quarta-feira, 4 de janeiro de 2012

La séduisante île de Florianopolis.





Pendant qu'on reprend la vie après les fêtes de la fin de l'année, au Brésil débutent les Grandes Vacances d'été. Si vous avez la chance d'avoir pris un vol à Florianopolis, la capitale de l'état de Santa Catarina, alors vous allez bien profiter. La ville avec le meilleur indice de développement humain offre une qualité de vie exceptionnel, dans les 100 plages qui a contournent.

Dans cette île capitale, l'été est une époque particulière, ou la chaleur des plages contraste avec la fraîcheur des eaux, rien que les européens ne soient déjà habitués. La nature est l’alliée de l'île, représenté par des plages entourés de vert, des lagunes magnifiques et dunes. Soit du coté du continent, soit du coté de l’océan, les plages sont diversifiées selon les goûts et les intérêts.

La ville natale de Guga, le teniste brésilien champion à Roland Garros est aussi très favorable à la pratique de son hobby preferé. Une des plages le plus sympas pour pratiquer du surf est la Plage Mole, car elle possède les meilleures et plus constantes vagues, en plus d'être la plus proche d'autres plages, point de départ à d'autres endroits aussi intéressants. N'oubliez pas de passer aussi dans la plage Brava, dos Ingleses, Moçambique, Barra da lagoa, Campeche, Joaquina, Galheta, entre autres... Si jamais vous retrouvez un dauphin en nageant à coté, cela ne serait pas un rêve.

Alors, si vous préférez les sports plus radicaux : un vol de parapente peut être aussi fait dans la plage Mole, au Mont de la Lagune de la Conceiçao, qui offre une des vues le plus belles du Brésil. Pas mal pour ceux qui cherchent une expérience inoubliable...

Mais si au contraire, vous cherchez juste des vacances en pleine tranquillité, vous trouverez surtout sur les plages du sud de l'île le calme et la brise rêvés, en Pantano du Sud ou Naufragés. Cherchez l'aide des guides locaux pour faire des randonnées à l’intérieur des forets, pour ne pas prendre des risques. Il y a encore des plages vraiment désertes qui demandent un vrai effort pour y accéder, soit en bateau soit en traversant la magnifique foret atlantique.
L'île compte aussi avec des bons restaurants, dont l'attraction est surtout les poissons ainsi que les fruits de mer, dans toute la fraîcheur !

Il n'est jamais trop tard d‘y aller, l'été vient de commencer... découvrir les plages et la sympathie du peuple de la région laissera des bons souvenirs du pays. Mais si vous préférez la fraicheur d'automne, prenez plutôt un vol pas cher hors saison entre les mois de mai et juin. La surprise qui cache cette saison est l'arrivée des baleines Francas et le championnat mondiale de triathlon Ironman.

L'île de Floripa va certainement vous passionner !



domingo, 11 de dezembro de 2011

Sao Paulo à Noel : lumière pour chauffer le cœur.





Tous les ans, la fin de l’année coïncide avec les fêtes les plus chaleureuses : une chaleur d’espoir, d’union et de communion. Une fête qui commence à Sao Paulo au début du mois de décembre, pour célébrer pendant le mois entier la naissance symbolique de quelque chose de nouveau dans nos vies, de la joie des regards des enfants dans la nuit de Noel, au espoir des adultes de retrouver des jours pleinement vécus, avec le début d’encore une année.

La lumière continue a être la représentation de ce sentiment toujours renouvelée à cette époque de l’année, alors je vous choisi un petit menu de nouveautés proposés dans ma belle ville par rapport à l’année dernière. .
L’ouverture officiel a été le 2 décembre, avec une célébration à la cathédrale Sé, accompagné par un concert da la Symphonique Heliopolis(une intervention éducative dans cette favela de la ville) et du chœur « da gente ». Depuis cette date, plusieurs attractions ont été activés et la ville restera décoré jusqu’au 6 janvier 2012.

Cette année, une des nouveautés est la grande arbre de la zone lest, une arbre de 54 mètres (l’équivalent à un bâtiment de 17 étages), qui fera briller les pupilles des habitants de Tiquatira, dans le quartier de la Penha et les visiteurs des environs.

La Place Charles Miller a reçu l’installation d’une énorme crèche et recevra des projections monumentales inspirés à l’histoire de Noel. Au même endroit se déroulera aussi la représentation du ballet «  Le casse-noix » de la Cie Cisne Negro, en pleine air pour la toute première fois (le 3 et le 21 décembre, à 20h15).

Déjà traditionnelles à cette époque, l’arbre du Parc de l’Ibirapuera et les présentations des jeux d’eaux seront encore plus beaux cette année. Deux présentations gratuites par jour, à 20h30 et à 21h, feront la joie des admirateurs des spectacles.

Plusieurs rues de la ville sont illuminés dans un partenariat de la mairie avec des entreprises privés, et de promenades accessibles à toutes et à tous peuvent être réalisés par autocars et même par métro, qui propose un itinéraire curieux.
Le Parc du Peuple propose une programmation qui plaira surtout les enfants pendant les weekends de décembre. Une représentation spéciale aura lieu les 10, 11, 17 et 18 décembre : des artistes de cirque représenteront « Un compte de Noel » pour la joie de petits et des grands qui aiment l’esprit de Noel.

Mais si finalement vous cherchez une promenade plus personnalisé, vous retrouverez avec la sympathique équipe du Cicerona un accueil et une disponibilité surprenante. Digne de cet esprit qui on sent dans l’air, le toujours nouveau esprit de Noel…

sexta-feira, 25 de novembro de 2011

Toledo ou Tolède : au cœur de l’Espagne, et sur les montagnes.


                                           photo : http://thebesttraveldestinations.com/

Un endroit éternellement protégé par les murailles qui gardent une ville charmante et pleine de vie. Je vous présente Toledo, ville espagnole situé à moins de 90 kilomètres de la capitale, Madrid. Construite sur une colline de vue fantastique, cette ville a une histoire très intéressante, qui peut être imaginé quand on circule à l’intérieur de la ville forteresse.

Les romains qui ont fondé la ville en 192 a.c. sont aujourd’hui représentés que par des ruines retrouvés dans la ville. Vers les années 596 de l’ère chrétienne, elle est devenue la capitale des visigots, jusqu’à 711, quand la bataille de Guadalete l’a changé encore des mains, cette fois ci pour les Musulmans.

Des disputes diverses, toujours autour des questions de foi, ont crée une atmosphère très particulière à cette ville fortifié qui a maintenu le poids de l’histoire très marqué par des batailles.

Quand on circule dans ses rues, on mont les collines, on traverse les ruelles, on partage avec les murs l’étonnement d’une ville de plusieurs visages, une ville qui a témoigné l’indignation d‘un peuple.

Jusqu’à nos jours elle est encore réputée par la production de produits aciers et couteaux. La technique - appris avec les perses et musulmans - est acessible dans les boutiques de la ville où ont peut les admirer - et même des épées - , et les acheter si on veut.

La ville peut être accédé de diverses façons. Actuellement il y a un TGV qui fait le parcours à partir de Madrid en 20 minutes. Ainsi, après avoir pris un vol jusqu’à la capitale, vous pouvez rejoindre la ville par train, mais aussi par voiture.

Les attractions architectoniques de la ville sont de couper le souffle. Commencez déjà les vues panoramiques accessibles de plusieurs points de la ville, et aussi de son extérieur, d’où on peut admirer la beauté de la forteresse et la magnitude des ses murs en fusion de couleurs avec la terre et le ciel.

Pendant une période, Tolède avait une grande tolérance religieuse, en accueillant dans la ville des juifs, des chrétiens et des musulmans, jusqu’à l’époque de la Reconquête, quand les juifs et musulmans qui ne se sont pas converti ont été expulsé de la ville. Heureusement la ville a gardé encore des monuments construits qu’on peut visiter : la synagogue Santa Maria La Blanca et la synagogue del Transito, des magnifiques bâtiments de style mudéjar; ainsi que la Mosquée del Cristo de la Luz, qui a participé d’un épisode intéressant avec « El Cid » pendant la reconquête chrétienne.

Et pour continuer a déchiffrer ce circuit éclectique des fois, la Cathédrale Sainte Marie de Tolède, patrimoine mondiale de l’Unesco, mérite d’être visité. Elle a été construite en style gothique français à l'emplacement du temple d'origine musulmane, un autre bâtiment témoin des conflits de foi.

Une ville si belle et porteuse d’une histoire si vaste, offre aussi le meilleur de la cuisine espagnole. Prendre un bon gaspacho et une délicieuse Tortilla assi sur un restaurant de la ville fait voyager dans le temps… et pourquoi pas maintenant ?

Les vacances d’hiver s’approchent, rien que trouver un vol pas cher et y aller, pour plus jamais l’oublier…

quarta-feira, 23 de novembro de 2011

Le musée Ipiranga, les portes de l’histoire d’une ville.


                                            photo : http://www.omelhordobairro.com.br/

Une belle journée libre peut bien se transformer en cours d'histoire du Brésil et une promenade enrichissante par les jardins du Parc de l’Indépendance. Tout seul, en couple, ou en famille, le musée de l'Ipiranga - Musée Paulista - est plein de curiosités à être découvertes. Le musée Paulista a été construit dans un endroit très spécial. En 07 septembre 1822, la région du quartier Ipiranga a témoigné l'indépendance du Brésil. D.Pedro I, selon l'histoire qu'on apprends à l'école, a déclaré comme prince de la colonie de Portugal :"Indépendance ou mort", et a changé l'histoire des deux pays en les séparant.

La construction du musée à cet endroit a été finalisé au premier anniversaire de la République, le 15 novembre 1890. Réalisé pendant 6 ans, par un architecte et ingénieur italien, la construction s'est inspiré par les œuvres de la Renaissance, dans un style éclectique plein de décors et luxe.

Le jardin, qui peu nous rappeler des jardins européens, a été d'abord fait par un paysagiste belge en 1909, remplacée en 1920 par le jardin qui se maintient jusqu'à nos jours. Une promenade qui plonge dans l'histoire de la ville et du pays est proposé par l'équipe du Cicerona Cultura, qui peut vous présenter les curiosités et les secrets d'une époque pleine de transformations.

Aujourd'hui, le musée est le plus important de l'Université de Sao Paulo, qui exécute des recherches et approfondi de plus en plus les connaissances de l'époque de l’indépendance à partir des œuvres d'art, mobilier et objets liés aux évènements historiquement importants de cette période.

Le musée, qui est l'un de plus visités de la ville - possède plus de 125 mil pièces qui servent comme matériel de recherche à la compréhension de la société brésilienne, surtout de la société "paulista".Des sculptures, des peintures, des bijoux, des meubles et des documents (qui incluent des ustensiles des indiens et des "bandeirantes", qui parcouraient le pays et ses forêts) sont utilisés dans les recherches des articles datés entre les siècles XVI et XX.

Les "Bandeirantes" illustrés sur les murs du musée ont été les responsables pour la vrai "découverte" du Brésil, dans son immensité. Le pays a été connu, les indiens chassés et l'or est parti par les chemins ouverts à l'époque, une histoire polémique et tortueuse. Il y a même un escalier qui fait hommage aux hommes qui ont déchiffré le Brésil.

Tout est là, il faut juste aller voir. Bonne promenade!

segunda-feira, 21 de novembro de 2011

Paraty : un patrimoine naturel, architectonique et historique à Rio.


                                                       photo : http://travellerspoint.com/
Il y a quelques temps je vous parlai du littoral sud de l'état de Rio de Janeiro. Et si on continuait dans la même direction ?

Pour arriver dans la ville de Paraty, le trajet d'avion est pareil, le plus simple c'est de prendre un vol direction Rio et d’y atteindre la ville en voiture. Imaginez qu'en sortant de l'île Grande, proche de l' Angra dos Reis, vous prenez encore l'autoroute Rio-Santos. A 95 kilomètres de Angra, ce trouve une ville très agréable, une ville que promet encore plus que de belles et tranquilles plages.
Paraty est un des destins les plus charmants de la cote du Brésil, est aussi un des plus complets. Peuplé à sa naissance en 1531 par les indiens Guaianazes, la ville dont le nom signifie "poisson de fleuve" a réussi a conserver des traditions d’une façon qu’on voit pas beaucoup dans les villes de nos jours. Peut être pour cette raison, la ville possède les titres de Monument Historique de l'état (depuis 1945), Patrimoine historique et artistique nationale (depuis 1958) et Monument Historique nationale (depuis 1966).
On peut connaître l'histoire et admirer les constructions du centre ville très bien conservés; marcher sur ses trottoirs en pierre et observer ses maisons coloniales, ses cafés, bistrots et ateliers d'art. Les fenêtres coloriés, les portes en bois massif et les églises vous montrerons un peu de l''histoire de cette ville qui possédait le plus important port d'exportation d'or qui venait de Minas Gerais; ensuite de café et cachaça. Quand la route a changé par la construction d'une ligne de train qui liait Sao Paulo et Rio, par la vallée du Paraiba, la ville a souffert une décadence et un isolement involontaire. Isolement qui l'a permis de se conserver tel qu'elle était, jusqu'à nos jours.
La ville témoigne un phénomène très intéressant : pendant certains périodes de l'année, l'eau de la marée monte et inonde les rues, qui ont été projetés pour cela. Les maisons ont été aussi construites de façon a être protégés du phénomène, qui arrive pendant les premiers jours de pleine lune. L'eau de la mer traverse et lave la ville, qui change de décor avec les canoës qui circulent.
L'eau vient vraiment bénir cette ville qui protège, grâce à la préservation de la forêt atlantique, plus de 65 plages, accessibles seulement par bateau. La plongée est un autre moyen d'admirer la nature si généreuse de la région, en nageant dans cette eau verte émeraude sur la compagnie des jolies poissons coloriés qui curieusement viennent auprès des plongeurs.
L'authenticité est la preuve de la conservation d'une ville rustique et accueillante, qui peut être parcouru de plusieurs façons. Par bateau, des promenades vous amèneront aux plages et aux îles, ainsi que aux cascades par les promenades écologiques. Mais si vous cherchez un autre rythme pour découvrir ses secrets, les promenades à pied vous amèneront à des coins presque inconnues gardés par la forêt atlantique.
C'est à Paraty que le FLIP - Festival Littéraire Internationale de Paraty - est né. Cet événement l'a transformé dans une ville littéraire, qui reçois des écrivains qui viennent échanger et partager ses œuvres, ses styles, ses passions. Encore une raison de connaître cette ville, que peut certainement vous garder encore des surprises. D'ici a la prochaine édition, qui aura lieu de 04 à 08 juillet 2012, vous auriez du temps pour trouver un vol pas cher jusqu'à Rio et plus jamais oublier l'ambiance de cette superbe ville.

quinta-feira, 17 de novembro de 2011

Sao Paulo : la musique et la culture accessible à tous.



                                               photo: http://visitesaopaulo.com/

Sao Paulo est une ville qui ne s’arrête jamais. Dans l’interminable pulsation d’une métropole, elle donne vie à un nouveau événement à chaque 6 minutes.

Avec autant de choix, la ville réserve un plus : des superbes attractions gratuites.

Dans le cadre musical, le « choro », variété musicale déjà visité sur mon blog, est à la fois une invitation à un voyage au passé de la ville et au plaisir d’une découverte musicale.

Le groupe « Choro da casa » se présente au theatre Coletivo tous les jeudis jusqu’au 24 novembre. Cette année chaque présentation comptera avec des invités spéciaux. Formé par des musiciens avec une grande experience en « choro », et ses nuances qui rappelent la gafieira, la samba, le baiao et d’autres rythmes. Ne ratez pas si vous etes dans la ville ce jours -ci. Le theatre ce trouve au 1623 de la rue Consolaçao, et commence à 21h00.
Alors, un vendredi romantique à deux ou en famille demande la visite à la maison de « Trovadores Urbanos », ou vous pouvez découvrir le mélange de théâtre, musique et poésie qui était une façon à l’ancienne de déclarer l’amour. Vous allez vous passionner pour ce cadeau unique offert par cette ville de contrastes. Rendez-vous à 20h à la rue Aimberé, 651, au quartier de Perdizes. Quelqu’un pour vous accompagner et vous permettre d’être plus à l’aise ? Contactez l’équipe du Cicerona
Alors, il y a aussi de très intéressantes options à ceux qui s’interessent par l’univers des amérindiens : l’exposition « Artefatos Indigenas » et « Harald Schultz - Regard Anthropologique ».

La première exposition a lieu au « Pavilhao de cultures brésiliennes », au Parc Ibirapuera. Présenté comme l’art, elle propose un regard ouvert à culture indigène. Valorise les artefacts pas seulement comme de l’artisanat avec son contenu culturelle traditionnel et la signification de l’acte de faire, mais aussi comme une nouvelle acquisition dans l’introduction de matériaux modernes, sans perdre l’arrière plan de maintenir et valoriser les traditions des chaque tribu représenté dans l’exposition.

Vous allez avoir un bon approche par 270 œuvres, des tribus Wajãpi, Galibi, Palikur, Karipuna, Galibi-Maworno, Tiriyó, Kaxuyana, Wayana, Aparai, Asurini, Kayapó e Kayapó Xikrin, toutes de la région amazonienne de l’état du Para, Amapa et Mato Grosso. Rendez-vous à partir de 9h, du mardi au dimanche, jusqu’à 8 janvier 2012.

Sur le même sujet, le regard d’un photographe est montré à l’intérieur de l’état de Sao Paulo. Vous pouvez faire une promenade aussi jusqu’à la ville de Tupa, ou se trouve le musée India Vanuire ou se trouve l’exposition de photos qui registrent le quotidien des enfants indigènes, faites depuis 30 ans par Harald Schultz. Il se trouve au 521, rue des Coroados, au centre de Tupa, de 9h à 17h.

Des bons plans tracés, mais toujours besoin d’une bonne compagnie pour guider et enrichir la promenade, contactez l’équipe du Cicerona Culture… Bon séjour à Sampa !

terça-feira, 15 de novembro de 2011

Coimbra et ses belles ruelles



                                           photo: http://coimbrahostel.blogspot.com/
L’arrivée à cette belle ville, au cœur de Portugal, environ 200 km loin de Lisbonne m’a beaucoup marqué. Nous sommes arrivés en voiture, après avoir traversé les courbes de la Serra da Estrela, et nous avons rencontré des ruelles si étroites comme j’ai n’avais jamais vu auparavant. Des ruelles, une après l’autre, comme dans un film ancien, quand les seuls moins des transports étaient les chars et les chevaux.

En arrivant à l’hôtel, une place très sympathique nous invitait à une promenade nocturne; et avec la brise chaude d’été nous sommes parti prendre l’air.

Coimbra possède son propre aéroport pour ceux qui préfèrent prendre un vol, vue qu’il faut au moins trois jours pour y arriver tranquillement en voiture, par les autoroutes. En partant de Paris, vous trouverez certainement des compagnies aériennes qui font le trajet.

La journée suivante s’annonçait longue, sous une grosse chaleur. Les montées ont mis à l’épreuve l’esprit sportif du notre groupe, mais les coins les plus sympathiques demandaient cet effort. L’église Sé Velha, en style romain s’imposait sombre et vivante au même temps, comme si ses murs pouvait raconter l’histoire des années témoignés par cet œuvre.

En traversant la rue, nous avons visité une des premières universités européennes, la première en Portugal : l’Université de Coimbra.

Jusqu’à nos jours, Coimbra maintient une ambiance jeune et politisé grâce à l’université et aux étudiants qu’y vivent. Cette reconnue université compte 21000 étudiants et la plus grande et la plus ancienne association d’étudiants du pays. Probablement pour cette liaison, la ville aura très bientôt le premier Tribunal Universitaire Européen. Comme ville universitaire, Coimbra passe pour des grands travaux qui ont pour objectif dynamiser la ville et favoriser sa candidature à Patrimoine Culturel de l’humanité. La musique, très valorisé dans l’authenticité du fado, retrouve aussi les nouvelles musicalités du jazz et blues.

Coimbra a été la ville natale du premier roi de Portugal et pendant longtemps la capitale du pays. Elle exhibe un charme particulier dans le centre vieux, ou on circule en identifiant tous les passages culturelles registrés dans ses monuments.

Historiquement, Coimbra a été peuplé par la diversité, les romains, les musulmans et les chrétiens ont marqué la ville avec ses caractéristiques particuliers, en conquérant la ville à tour de rôle.

L’Aqueduc de Saint Sébastian d’origine romaine a été restauré et préservé, sur le parcours qui reliait le monastère de Saint Anne et le château de Coimbra, qui n’existent plus aujourd’hui. Le jardin de la Manche représente une des premières œuvres de la renaissance, et a été « imaginé » par le roi Jean III, qui lui a dessiné sur la manche de sa veste; pendant que le jardin Botanique a été finalisé par le Marquis de Pombal, et compte par une infinité de plantes très variés.

Ainsi, vous retrouverez dans les monastères, églises et cathédrales de Coimbra la diversité religieuse conservés depuis longtemps, mélangé harmonieusement à son statut de ville universitaire.