La ville de Sao Paulo, des villes du Brésil et de l'Europe, vues avec un autre regard.
sexta-feira, 20 de maio de 2011
Le rencontre avec l’essentiel à Sao Luis do Maranhao.
Pendant un mois de voyage j’ai appris plus que en trois ans de fac. Je parle de mon expérience au Maranhao, état du Nord-est brésilien. Presque à la frontière de la région nord, cet état ne correspond pas aux autres états du nord-est, très cherchés par ses attractions touristiques, ses jolies plages de sable blanc qui sont entourés par une mer vert émeraude. Cet état, si lointain de la métropole Sao Paulo, ma ville natale; a changé mon regard sur la vie.
C’était en juillet 1995, pendant les vacances d’hiver, qu’on a pris le bus pour y arriver. Au Brésil, à la fac on n’a pas suffisamment d’argent pour prend un vol qui puisse traverser le pays d’un bout à l’autre, mais on a suffisamment d’énergie et créativité pour arriver n’importe où. Deux journées et deux soirées se sont passés dans un autocar, qui s’arrêtait chaque trois heures.
On a traversé des grandes villes et des très mauvaises autoroutes, tout dans un esprit de très grande harmonie avec les autres passagers. On partageait les nourritures, les histoires, les espoirs… On a pris presque toute une journée pour traverser cet immense état en observant une nature presque intacte.
La capitale Sao Luis nous attendait dans toute son splendeur. Ses plages où le coucher du soleil était si beau que la naissance de la lune, où les grandes différences des marées transformaient la même plage dans une autre, où la chaleur des gens dépassaient tous les limites. Nous avons été accueillis dans une maison de famille, comme ils reçoivent les siens : en partageant la table, les chambres, les sourires. Par la fenêtre, on regardait les étoiles et sentait la brise fraiche et parfumé sur nos hamacs.
Sao Luis possède un centre ville très préservé, récemment rénové à l’époque, où les nuits se passaient tranquilles, comme le changement de ses marées. Dans ses ruelles la culture palpitait dans les spectacles musicaux du Boi Bumba, dans toutes ses variations rythmiques. On a eu la chance d‘assister, dans le théâtre municipale, un spectacle inoubliable, où les différences de couleur, sociales et religieuses n’avaient aucune importance : par la seule raison que la Fête du Bumba-meu-boi unissaient toutes les croyances. Le mois de juillet est très particulier pour les fêtes de ce genre, ce qui mérite véritablement une visite; certainement il y a une compagnie aérienne qui fait le parcours… pas besoin de prendre deux jours de voyage pour vivre l’enchantement « maranhense ».
Là bas, la simplicité joue le rôle de l’essentiel : dans la façon de manger, de s’habiller, de se communiquer; et quand on est simple, rien n’est compliqué. Quand on se dispose à vivre dans l’essentiel, on se demande pourquoi ne pas l’avoir fait avant…
Ces valeurs m’ont tellement marqués, que plus jamais je ne verrais la vie si compliqué, pour plus qu’elle ait l’air, car il y a toujours une solution plus simple de ce qu’on imagine.
On ne savait pas, mais nos prochains jours seraient encore plus basés sur l’essentiel que jamais.
sábado, 14 de maio de 2011
Un regard à perdre de vue.
Photo : Fernando Cohen
Quand on marche dans les rues du centre ville de Sao Paulo, on ne se rends pas compte de sa dimension, ni de son extension. Dans ses 1.522.986 Km 2 elle accueille plus de 19 millions d’habitants.
Les bâtiments qui font partie de son structure, son presque des personnages qui peuvent raconter l’histoire de son peuple. On peut même les voir d’un autre angle, surprenante, dans une des promenades proposés par l’équipe du Cicerona Cultura.
Le progrès est si évident à Sao Paulo, qu’on a l’impression que tout les vestiges du passé ont été effacés. Pourtant c’est bien là ou un guide peut vous faire découvrir le vrai sens de plusieurs curiosités de la ville.
Le programme « Sao Paulo du progrès, depuis autrefois » propose une promenade détaillé des la rue XV de novembre et de la Place Antonio Prado. C’était dans cette région que Sao Paulo a commencé a devenir métropole.
Le premier arrêt est au Centre Cultural Banco do Brasil, un espace d’expositions, salles de théâtre, cinéma, restaurants et cafés. On ne peut pas partir sans expérimenter la suavité d’un grain de café très spécial, encore plus savoureux si accompagné d’un traditionnel pao de queijo (pain au fromage).
La visite continue dans le pateo de la Bourse, où elle fonctionnait au siècle dernier.
Le top de la promenade c’est la visite à la Tour du bâtiment Banespa, avec ses 35 étages. C’est au dernier où on peut admirer la dimension de cette ville multiracial, pleine d’adjectives et qui ne arrête jamais.
Sao Paulo n’est pas fait de bâtiments, mais de gens, des personnes qui aiment cette ville avec ses défauts et ses qualités, des gens très accessibles, pleines d’histoires de vie à raconter.
L’equipe du Cicerona propose finir la promenade dans un resto très sympathique dans la Place Antonio Prado, une option pour déguster aussi les qualités gastronomiques de la ville… et c’est un bon sujet pour une autre fois !
Quand on marche dans les rues du centre ville de Sao Paulo, on ne se rends pas compte de sa dimension, ni de son extension. Dans ses 1.522.986 Km 2 elle accueille plus de 19 millions d’habitants.
Les bâtiments qui font partie de son structure, son presque des personnages qui peuvent raconter l’histoire de son peuple. On peut même les voir d’un autre angle, surprenante, dans une des promenades proposés par l’équipe du Cicerona Cultura.
Le progrès est si évident à Sao Paulo, qu’on a l’impression que tout les vestiges du passé ont été effacés. Pourtant c’est bien là ou un guide peut vous faire découvrir le vrai sens de plusieurs curiosités de la ville.
Le programme « Sao Paulo du progrès, depuis autrefois » propose une promenade détaillé des la rue XV de novembre et de la Place Antonio Prado. C’était dans cette région que Sao Paulo a commencé a devenir métropole.
Le premier arrêt est au Centre Cultural Banco do Brasil, un espace d’expositions, salles de théâtre, cinéma, restaurants et cafés. On ne peut pas partir sans expérimenter la suavité d’un grain de café très spécial, encore plus savoureux si accompagné d’un traditionnel pao de queijo (pain au fromage).
La visite continue dans le pateo de la Bourse, où elle fonctionnait au siècle dernier.
Le top de la promenade c’est la visite à la Tour du bâtiment Banespa, avec ses 35 étages. C’est au dernier où on peut admirer la dimension de cette ville multiracial, pleine d’adjectives et qui ne arrête jamais.
Sao Paulo n’est pas fait de bâtiments, mais de gens, des personnes qui aiment cette ville avec ses défauts et ses qualités, des gens très accessibles, pleines d’histoires de vie à raconter.
L’equipe du Cicerona propose finir la promenade dans un resto très sympathique dans la Place Antonio Prado, une option pour déguster aussi les qualités gastronomiques de la ville… et c’est un bon sujet pour une autre fois !
segunda-feira, 2 de maio de 2011
Entre les ruines et les plages de la Sicile.
Quand on a pris un vol en direction de la Sicile, on n’avait aucune idée de ce qu’on allait trouver… A mon avis, les ruines grecque-romaines ont été la plus étonnante révélation du voyage, et pour cette raison j’ai divisé le récit du voyage en deux.
Les ruines m’ont toujours impressionnés, même si elles ne se trouvent pas dans les meilleures conditions. C’est très intéressant imaginer comment était la vie des peuples des centaines d’années avant nous … je me demande si il y en a pas des traces invisibles dans les pierres abandonnés des ruines.
En plus, elles s’accordent très bien dans les changements occasionnées pas la modernité. On a l’impression qu’elles s’intègrent à l’entourage, d’une façon harmonieuse.
On suivait le programme de visiter les attractions touristiques tous les matins et profiter de la plage les après-midis, mais évidement que des petits problèmes nous obligeaient parfois à improviser. Entre Catania et Siracusa on ne trouvait pas un petit resto pour manger. Alors, on a décidé de s’arrêter à la plage la plus proche et manger ce qui nous restait : du pain et des gâteaux, entre des très jolies petites fleurs jaunes.
Vers Selinunte, on a cherché pendant deux heures où s’héberger… et même avec des efforts, la communication avec les italiens de très bonne volonté finissais par nous perdre un peu plus. La même nuit, au dîner, on n’a pas payé le café court, mais les serviettes en tissu ! Bien sure, elles étaient si belles et blanches…
Les plages ont été aussi notre coup de cœur.
On imagine ce qui était la montagne de Taormina avant la construction d’une telle quantité d‘hôtels de luxe. On monte jusqu’au ciel pour recevoir la vue imprenable des ruines romaines avec l’Etna au fond et on a envie de se jeter de là haut pour submerger dans la petite plage que se trouve en bas. On a passé un fin d’après midi assis pendant que les enfants couraient et s’amusaient entre les cailloux.
Une autre perle à chercher c’est la plage d’Eraclea Minoa. On a eu besoin de deux jours pour en profiter de ce coin magnifique. Dans un camping « pied dans l’eau » on a armé nos tentes sous les ombres des pins. Les journées ont été de pleine tranquillité, les enfants jouaient jusqu’au coucher du soleil, quand on allait dîner à pied dans la pizzeria installé à quelques mètres… On finissait avec le feu et les étoiles filantes, un petit bout du paradis. En plus, en haut de la falaise il y avait les ruines grecques d’un théâtre avec la mer infinie à l’horizon.
Un autre coin qu’on ne peut pas rater c’est Agrigento. Il réuni dans un seul endroit la tranquillité, l’histoire et la nature. L’endroit m’a surpris pour maintenir les ruines dans un bon état de conservation et beauté, avec la nature autour bien préservé et les options de location des petites voitures pour circuler dans le parc, qui était très grand.
On a pris le vol de retour à Paris rempli de bonheur, avec une énergie reçue de cette île surprenante, du peuple sympathique et des moments partagés entre nous, que resterons pour toujours.
quinta-feira, 28 de abril de 2011
Un printemps en Sicile.
Pour qui n’avait jamais été en Italie, on a bien commencé… par le bas, par l’île de Sicile. En famille, on a parcouru toute la côte en voiture, et le planning était de faire le tour en partant de Palermo pour y retourner dans une semaine : la liberté absolue !
Le vol est arrivé à Palermo, où on a pris la voiture et où a commencé l’aventure. Une ville vivante et chaotique, avec un charme particulier retrouvé dans son centre ville, ou les motos, les pietons, les vendeurs des fruits et les animaux vivent dans une harmonie curieuse, chaque un respect l’autre comme il est. Les fraises étaient si surprenantes que la sympathie des ces gens simples et souriantes.
On est parti vers la cote le même jour, et on a trouvé un endroit vraiment spécial pour passer la nuit. La tombée de la nuit aux pieds d’une falaise nous a surpris par la beauté du premier coin qu’on s’est arrêté un peu par hasard… Dans la province de Cefalu, où on a fait un tour le jour suivant. La mer vue des anciennes constructions était quelque chose de magnifique.
L’île nous a vraiment surpris par l’harmonie entre les ruines gréco-romaines, les belles plages et la vision incroyable qu’on avait fois ou l’autre du volcan Etna. Pour moi, une drôle de comparaison - L’Etna est pour la Sicile comme la Tour Eiffel pour Paris, quand on se rends compte, elle est là devant nos yeux.
C’est justement l’Etna, qui nous a accompagné pendant au moins la moitié du voyage, notre deuxième surprise de l’aventure.
On a décidé de s’approcher au maximum du volcan, en prenant une route qui montait et changeait plus on montait. Même la neige a commencé a apparaître au bord de la route, pendant qu’on était habillés en bermudas dans la voiture… Cette nuit, on s’est couché dans l’auberge le plus proche du volcan, une grande émotion pas seulement pour les enfants.
Très tôt le matin on a fait une promenade aux alentours du volcan. Plus on s’approchait, plus l’air était lourd et froid. Le mystère d’un volcan que peut se manifester n’importe quand nous fait réfléchir sur le grand mystère de la vie.
Après la promenade, on s’est reposé et piqueniqué dans un bois pas très loin, aux ombres des premières feuilles du printemps tardif de la montagne.
Entre les arbres de citron sicilien fleuris qui parfumait la brise tiède et les exotiques artichauts qui poussaient forts dans les champs, on a traversé cette île si multiple et diversifié. Et on n’avait même pas commencé le voyage !
segunda-feira, 11 de abril de 2011
La nuit blanche à Sao Paulo - des très bonnes attractions !
La ville de Paris a inspiré l’une des plus importantes manifestations culturelles populaires de la ville : notre version de la Nuit Blanche, appelé Virada Cultural.
Notre Nuit Blanche est déjà très connue et cherché par le public des tous les âges et tous les intérêts.
La septième édition aura lieu les 16 et 17 avril 2011, à partir de 18 heures du samedi.
Alors, si vous avez pris un vol à travail en direction de ma ville natale, vos temps libre peuvent être bien profités.
Pendant les vingt quatre heures sur vingt quatre de programmation, avec plus de 1000 attractions gratuits , vous allez retrouver certainement une, ou même plusieurs, qui vous plaisent.
La programmation musicale est toujours l’événement du projet, en offrant diferents rythmes, styles, avec des artistes brésiliens et étrangers.
Les arts scéniques et visuels seront aussi contemplés , pour ceux qui aiment le domaine.
Voilà un exemple d’événement attendu dans l’idée de valorisation de l’identité du Vieux Centre ville, qui sera fermé au trafic des voitures. Pour y arriver, utilisez le métro, ouvert 24 heures/24.
Vous pouvez en profiter aussi pour vous régaler dans la cuisine de plus différents gouts : japonaise, chinoise, du nord-est au sud du Brésil, trouvées aux alentours des manifestations. Le tradittionel pastel , décrit dans un autre texte sera aussi présent, avec ses plusieurs farces...
Ecoutez Rita Lee, Paulinho da Viola, Erasmo Carlos, Dominguinhos, Eumir Deodato, chanteurs et chanteuses déjà très connues, mais aussi de nouveaux talents : Duani, Cibelle, Thais Gullin et Rumpilezz.
Dans les attractions étrangères, Sao Paulo va accueillir Armando Manzanero, Skatalites, Fred Wesley and the New JB’s, Steel Pulse et Edgar Winter, entre autres.
Le groupe Sepultura jouera avec l’Orchestre Expérimentale de Répertoire, ce qui doit créée une sonorité vraiment innovante. La Sao Paulo Compagnie de Dance dansera les musiques jouées Par l’Orchestre Symphonique de l’état de Sao Paulo, aussi un rencontre qui promet d’être incroyable.
L’opéra vous plaise : Pagliacci sera joué en Place Public, par des acteurs et directions brésiliennes : L’Orchestre Symphonique Municipale et La Chorale Lirique, les compagnies Visualfarm, Fratelli et Pia Fraus.
Au contraire, vous aimez la musique électronique, placez vous alors dans les pistes placés entre le Largo Sao Francisco, Place da Sé e Memoria, et la surprenante « radiola maranhense » s’installera à la Place « Princesa Isabel » .
Le quartet Les Beatles Forever, quartet brésilien inspiré par les originels formé depuis 1976, va démarrer un audacieux projet : jouer tous les discs de Beatles entièrement, un après l’autre. Retrouvé les rythmes sur les artistes dans le texte et la programmation complète dans le site officiel de la Virada.
Pour être bien guider, contactez la Cicerona Cultura, toujours disponible pour vous aider, en plusieurs langues.
La programmation est tellement intéressante qui je suis vraiment tenté de prendre un vol et retrouver l’ambiance unique de la ville qui ne s’arrête jamais, la ville de tous les racines : Sao Paulo.
quarta-feira, 30 de março de 2011
La recherche d’une identité : l’avenir du vieux Centre ville.
Le Centre ville de Sao Paulo marque encore le début de la ville, le kilomètre zéro de cette métropole qui pousse dans tous les sens sans arrêt. Mais ne représente plus, depuis quelques temps, le centre dans son sens économique et culturelle.
Le centre que j’ai connu il y a vingt ans me fascine et me manque jusqu’aujourd’hui, mais se trouve dans une situation délicate : à la recherche d’une identité perdue.
Celle qui a été, depuis sa naissance, la petite ville protectrice des attaques indiens, ensuite, la responsable en fournir des produits à tous les quartiers, peu à peu a perdu sa place.
De centre vivant, habité et plein de vie, est devenue un centre commerciale, où se sont installés des bureaux et services liés au fonctionnement des mêmes. C’est bien à cette époque que je lui a fait connaissance.
Pendant la journée, des exécutives circulaient entre des garçons malins, prêtes à vous voler le sac dans un clin d’oïl; des vendeurs ambulants faisaient leur vie avec des bonbons et chocolats pas chers à coté des arrêts de bus; les magasins exhibaient un large choix des produits bon marché toute l’année.
La Place de la République, où je prenais le métro très souvent, était toujours remplie des petits vendeurs. On trouvait de la laine péruvienne et des sacs boliviens, on assistait à des spectacles surprenantes, à des discours improvisés, drôles et que attiraient l’attention des travailleurs en passant.
Le centre avait déjà changé de visage, mais c’était le visage que m’avait été présenté, une visage multiraciale, interculturelle, authentique. Les panneaux du haut de l’avenue de la Consolation, faisaient comme un portrait tous les soirs, emballant ma somnolence ensuite d’un après midi d’étude à la fac. C’était le soulagement d’une journée bien vécue, d’un temps bien profité, gardé dans ma mémoire avec l’odeur et le bruit d’un centre ville vivant.
Vingt ans se sont passés, et ici, très loin des croisements chantés par Caetano Veloso dans la chanson hommage « Sampa », j’ai lu un article de journal qui m’a touché le cœur, appelé « Historia e crise do centro da cidade », en français « Histoire et crise du centre de la ville », écrit par José de Souza Martins. Le sujet était justement le recherche de l’identité du centre… qui ne doit pas servir de dépôt sociale ni transformé en quoique ce soit.
Le rencontre avec un passé revitalisé, avec ses fonctions monumentales, symboliques et rituels, doit être l’objectif des ceux qui ont le pouvoir de favoriser la redécouverte de son identité culturelle. Le chemin me semble simple : stimuler l’accès public et conscient, en valorisant l’histoire et les bâtiments qui ont témoigné plus de 450 ans de vie, en prenant les soins nécessaires à le rétablissement des bibliothèques, théâtres, restaurants et bâtiments historiques.. Là vous pouvez compter avec le regard spécial de l’équipe du Cicerona Cultura, qui propose plusieurs promenades dans les coins les plus cachés du Centre.
L’auteur affirme que le centre ville doit être le préambule de la démocratie, où les manifestations du peuple comme sujet politique doivent s’exercer. C’est seulement une direction qui était perdue, mais qui peut être retrouvée. Revitaliser le Centre Ville de Sao Paulo peut faire renaître cette mère qui a laissé ses enfants - le peuple qui est parti vivre dans les quartiers - partirent et s’épanouirent ailleurs, pour qu’ils puissent un jour revenir chez elle plus autonomes et pleins de gratitude.
segunda-feira, 21 de março de 2011
La Ligne Verte : entre la mer et la nature.
Nous sommes à Salvador, la capitale de l’état de Bahia, ancienne capitale du Brésil. Nous avons prix un vol de Sao Paulo, avec l’intention de découvrir un peu sur une des villes les plus anciennes du Brésil. En famille, nous avons parcouru les coins plus connus de Salvador, et ensuite, nous sommes partis vers le sud de l‘état, pour passer quelques jours à Morro de Sao Paulo et Boipeba.
De retour à Salvador, nous avons loué une voiture pour partir vers le Nord cette fois ci. Rien n’empêche qu’on puisse faire le contraire, prendre un vol jusqu’à la capitale de l’état de Sergipe, Aracaju, et descendre en direction de Salvador.
Ce qui nous attendait : 230 km de plages entre Salvador et Mangue Seco, déjà dans l’état de Sergipe. Vers l’autoroute BA-009, appelé la route de la Noix de Coco (Estrada do Coco) jusqu’à la Plage du Fort, ou elle devienne la Ligne Verte.
Parallèle aux plages, la route demande une promenade tranquille et intuitive. Nous avons parcouru deux plages par jour pendant une semaine, en nous laissant guider toujours selon nos envies du moment.
Le matin on a découvert la plage d’Arembepe. Son petit village Hippie nous à séduit par son charme de communauté des années 70, encore peuple par les sympathisantes de ce mode de vie. Reposer dans un lac entre les arbres à la noix de coco, en entendant le bruit de la mer et se relâcher: un rythme qu’on ne se permet presque jamais…
En arrivant à la plage du Fort, on a profité pour visiter le projet TAMAR, destiné à la préservation des tortues marines. En accompagnant les œufs depuis la plage jusqu’à la naissance des toutes petites, le projet conscientise la population que les tuait avant, a devenir aussi des protecteurs d’un animal si important pour le cycle de la vie. Le plus : nous avons eu la chance d’arriver à la mare baisse, ce que veut dire contempler et profiter de piscines naturelles qui se forment au bord de la mer, avec l’eau verte transparente plein de poissons colorés. Un spectacle pour les enfants, et les adultes plus sensibles, accessibles à tous.
Comme hébergement, nous avons choisi de ne pas trop planifier. Au mois de juillet c’est la baisse saison, et on trouve ou s’héberger facilement. Alors, si vous préférez voyager avec réservation en avance, on y trouve pour tous les gouts et tous les poches, des hôtels très étoilés ou pas sont innombrables sur la Ligne Verte.
L’aventure de s’arrêter quand on a envie, de prendre une route pour vérifier la fin, de se perdre au milieu du sable, c’est le gout de la vie, de l’imprévisible, d’où quelques touches d’improvisation sont demandés, ce qui rend le voyage riche et inoubliable.
Imbassai, avec son petit village et ses plages préservés nous a enchanté, ainsi que Massarandupio, avec ses fortes vagues et ses dunes jaunes, qui est aussi une plage Naturiste.
Entre guides locales, nous avons découverts des lacs tranquilles cachés entre une plage et autre, pour arriver finalement à Mangue Seco, presque dans la frontière avec Sergipe.
Mangue Seco demande une bonne promenade, et nous avons trouvé un auberge écologique au milieu de la foret, d’où on entendait le petits singes tôt le matin.
La plage, scenario d’une histoire de l’écrivain Jorge Amado, est entouré des dunes, arbres à la noix de coco et petits restos au bord de la mer avec ses hamacs à l’ombre. La bonne cuisine peut être aussi dégusté : pourquoi pas une Casquinha de siri au bord de la mer ? La chair du crabe bien assaisonnée avec de l’ail, l’oignon, du persil ou coriandre si vous préférez, dans une texture crémeuse, servis sur une coquillage. A vous d’imaginer et déguster sur place…
Depuis ce beau voyage, le retour a été aussi très sympathique, plein de surprises et enchantement du contact avec la nature et le peuple locale. Les vacances d’été que s’approchent, et l’envie de calme, et la brise chaude…
De retour à Salvador, nous avons loué une voiture pour partir vers le Nord cette fois ci. Rien n’empêche qu’on puisse faire le contraire, prendre un vol jusqu’à la capitale de l’état de Sergipe, Aracaju, et descendre en direction de Salvador.
Ce qui nous attendait : 230 km de plages entre Salvador et Mangue Seco, déjà dans l’état de Sergipe. Vers l’autoroute BA-009, appelé la route de la Noix de Coco (Estrada do Coco) jusqu’à la Plage du Fort, ou elle devienne la Ligne Verte.
Parallèle aux plages, la route demande une promenade tranquille et intuitive. Nous avons parcouru deux plages par jour pendant une semaine, en nous laissant guider toujours selon nos envies du moment.
Le matin on a découvert la plage d’Arembepe. Son petit village Hippie nous à séduit par son charme de communauté des années 70, encore peuple par les sympathisantes de ce mode de vie. Reposer dans un lac entre les arbres à la noix de coco, en entendant le bruit de la mer et se relâcher: un rythme qu’on ne se permet presque jamais…
En arrivant à la plage du Fort, on a profité pour visiter le projet TAMAR, destiné à la préservation des tortues marines. En accompagnant les œufs depuis la plage jusqu’à la naissance des toutes petites, le projet conscientise la population que les tuait avant, a devenir aussi des protecteurs d’un animal si important pour le cycle de la vie. Le plus : nous avons eu la chance d’arriver à la mare baisse, ce que veut dire contempler et profiter de piscines naturelles qui se forment au bord de la mer, avec l’eau verte transparente plein de poissons colorés. Un spectacle pour les enfants, et les adultes plus sensibles, accessibles à tous.
Comme hébergement, nous avons choisi de ne pas trop planifier. Au mois de juillet c’est la baisse saison, et on trouve ou s’héberger facilement. Alors, si vous préférez voyager avec réservation en avance, on y trouve pour tous les gouts et tous les poches, des hôtels très étoilés ou pas sont innombrables sur la Ligne Verte.
L’aventure de s’arrêter quand on a envie, de prendre une route pour vérifier la fin, de se perdre au milieu du sable, c’est le gout de la vie, de l’imprévisible, d’où quelques touches d’improvisation sont demandés, ce qui rend le voyage riche et inoubliable.
Imbassai, avec son petit village et ses plages préservés nous a enchanté, ainsi que Massarandupio, avec ses fortes vagues et ses dunes jaunes, qui est aussi une plage Naturiste.
Entre guides locales, nous avons découverts des lacs tranquilles cachés entre une plage et autre, pour arriver finalement à Mangue Seco, presque dans la frontière avec Sergipe.
Mangue Seco demande une bonne promenade, et nous avons trouvé un auberge écologique au milieu de la foret, d’où on entendait le petits singes tôt le matin.
La plage, scenario d’une histoire de l’écrivain Jorge Amado, est entouré des dunes, arbres à la noix de coco et petits restos au bord de la mer avec ses hamacs à l’ombre. La bonne cuisine peut être aussi dégusté : pourquoi pas une Casquinha de siri au bord de la mer ? La chair du crabe bien assaisonnée avec de l’ail, l’oignon, du persil ou coriandre si vous préférez, dans une texture crémeuse, servis sur une coquillage. A vous d’imaginer et déguster sur place…
Depuis ce beau voyage, le retour a été aussi très sympathique, plein de surprises et enchantement du contact avec la nature et le peuple locale. Les vacances d’été que s’approchent, et l’envie de calme, et la brise chaude…
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