promenade de 10.700m, qui peut durée trois heures…Pas beaucoup par rapport à la quantité d’attractions proposés.

Le centre historique est aussi valorisé par cette vision sur les deux roues. Le majestueux Théâtre Municipale de la ville, récemment restauré, est désormais si beau à l’extérieur qu’à l’intérieur.

Le coin de l’avenue Ipiranga et l’avenue Sao Joao, éternisé par Caetano Veloso dans la chanson Sampa… peut inviter à la réflexion sur la vie qui s’envole dans les grandes villes, dans ce mouvement pressé qui nous avale, et qu’on ne se rends même pas compte. Observez dans l’avenue l’édifice Copan et l’ancien Cine Ipiranga, dont espace interne a été récemment considéré patrimoine historique et culturel de la ville. La Place de la Republique, de représentative diversité; le Pateo du Colégio, qui marque le kilomètre zéro de la ville; la cathédrale Sé et ses nombreuses renouvèlements, entouré par la Place qui cache les souterrains d’un métro où circulent environ 79 mil personnes par jour. On respire l’histoire dans un quartier qui mérite beaucoup plus qu’un regard… mérite un soin spéciale, un soin attentive aux besoins du peuple qui aime cette région.

En sortant du cœur du centre ville, le parcours suit la rue de la Liberté, coin connu par son visage japonais, et ses très bons restaurants. Ensuite, passe devant le Centre Culturel, toujours avec des bonnes attractions - le 35o Festival de Cinéma, qui se déroule en ce moment, entre autres.

Il n’y a pas de début, il n’y a pas de fin… cette promenade ouvre des portes et propose des nouvelles découvertes… A chaque un de retrouver son intérêt au milieu de ce grand repas !

sexta-feira, 21 de outubro de 2011

Lisbonne est vraiment bonne.



Qui connais l’histoire du Brésil sais que ce pays a été colonisé par les portugais, arrivés en 22 avril 1500. Depuis ce jour le pays ne serais plus jamais le même…
Dans nos jours, après tous les immigrations, la culture brésilienne est métisse, mélange de toutes les immigrations que le pays a reçu depuis l’arrivée des portugais. Des italiens, des allemands, des espagnols, des japonais, des hollandais et beaucoup d’autres peuples se sont installés au Brésil dans l’espoir d’une meilleure qualité de vie, mais le pays a maintenu une caractéristique qui nous reliera pour toujours : la langue portugaise.
Si je suis un résultat de cette mélange si représentative chez le brésilien, je voudrais m’approcher des origines portugaises et voir de plus près l’esprit de ce peuple. En famille, nous avons loué une voiture pour connaitre Lisbonne, la terre d’où partaient les navigateurs des années 1500. De Paris, nous avons choisi l’aventure d’y aller pendant deux jours par les autoroutes, en traversant la France et l’Espagne, mais il est très simple de trouver des vols directs ou indirects par plusieurs compagnies aériennes, même au dernier minute. Pour les petites vacances de Toussaint, c’est une très bonne idée, changer d’air et profiter de la douceur du climat au bord de la mer.
Nous sommes allés pendant le mois d’aout, pendant une chaleur très forte, qui peut parfois déranger le rythme des promenades.
Lisbonne est faite pour être découverte tranquillement, à pied ou en prenant des bus. Nous avons commencé par la partie baisse, le quartier appelé Baixa détruit en 1755 par un tremblement de terre et complètement reconstruit par Marquês de Pombal. Le Couvent des Carmes en ruines représente toute la mémoire de ce terrible événement, et est devenu aussi le Musée archéologique du Carmo. De la, nous avions deux choix : celui de monter à droite ou celui de monter à gauche. D’un coté, le Château de Saint George et l’église Sé, la plus ancienne de la ville; de l’autre une vue superbe du château. On a commence par la vue du château, si beau de loin comme de près.
Entre une promenade et l’autre on a pu comprendre l’origine chaleureuse de notre peuple par l’accueil sympathique des portugais dans la rue, qui nous aidaient même quand on ne demandait pas de l’aide. On se sentait chez nous en se promenant dans la rue, en croisant les regards et les sourires, en retrouvant des points en commun à des villes historiques brésiliennes, comme Olinda, à Pernambuco. En plus, le ciel bleu et la brise chaude qui nous accompagnait complétait le cadre : on avait l’impression d’être encore de l’autre coté de l’océan !
Le château de Saint George mérite une visite tranquille, entre ses murs des pierres qui ont témoigné un fascinant changement historique. Se promener entre ses belles arbres, et regarder du haut des ses tours la vue du quartier de la Baixa et du fleuve Tage c’est indispensable. Il se trouve dans le quartier d’Alfama, le cœur de la capitale, quartier qui a assisté la naissance du fado, musique traditionnel portugaise. Depuis ses temps, il est plein de bistrots agréables à passer une soirée, à déguster la gastronomie locale.
En sortant de la partie centrale, le quartier de Belém révèle encore des monuments intéressants à visiter : le Monastère de Jéronimos et le Tour de Belém, qui sont presque voisins et tous les deux considérés Patrimoine Culturel de l’humanité. Pendant que le premier contient une très belle architecture dans toutes les pièces qui peuvent être visités, le deuxième garde l’histoire défensive portugaise et le patriotisme de ce peuple.
Une semaine serais nécessaire à connaitre à fond cette ville sympathique, qui garde ce peuple chaleureux et souriant.







domingo, 16 de outubro de 2011

L’île du Cardoso : la nature dans son splendeur.






                                     photo: http://www.melhorespraias.com.br/files/maruja.jpg



Il y a très longtemps, certainement une quinzaine d’années, une aventure nous a fait connaître et plus jamais oublier une île, pas loin da la ville de Sao Paulo, l’Ile du Cardoso. Inaccessible par avion, on peut la rejoindre par voiture à partir de Sao Paulo en prenant l’autoroute Régis Bittencourt et des toutes petites routes, pour finalement arriver à Pariquera-Açu et traverser un fleuve par bateau. Les efforts sont récompensés : l’île représente la nature en état brut.

Pour passer le jour de l’an, on a l’habitude de fuir des grands événements, on cherche plutôt la tranquillité, des endroits plus éloignés des bouchons et plus proches de la nature pure, presque intouchable. L’arrivée a la ville où on est obligé de laisser la voiture a été déjà une grande aventure : avec dérapage sur une route mouillée qui rappelait une piste interminable de savon.

Après la surprise, un bateau motorisé nous a conduit jusqu’au Maruja, le centre du village, où on trouve des auberges très simples et des campings. Sur le trajet, des « botos », un spécimen de dauphin qui vit sur les fleuves brésiliens, sont vénus nous féliciter, avec sa présence magique et inoubliable.

L’Ile est depuis 1962 un Parc d’Etat, protégé par des lois qui restreint la construction, l’habitation et le tourisme pour protéger la richesse des marais, de la forêt atlantique et de « restinga ».

Le parc est habité pour environ 480 personnes, qui survivent grâce à la pêche et à la culture de subsistance. L’île est un exemple de patrimoine de l’humanité qui depuis 1998 arrive a équilibrer le tourisme et la préservation de l’environnement, un succès de développement durable. Sur le site officiel, des conseils basiques sont transmis tels acheter des produits locaux, ne pas ramener des animaux, quoi faire avec les déchets. Tout la simplicité et la beauté de cet endroit a un prix a continuer et c’est de responsabilité du visitant de se renseigner sur la façon de maintenir les locaux le plus préservés que possible.

Et que des merveilles à découvrir : le coucher du soleil au bord du fleuve, les cascades, les orchidées, les plages, la convivialité offerte en sourires par la communauté locale. J’ai vécu un passage d’année tranquille et inoubliable, je vous invite à vous programmer pour être enchanté par ce bout du Brésil.



sexta-feira, 7 de outubro de 2011

Sao Paulo par Niemeyer.


                                         photo : http://adoroviagem.uol.com.br/uploads/ponto/edificio-copan-sao-paulo-sp-12354.jpg


Nous avons aussi notre Gaudi, dont les œuvres modernes font partie de l’histoire du Brésil . Un architecte, aujourd’hui centenaire, qui a conçu Brasilia et ses bâtiments gouvernementaux, quelqu’un qui a imprimé son style dans les coins plus imprévus au Brésil : Oscar Niemeyer. Prenez un weekend pour visiter le centre ville, si jamais vous avez pris un vol à travail, il y a toujours des surprises à découvrir.

C’est dans la ville de Sao Paulo, déjà envahie par les Shoppings Centers - plus de 70, un recorde brésilien - que l’équipe de la Cicerona Cultura a préparé un circuit inimaginable pour nous : la découverte architectonique et culturelle des galeries commerciales du Centre Ville.

Comme on se surprends avec un Gaudi dans un bâtiment ordinaire à Barcelone, on s’étonne avec trois bâtiments projetés par Niemeyer, dans un centre ville qui vit une période de changement, entourés des projets des restauration et transformations importants.

L’ Edificio Copan, une des œuvres à visiter, est un gratte-ciel d’une histoire compliqué qui a pris onze ans pour être achevé. Si Niemeyer a signé le projet, et a maintenu sa marque à l’extérieur du bâtiment, il n’a pas accompagné sa construction et son achèvement. Dans les années 1970 le bâtiment a vécu ses pires moments, entre disputes internes et violences, histoires racontées même en livres. A partir de 1986, un groupe de résidents ont assumé l’administration et ensuite, avec la revitalisation du centre ville, le bâtiment résidentielle a commencé a transformer son visage, et a abriter des propriétaires les plus diversifiés, sans se laisser à l’abandon.

L’Edificio Eiffel, une autre œuvre réalisé par Niemeyer, a inauguré le style « pièces », inexistant à l’époque à la ville. Constatez de près sa formation unique et très particulière pour les années 1950, détaillée par un guide du Cicerona.

Le troisième bâtiment a être découvert est la Galerie California, aussi au Centre ville. Entouré de polémique, ses couloirs des bureaux et boutiques ont été critiqués à l’époque de son inauguration, mais aujourd’hui, sont en train de être restaurés, principalement le mosaïque de Portinari, qui était caché au sous sol du bâtiment. Le travail de restauration du mosaïque sera terminé en 2013, et peut être visité même pendant les travaux.
    Photo : http://www.flickr.com/photos/arteforadomuseu/page13/
Voilà encore un secret de plus caché par cette ville qui ne dort jamais, qui pulse sans arrêt. Si vous n’avez pas programmé les prochaines vacances, ça y est, il a même du temps pour trouver un vol pas cher. Bon voyage !