La ville de Sao Paulo, des villes du Brésil et de l'Europe, vues avec un autre regard.
sexta-feira, 30 de setembro de 2011
Trujillo, un trésor au coeur espagnol.
La région d’Extremadura en Espagne a été une agréable découverte que j’aimerais partager avec vous.
On avait traversé une bonne partie de l’Espagne, en faisant connaissance du paysage aride, presque désertique dont les seuls représentants de la végétation étaient des oliviers tordues - tels ceux qui ont été éternisés par Dali dans ses œuvres. J’entends souvent que les déserts cachent des oasis, alors si on considère un patrimoine comme Trujillo, on pourrait bien lui classifier comme cela.
Le village de 655 km, dont la Plaza Mayor marque le centre ville possède un historique mystique et mystérieux. En plus, cela se sent dès l’arrivée… une ville très sympathique que nous a donne envie de faire connaissance.
Une ville préhistorique et médiévale, Trujillo a été la ville natale de Francisco Pizarro, responsable par l’extermination du peuple Inca, au Pérou. On y trouve même une statue au centre de la place, car la ville valorise ses célèbres personnages.
Du charme de la cigogne qui a construit son nid sur la tour du cloche de l’église, à l’irrésistible symétrie des murs qui entourent la Plaza, valorisés par des lumières bien placés; tout dans la ville nous a enchanté. La soirée du dîner en plein air a été spécial, car les tables étaient vraiment sous les étoiles, qui on pouvait voir très bien grâce à la tonalité des lumières, très subtiles, en mettant en valeur les contours de la ville.
Le château de Trujillo est aussi très intéressante à visiter, avec son atmosphère médiévale et le paysage a perdre de vue. Pour l’accéder, il faut monter par les ruelles étroites conservés en très bon état.
Cette découverte a été possible par voiture, complètement par hasard, mais maintenant que je vous a présenté, vous pouvez prendre un vol jusqu’à Madrid, loin 256 km de la ville… Et connaitre ce petit coin caché de l’Espagne.
sexta-feira, 9 de setembro de 2011
Le majestueux Théâtre Municipal de Sao Paulo ouvre à nouveau les portes.
Le Théatre, une des attractions de plus grande beauté du centre ville, vit un moment plein de nouveauté.
Il a ouvert ses portes avec tous les détails revalorisés le dernier 12 juin, où les 25 vitraux ont été démontées, restaurés, nettoyées et remis en place.
Les fauteuils ont récupéré le tissu rouge originel, qui était recouvert pour un vert des travaux des années 80, en valorisant l’atmosphère ancienne. Le salon est une autre attraction, parce qu’il contient un café décoré par les frères Campana, des designers brésiliens reconnus mondialement, maintenant avec le plafond restauré.
Je vous propose de vérifier la programmation du lieu prochainement, de haut niveau, le même des travaux réalisés. Si vous etes en vacances il faut absolument y aller, mais si vous avez pris un vol a travail direction Sao Paulo, vous pouvez aussi en profiter. Détendez vous et émerveillez vous avec la programmation proposé entre 14 et 18 septembre : Rigoletto, composition de 1850 de Giuseppe Verdi, sera la première opéra jouée. Avec la direction de scénique de Felipe Hirsch et scenario de Daniela Thomas, la présentation promet être si impactant que Hamlet, par Ambrosio Thomas, qui a inauguré le Théâtre en septembre 1911.
Pour les adorateurs du ballet, le reconnu ballet de Leipzig, une des plus importantes compagnies allemandes, jouera encore en septembre La grande Messe, de Mozart.
Alors, si vous aimez les cordes, Le « Quarteto de Cordas da Cidade de Sao Paulo » et son invité Cristina Ortiz ira vous surprendre.
C’est Sao Paulo dans toute sa beauté, sa diversité et originalité, qui n’exclu rien, qui me surprends chaque fois… J’aimerais bien prends un vol pas cher pour être là, mais si jamais vous avez cette possibilité… racontez moi le splendeur du lieu et sa beauté !
quinta-feira, 4 de agosto de 2011
Une avenue, tous les gouts.
Photo : http://www.sp-sp.net/fotos-sp/av-paulista.htm
Il est impossible de penser à la ville de Sao Paulo, sans imaginer l’avenue la plus symbolique de la ville, sa carte postale la plus connue : l’avenue Paulista.
La passerelle de toutes les manifestations inimaginables, elle a accueilli seulement pendant les deux derniers mois des marches contre le machisme, à faveur des travaux pour une bonne piste de skate à la place Roosevelt, et contre la construction de l’usine de Belo Monte, en région Amazonienne. C’est le lieu de voir et d’être vu, de demander et démontrer l’avis pour le monde entier ! Sans parler sur la « Gay Pride », événement déjà traditionnel, avec plus de 4 millions de participants cette année, des chiffres records mondialement. Enfin, l’avenue Paulista est de tous et de toutes, le symbole démocratique du peuple brésilien : des gens qui proviennent du pays entier, retrouve un coin dans toute sa longueur et hauteur.
Avant de vous parler des ses petits secrets, je vous raconterais pourquoi elle me plaît.
Sur les escaliers du bâtiment « Gazeta » j’ai vécue des tas des surprises, aux alentours du cinéma, des galeries et des petits restos, j’ai rencontré des amoureux, des histoires de complicité et de la chaleur humaine, caractéristique du brésilien. Devant les banques ou chez le fleuriste, j’ai retrouvait de temps en temps un ami des bons vieux temps… et on discutait longuement, on rêvait d’un avenir différent… Chaque un de nous a pris un chemin, mais nous serons pour toujours de très bons amis.
L’avenue a toujours plu le plus différents gouts. De l’appréciateur gourmand de l’art culinaire jusqu’aux amateurs du cinéma, des livres et d’autres formes d’art, tous retrouvent à Paulista sa place.
C’est pour cette raison que l’équipe du Cicerona a préparé un circuit flexible, que peut être fait en voiture ou à pied… selon les envies, les intérêts, on trouvera certainement toujours des choses à faire.
Le « Conjunto Nacional » est une référence des constructions des années 50, avec la Librairie Culture implanté en 5 mil m2, remplis des bouquins. Une visite au MASP, avec son architecture moderne monumentale et ses ouvres d’arts permanentes et expositions temporaires, et en sortant de là, avec le besoin de prendre un peu d’air, traverser la rue et respirer au Parc Trianon.
Le Parc qui garde encore des vestiges de la Foret atlantique a été inauguré avec la construction de la avenue, sous la supervision et projet du français Paul Villon. Inspiré dans le romantisme européen du XIX siècle, le parc a été la scène de plusieurs fêtes de la haute société des Seigneurs du Café. Actuellement, possède le jardin paysagiste signé par Burle Marx, très reconnu par ces jardins modernes. C’est curieux d’être en plein centre urbain et pouvoir sentir l’humidité d’un jardin tropical.
Pourquoi pas finir la promenade inspiré à la même époque qu’on a commencé ? Une visite à la Maison des Roses, appelé récemment d’Espace Haroldo de Campos (écrivain concretiste), est un espace culturel de poésie et littérature, plein d’expositions intéressantes. En plus, au fond de la cour se cache un jardin bucolique, d’ ambiance décontracté, où une cafeteria nous attend.
Maintenant je n’ai plus des secrets à cacher, c’est a vous d’y aller et vérifier la diversité de cette charmante avenue.
Il est impossible de penser à la ville de Sao Paulo, sans imaginer l’avenue la plus symbolique de la ville, sa carte postale la plus connue : l’avenue Paulista.
La passerelle de toutes les manifestations inimaginables, elle a accueilli seulement pendant les deux derniers mois des marches contre le machisme, à faveur des travaux pour une bonne piste de skate à la place Roosevelt, et contre la construction de l’usine de Belo Monte, en région Amazonienne. C’est le lieu de voir et d’être vu, de demander et démontrer l’avis pour le monde entier ! Sans parler sur la « Gay Pride », événement déjà traditionnel, avec plus de 4 millions de participants cette année, des chiffres records mondialement. Enfin, l’avenue Paulista est de tous et de toutes, le symbole démocratique du peuple brésilien : des gens qui proviennent du pays entier, retrouve un coin dans toute sa longueur et hauteur.
Avant de vous parler des ses petits secrets, je vous raconterais pourquoi elle me plaît.
Sur les escaliers du bâtiment « Gazeta » j’ai vécue des tas des surprises, aux alentours du cinéma, des galeries et des petits restos, j’ai rencontré des amoureux, des histoires de complicité et de la chaleur humaine, caractéristique du brésilien. Devant les banques ou chez le fleuriste, j’ai retrouvait de temps en temps un ami des bons vieux temps… et on discutait longuement, on rêvait d’un avenir différent… Chaque un de nous a pris un chemin, mais nous serons pour toujours de très bons amis.
L’avenue a toujours plu le plus différents gouts. De l’appréciateur gourmand de l’art culinaire jusqu’aux amateurs du cinéma, des livres et d’autres formes d’art, tous retrouvent à Paulista sa place.
C’est pour cette raison que l’équipe du Cicerona a préparé un circuit flexible, que peut être fait en voiture ou à pied… selon les envies, les intérêts, on trouvera certainement toujours des choses à faire.
Le « Conjunto Nacional » est une référence des constructions des années 50, avec la Librairie Culture implanté en 5 mil m2, remplis des bouquins. Une visite au MASP, avec son architecture moderne monumentale et ses ouvres d’arts permanentes et expositions temporaires, et en sortant de là, avec le besoin de prendre un peu d’air, traverser la rue et respirer au Parc Trianon.
Le Parc qui garde encore des vestiges de la Foret atlantique a été inauguré avec la construction de la avenue, sous la supervision et projet du français Paul Villon. Inspiré dans le romantisme européen du XIX siècle, le parc a été la scène de plusieurs fêtes de la haute société des Seigneurs du Café. Actuellement, possède le jardin paysagiste signé par Burle Marx, très reconnu par ces jardins modernes. C’est curieux d’être en plein centre urbain et pouvoir sentir l’humidité d’un jardin tropical.
Pourquoi pas finir la promenade inspiré à la même époque qu’on a commencé ? Une visite à la Maison des Roses, appelé récemment d’Espace Haroldo de Campos (écrivain concretiste), est un espace culturel de poésie et littérature, plein d’expositions intéressantes. En plus, au fond de la cour se cache un jardin bucolique, d’ ambiance décontracté, où une cafeteria nous attend.
Maintenant je n’ai plus des secrets à cacher, c’est a vous d’y aller et vérifier la diversité de cette charmante avenue.
sexta-feira, 29 de julho de 2011
Olinda, encore une surprise brésilienne.
Oh, linda terra para se implantar uma vila !
Quelle belle terre pour se fonder une ville !
Il était une fois une ville appelé comme ça : Olinda. Cette belle terre, comme disait déjà son premier fondateur qui a beaucoup investi pour le développement du lieu, reste encore si belle et charmante comme dans les années qu’elle était capitale de l’état du Pernambuco.
Une terre pleine de bonheur, avec le soleil qui règne sur une mer tranquille et transparente, qui attends les fêtes très fréquentes. Là où une partie de mon cœur bat, chez mes parrains, j’ai découvert un autre rythme de vie, une autre température, une autre odeur.
La grande voisine capitale, la ville de Recife a pris heureusement son poste et a progressé avec ses bâtiments au bord de la mer, comme s’il voulaient toucher le ciel. Dommage, car ils ont crée quelques ombres sur les coraux naturels qu’y existent et embellissent la coté.
Olinda a échappé à ce progrès désordonné, et a gardé le charme et la beauté de ses constructions, déclaré il y a trente ans patrimoine mondiale de l'Humanité par l'Unesco. Son centre ville a su restaurer des bâtiments d’extrême beauté très caractéristique de la colonisation portugaise, et même de l’époque qu’elle a été sur le domaine hollandais.
Depuis environ vingt ans que je prends des vols visiter mes parrains, je suis toujours enchanté par son atmosphère. L’odeur des algues et l’air marin presque touchable quand on passé au bord de la mer, envahissent mon esprit et remplissent mon cœur de joie. Des apéritifs pris entre amis dans des petits restos avec cette brise inoubliable n’ont jamais abandonnés mes meilleurs souvenirs. Je me souviens jusqu’aujourd’hui de la première fois que je suis monté jusqu’à l’église Sé, et des toutes les impressions si précieuses reçues. La fatigue causé par l’effort de la monté a été fortement compensé par la superbe vue de la mer et de la capitale, à seulement six km de distance. La musique locale, qui font la joie des amateurs du Carnaval, emballaient le coucher du soleil et les tentes d’artisanat .
Et le petit creux qui est apparu a été rempli par la incomparable Tapioca. Une jolie et forte dame noir, habillée en blanc, dont le sourire contrastait avec la beauté brillante de sa teinte; préparait rapidement cette merveilleuse gourmandise, réchauffant la farine de manioc en ajoutant comme farce un fromage locale appelé « queijo coalho », de la noix de coco râpée et du lait concentré sucré… une délice ! Pas de soucis pour les calories, car on peut danser le forro pendant quatre heures de suite et les a brulées toutes…
Olinda n’a pas besoin de pub, c’est une ville vraiment unique, de caractère. Même le Carnaval arrive d’une forme qui garde les traditions de poupées géantes sans laisser de s’actualiser. Les défilés très variés, le rythme du Frevo et Maracatu, pendant trois jours et trois nuits laissent le plus animés complètement épuisés.
Il n’y a pas d’époque qu’elle ne soit pas belle et agréable. Si vous cherchez un vol pas cher pour venir en famille, je vous conseille la tranquillité et la brise du mois de juillet et aout, mais si vous voulez fuir de l’hiver européen, et en profiter du Carnaval, venez en février ou mars, vous n’allez pas regretter !
quinta-feira, 21 de julho de 2011
Sao Paulo de lumière.
Qu’est-ce qu’on peut imaginer retrouver dans un quartier appelé Lumière, en plein centre ville de Sao Paulo ? L’équipe du Cicerona Cultura a préparé une promenade qui propose la visite à les endroits le plus illuminés du coin, plein des surprises et plaisirs à découvrir… Photo Fernando Cohen
Le Musée d’Orsay a inspiré un endroit à Sao Paulo, en plus, dans le quartier de la Lumière… La Sale Sao Paulo a été crée dans une station de train, la station Julio Prestes, ainsi que le Musée d’Orsay. Mais l’art qu’on y trouve n’est pas dans les toiles et sculptures, plutôt une nourriture pour d’autres sens : à travers de la musique. Je ne cacherai plus aucun mystère : la Sale Sao Paulo est un des endroits avec une des meilleurs acoustiques du monde, une sale que reçoit des concerts de musique classique, et qui est aussi le centre de l’orchestre symphonique de Sao Paulo. Rien que la voir pour décrire telle splendeur.
C’est vraiment une opportunité d’admirer les stations restaurés au centre ville, et la station Luz qui a été construite en style victorien est un exemple à connaître, un carrefour qui traverse la ville et transporte milliers de « paulistanos » vers leurs travail ou chez eux, d’un coin à l’autre de la ville.

C’est vraiment une opportunité d’admirer les stations restaurés au centre ville, et la station Luz qui a été construite en style victorien est un exemple à connaître, un carrefour qui traverse la ville et transporte milliers de « paulistanos » vers leurs travail ou chez eux, d’un coin à l’autre de la ville.
La Pinacoteca juste à coté est aussi à visiter, avec ses ouvres d’arts contemporaines et une dizaine d’expositions, un musée éclectique et dynamique qui certainement peut plaire tous les gouts, de ceux qui aiment les sculptures ou les toiles.
Mais finalement si l’art ne vous intéresse pas autant, n’est pas votre sorte de nourriture préféré, l’art tout simple, la promenade vous réserve quelques petites surprises… l’art culinaire, mon cher !
Sao Paulo a été le centre de la caféiculture au Brésil, avec son apogée et sa décadence, alors, pourquoi pas ne prendre un petit café au Café du Musée, accompagnée d’une « empadinha »,une surprise fondant à la farce au poulet ? C’est trop peu pour votre gourmandise ? Les connaisseurs du coin indique une « Galinhada do Bahia » qui vous régalera certainement… Les conseils sont donnés, maintenant c’est à vous d’en profiter !
quinta-feira, 14 de julho de 2011
Un petit bout flamand.
La meilleure façon de connaître un endroit, c’est d’être présentée par un natif, je veux dire, quelqu’un qui connais un coin très particulièrement, parce ce qu’il est né ou il a grandi là -bas. C’était notre cas à propos de Gand, la deuxième plus grande ville belge, où on a passé un weekend entre amis. Même si juste une journée de promenade a été très peu, les impressions vécus et partagés entre nous dans cette ville sympathique nous ont marqués pour toujours.
Mon amie belge représente pour moi la dimension que peut prendre la diversité. Une personne discrète, mais toujours enthousiaste, qui parle cinq langues couramment, mais qui connais l’importance de se conserver les traditions de sa culture. Même en parlant flamand avec ses enfants, en valorisant ses coutumes, ne les a jamais empêché de s’enrichir avec les autres cultures. Cette famille multiculturelle a habité déjà en France et est en Allemagne en ce moment.
Il y a environ 6 ans, l’aventure a commencé avec le voyage en train, quand on a couru comme des fous pour ne pas perdre la connexion très tôt le samedi matin. Ma petite famille, avec nos petits garçons de 7 et 5 ans, et nos amis avec ses deux petits de 2 ans et 2 mois. Bien installés dans le train, le voyage s’est passé très tranquillement. A l’époque, le voyage par train n’était pas très cher, mais j’en suis sûre qu’il est possible de trouver un vol pas cher si vous vous planifiez en avance.
Même pour les réservations en hôtel, l‘avance garantit des bons prix. Dans notre cas, on avait la chance de pouvoir s’héberger avec nos amis, dans leur propre maison de famille, aux environs du centre ville.
C’était magnifique la vision de cette toute petite maison, presque enchantée telle était son charme. La surprise était alors cachée à l’intérieur : les pièces étaient disposés en plusieurs étages, si étroite elle y était. A l’étage, la salle avec une très mignonne cheminée, et juste à coté, la cuisine, pleine de lumière grâce à son toit transparente, d’où on pouvait admirer la lune et les étoiles. Une toute petite échelle ramenait à une chambre et la salle de bains, et encore une autre au grenier très spacieux ou je me suis installée avec ma famille.
Toute la journée du samedi a été pleine de découvertes. Vous découvrirez Ghent, ou Gand, ou Gent, peu importe, dans ses charmantes ruelles et ses églises du moyen âge; vous pouvez circuler et prendre du temps dans ces charmants petits restos, ou même admirer l’unique forme des ses constructions, qu’on dirait des escaliers qui montent et descends, comme si on pouvait pressentir une ordre naturelle des choses, des hauts et bas que nous tous passons dans nos vies. Pour nous, le plus, était de partager ses moments avec des chers amis, en prenant des verres, en s’arrêtant entre les fontaines et les envies des enfants et ses petites curiosités.
La soirée était très agréable, et nous a conduit dans un resto exotique, qui servait toute sorte des viandes qu’on peut imaginer, ce qui a intéressé même les enfants. La nuit nous invitait à une petite promenade, cette fois ci, avec le changement de lumière qui valorisait le contour naturel des constructions et donnait des ailes à l’imagination.
Le lendemain matin était surprenante, avec l’attitude des enfants en préparer eux mêmes le petit déjeuner, en cherchant les utiles et gourmandises tranquilles dans la cuisine, comme s’ils était chez nous. Une voyage inoubliable et très enrichissante, ce qui prouve qu’un weekend bien vécu est plus significatif qu’un mois entier de vacances…
Ce dimanche là, on a repris le train bien fatigués (là un vol allait très bien, car on pourrait même rester un peu plus entre amis), mais bien heureux avec les instants vécus et partagés.
quarta-feira, 6 de julho de 2011
Qui n’a pas une place préférée ?
A l’ombre d’un arbre, on peut bien se tranquilliser. Sur un banc, on entend les oiseaux, on sent le vent, on est bien. Qui n’a pas une place préféré, un lieu aimé pour se reposer ? Pour lire un livre, réfléchir, discuter. Avec ou sans une petite chapelle ou une église, il y a des places autant qu' il y en a des gens sur les villes.
A Sao Paulo on trouve même une concentration d’elles, fait qui a donné l’idée de créer une promenade dirigé à connaître quelques unes, avec ses particularités par l’équipe du Cicerona Cultura.
Parcourir 500 ans d’histoire dans un tout petit coin du centre ville. La place Clovis est aujourd’hui presque intégré à la Place da Sé, plus connu par la station de métro et la cathédrale, mais registre dans ses bancs et sur la mémoire des ceux qu’y ont vécu un temps ou les Places étaient des lieux de rencontre et du bien manger, pas seulement un point de référence. Avec la modernisation, des démolitions mal gérées on presque effacé des certains coins, qui restent seulement dans la mémoire des gens du quartier, par exemple le ciné-thêatre Saint Hellène.
A propos de la Cathédrale de la Sé, nous pouvons admirer l'un des cinq plus grands édifices religieux de style gothique avec toute la beauté et splendeur de ce lieu de prière.
Au palais du Conte de Sarvedas, restauré après un état de ruines, nous pouvons voir des jolies vitraux et des délicats travaux manuels sur les bois, un bâtiment ancien entouré de bâtiments modernes. Aujourd’hui il abrite le Musée de la Justice de l’état de Sao Paulo, qui peut être visité de lundi à vendredi.
Au patio du collège, nous revivons la naissance de la ville avec l’instalation de jésuites, là ou l’histoire de la ville a commencé.
Revivre l’histoire de la ville au centre le plus mouvementée de l’Amérique Latine.
A Sao Paulo on trouve même une concentration d’elles, fait qui a donné l’idée de créer une promenade dirigé à connaître quelques unes, avec ses particularités par l’équipe du Cicerona Cultura.
Parcourir 500 ans d’histoire dans un tout petit coin du centre ville. La place Clovis est aujourd’hui presque intégré à la Place da Sé, plus connu par la station de métro et la cathédrale, mais registre dans ses bancs et sur la mémoire des ceux qu’y ont vécu un temps ou les Places étaient des lieux de rencontre et du bien manger, pas seulement un point de référence. Avec la modernisation, des démolitions mal gérées on presque effacé des certains coins, qui restent seulement dans la mémoire des gens du quartier, par exemple le ciné-thêatre Saint Hellène.
A propos de la Cathédrale de la Sé, nous pouvons admirer l'un des cinq plus grands édifices religieux de style gothique avec toute la beauté et splendeur de ce lieu de prière.
Au palais du Conte de Sarvedas, restauré après un état de ruines, nous pouvons voir des jolies vitraux et des délicats travaux manuels sur les bois, un bâtiment ancien entouré de bâtiments modernes. Aujourd’hui il abrite le Musée de la Justice de l’état de Sao Paulo, qui peut être visité de lundi à vendredi.
Au patio du collège, nous revivons la naissance de la ville avec l’instalation de jésuites, là ou l’histoire de la ville a commencé.
Revivre l’histoire de la ville au centre le plus mouvementée de l’Amérique Latine.
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