La ville de Sao Paulo, des villes du Brésil et de l'Europe, vues avec un autre regard.
quarta-feira, 23 de fevereiro de 2011
La campagne en Allemagne.
Il y a quelques temps, une Allemagne inconnue nous a enchanté, avec son coté accueillante et familiale. Guidé par un ami allemand, on a visité sa ville natale : Bad Urach, ses alentours et ses curiosités.
A l’époque, on a pris un train nocturne, pour arriver très tôt à Stuttgart et reprendre un deuxième train. Même si le voyage a été fantastique, grâce aux paysages des villes et ses lumières, actuellement je prendrais plutôt un vol, plus rapide et moins fatigante.
La différence du paysage entre la France et l’Allemagne était évident le matin premier octobre de notre arrivé. C’Était le weekend de mon anniversaire, et j’ai fêté d’une façon inoubliable.
Déjà à la gare de Stuttgart on sentait la différence du petit dej : plutôt salé, des pretzels remplis de graines de sel, des saucissons au lever du jour, ce qui semblait à un vrai repas, et indiquait visiblement une différence culturelle entre la France et l’Allemagne.
La rencontre avec « Opa » et ensuite « Oma » (respectivement Papi et mamie) a révélé le visage hospitalier et généreux de cette famille traditionnel allemande.
Opa nous a guidé à la cascade de la ville, entouré d’un vert très intense, qui humidifiait et parfumait l’air. L’harmonie et le plaisir d’entendre le bruit de l’eau qui coulait tout doucement, sans aucune presse, ralentissait même nos esprits… Et les enfants que s’amusaient avec les flaques d’eau et les goutes toutes fines qui venait de la cascade était rempli de bonheur.
Autour de la table on était bien content. Plusieurs repas servis autour de la pomme de terre, certainement la reine de la cuisine conviviale allemande. Des soupes garnis de gnocchis préparés de formes très variés, des viandes accompagnés de pommes de terres frites maison, délicieusement accompagnés des bières de la région, fortes et corsés. Mais aussi les pommes servies en jus, liqueurs, desserts… tout était bien profité chez eux, et partagé avec les autres.
Dans cet esprit nous avons fini la première journée, avec une soirée très spéciale. Opa nous a invité à un concert à l’église de la ville. Dans mon premier concert, ce qui m’a beaucoup touché c’était l’intensité de la musique qui résonnait à l’intérieur de la nave. La neuvième symphonie de Beethoven joué par plusieurs instruments qui s’alternaient dans la chanson, remplissait mon cœur qui n’arrivait pas a croire la fin du concert. J’ai pu sentir qu’un concert joué dans une église a réellement le pouvoir de nous approcher de Dieu…
On avait encore une journée de surprises à la campagne. Pour atteindre les ruines du château du village nous avons fait une belle promenade aussi entouré d’une nature exubérante, en écoutant les histoires et aventures de notre ami, qui a grandi dans ce coin merveilleux. Après avoir admiré la ville toute petite en bas, nous sommes partis faire ce que j’avais attendu tout le weekend : cueillir des pommes.
Dans un grand champ plein des pommiers, on était entre les arbres hérités par la troisième génération. Il y avait toutes sortes des pommes. On a découvert que les plus rouges n‘était pas toujours le plus mûres, ni les plus parfumées étaient toujours les plus savoureuses…Mais il y avait autant des variétés que nos goûts puissent imaginer. J’était enchantée en voir des pommiers par la première fois, si belles et remplis de fruits. Je n'ai jamais oublié l’image de notre ami en train de gouter les pommes, à nous expliquer qu’il y a quelques unes qu’il faut attendre des mois pour en manger, pendant que d’autres peuvent être mangés ensuite la récolte. Pour les enfants, qui s’amusaient à monter et descendre des arbres, le dimanche était complet, et pour moi... j’ai cherche encore les mots pour traduire le calme et tranquillité vécus ce jour là.
Heureusement tout continue comme il y a quelques années… il manque un peu de temps pour y retourner retrouver ces souvenirs, mais rien qu'un vol pourrait certainement nous faire revivre.
sexta-feira, 11 de fevereiro de 2011
Salvador da Bahia - une richesse au milieu de la cote brésilienne
Au nord-est du Brésil il ne fait jamais froid. L’hiver là bas, entre les mois de juin à septembre, est marqué par des périodes de pluies et un peu plus de vent au bord de la mer que pendant le reste de l’année. Un temps très favorable pour le tourisme, et parfait pour atteindre tous les gouts. Qui préfère la chaleur d’été, d’environ 30 dégrées peut aller se joindre à la foule à l’époque du Carnaval. Pour ne pas manquer à cette fête inoubliable il faut prendre un vol vers Salvador da Bahia, où se passe l’un des plus mouvementés fêtes des rues du Brésil, la plus grande fête de rue du monde ! Si cela vous intéresse, sachez qu’il en a encore des billets (les Abadas) pour suivre les « Trios eletricos » pendant 4 jours et 4 nuits. Le Carnaval cette année se déroulera entre le 04 et 09 Mars, mais à Salvador la fête commence une semaine avant. Bah oui, on aime la fête aux Brésil.
Alors, si on pense un peu plus loin, aux grands vacances par exemple, il n’y aura peut être pas beaucoup des compagnies aériennes à proposer le même trajet, mais vous allez retrouver les mêmes paysages, avec beaucoup plus de tranquillité et un temps plus doux et agréable.
Il y a quelques années, on est parti pendant le mois de Juillet à Salvador sans trop planifier le trajet. Des vacances avec quelques repaires, mais sans un destin précis.
On a pris quelques jours pour connaître Salvador, la première capitale du Brésil.
Salvador est aujourd’hui le résultat d’une mélange entre les cultures européennes, africaines et amérindiennes. C’est évident quand on croise les « soteropolitanos » la richesse musicale, artistique, gastronomique et architecturale, qui provient certainement de ce mélange intercontinentale. La ville a été la porte d’entrée de l’esclavage, et garde les endroits marqués par la souffrance de ces temps difficiles. Avec l’abolition de l’esclavage d’autres problèmes ont apparus, le manque de travail pour les africains et sa vie dans un milieu discriminatoire et hostile. La force de la ville d’aujourd’hui est un reflexe de la force de la culture africaine qui a supporté les jours difficiles et a prédominé sur les autres cultures.
Le quartier du Pelourinho (petit pilori, car c’est là que les esclaves étaient punis) c’est un de ces endroits qui a été revitalisé et restauré. La culinaire bahianaise est très connue aussi par cette mélange. Et qu’est-ce qu’on peut bien manger dans le quartier avec la vue du haut de l’ascenseur Lacerda, la mer à l’horizon ! Dans la culinaire typique locale on trouve beaucoup de poissons, fruits de mer, noix et lait de coco. J’aimerais bien apprendre a faire deux œuvres d’art de la culinaire bahianaise : le bobo de camarao ( crevette) et le vatapa . Là, on est dans la Haute Cité, et en bas se trouve la Basse Cité. Au bord de la mer on voit la première Cathédrale du Brésil, et les constructions plus anciennes que sont des plus en plus entourés de grands bâtiments.
De la Lagoa do Abaeté au Farol da Barra, Salvador est une perle a être découverte par soi-même. Sans parler de toutes les plages qui peuvent être découvertes en partant vers nord comme vers le sud. C’est justement à ce sujet que je vous parlerai la prochaine fois…
Alors, si on pense un peu plus loin, aux grands vacances par exemple, il n’y aura peut être pas beaucoup des compagnies aériennes à proposer le même trajet, mais vous allez retrouver les mêmes paysages, avec beaucoup plus de tranquillité et un temps plus doux et agréable.
Il y a quelques années, on est parti pendant le mois de Juillet à Salvador sans trop planifier le trajet. Des vacances avec quelques repaires, mais sans un destin précis.
On a pris quelques jours pour connaître Salvador, la première capitale du Brésil.
Salvador est aujourd’hui le résultat d’une mélange entre les cultures européennes, africaines et amérindiennes. C’est évident quand on croise les « soteropolitanos » la richesse musicale, artistique, gastronomique et architecturale, qui provient certainement de ce mélange intercontinentale. La ville a été la porte d’entrée de l’esclavage, et garde les endroits marqués par la souffrance de ces temps difficiles. Avec l’abolition de l’esclavage d’autres problèmes ont apparus, le manque de travail pour les africains et sa vie dans un milieu discriminatoire et hostile. La force de la ville d’aujourd’hui est un reflexe de la force de la culture africaine qui a supporté les jours difficiles et a prédominé sur les autres cultures.
Le quartier du Pelourinho (petit pilori, car c’est là que les esclaves étaient punis) c’est un de ces endroits qui a été revitalisé et restauré. La culinaire bahianaise est très connue aussi par cette mélange. Et qu’est-ce qu’on peut bien manger dans le quartier avec la vue du haut de l’ascenseur Lacerda, la mer à l’horizon ! Dans la culinaire typique locale on trouve beaucoup de poissons, fruits de mer, noix et lait de coco. J’aimerais bien apprendre a faire deux œuvres d’art de la culinaire bahianaise : le bobo de camarao ( crevette) et le vatapa . Là, on est dans la Haute Cité, et en bas se trouve la Basse Cité. Au bord de la mer on voit la première Cathédrale du Brésil, et les constructions plus anciennes que sont des plus en plus entourés de grands bâtiments.
De la Lagoa do Abaeté au Farol da Barra, Salvador est une perle a être découverte par soi-même. Sans parler de toutes les plages qui peuvent être découvertes en partant vers nord comme vers le sud. C’est justement à ce sujet que je vous parlerai la prochaine fois…
quinta-feira, 3 de fevereiro de 2011
Direction plage : La Costa Brava.
Quand on habitait à Paris, il y a quelques années, on a vécu des inoubliables vacances. Après choisir un endroit spécial et retrouver un vol pas cher, on est parti vers la fantastique Catalogne.
La beauté silencieuse des Pyrénées et l’exubérance de Barcelone demande un temps de réflexion, de digestion même. Alors, comme des bons brésiliens, qui aiment bien une plage, on est parti quelques jours en direction de la mer catalogne, la côte nord de Barcelone, connue par Costa Brava.
Les petites plages entourés de nature, avec son peuple sympathique et souriante nous a remplis le cœur de joie. On est passé deux jours à circuler sur les routes entourés des nuances de vert, qui cachaient des villages dédiés à la pêche au bord de la mer. Quelques unes pratiquement désertes, avec ses vagues rythmés à notre pulsation… des instants de merveilleuse détente sur le sable blanc.
Une des perles du coin c’était Tossa de Mar, où on a retrouvé des amis qui là habitaient. Ils nous ont guidé dans la vieille ville, avec ses petites ruelles étroites coincés entre les murs de grosses pierres, un voyage au temps du Moyen Age. Là haut, une vue magnifique de la mer nous attendait.
Difficile à revivre une autre journée si agréable ! Mais, quand même, il y avait encore quelques aventures que nous attendait...
Vers la fin d’un après-midi on a commencé a chercher où s’héberger .On était dans la ville natale de Dali : Figueres. Après des heures de recherche, car au mois d’octobre il n’y a pas grand choix dans la région, on s’est installé à Palafrugell. Là ou on était les seules touristes à marcher dans la seule rue du coin, on a trouvé un petit restaurant qui nous a bien surpris. Le chef qui cuisinait et servait au même temps, préparait une délicate et raffiné cuisine. Du Carpaccio de cabillaud à la Paella, nos papilles gustatives se sont bien régalés…Je n'ai plus jamais mangé une Paella pareille.Le lendemain, on reprenait la route en direction de Gironne. Le petit village où tout a commencé nous a surpris avec ses maisons coloriés au bord du fleuve, on dirait qu’ elles avaient poussés des ses eaux profondes. On a pris le vol de retour à Paris remplis des nouvelles impressions révélatrices d’une culture très particulière, qui nous invite à rencontrer un autre jour.
domingo, 23 de janeiro de 2011
Sao Paulo fête ses 457 ans !
Le 25 janvier c’est un jour spécial, c’est l’anniversaire de la ville de Sao Paulo ! Pour fêter cette date il y aura plusieurs attractions qui seront offerts à ses habitants, visiteurs et passionnés par cette belle ville. Si vous avez pris un vol à travail, ne vous inquiétez pas, le jour férié peut être bien profité.
La place Marechal Deodoro ( le premier président du Brésil), devant la station de métro de même nom, au centre ville a été reformé et sera réouverte avec son nouveau visage le jour de l’anniversaire de la ville, ce mardi 25 janvier.
La place a gagné des fleurs, une nouvelle pelouse et illumination. Le trottoir a été refait et une nouvelle aire des jeux construite.
Des curieuses statues en bronze ont été installés, en taille naturel : un balayeur, un jardinier, une serveuse et une auxiliaire de nettoyage. C’est un hommage du Syndicat responsable par la catégorie, qui s’en occupera des soins et vigilance de la place. Si vous êtes à Sao Paulo cette semaine, je vous conseille de passer un coup d’œil… Le jour de la fête, il y aura une apprésentation de choral et un trampoline gonflable pour les enfants.
Si cela ne vous semble très séduisant, d’autres attractions sont proposés en plusieurs endroits différents de la ville. Ca vaux la peine de prendre un vol pour en profiter.
La sixième promenade en bus partira du Pateo du Collège, entre 9h et 16h, le point d’origine de la ville. La Cicerona Cultura vous propose aussi des promenades en bus en plusieurs destinations de la ville.
Le cinema Olido aura des sessions à partir de 15h de films spéciales sur des histoires de différents quartiers de la ville, une façon intéressante de approfondir les connaissances sur l’histoire de la ville.
Alors, si vous aimez la musique, il y aura du choix ! Si vous voulez être guidé ou orienté, contactez la Cicerona Cultura, qui peut vous enrichir encore plus ce moment de détente.
La chanteuse très connue Ivete Sangalo sera au Anhembi à partir de 15h, dans la zone nord de la ville. Avec un style bien different, l'un des mes préferés, le chanteur Zeca Baleiro sera au Carioca Club dans la zone ouest, à partir de 20h.
Le fameux coin de l’avenue Ipiranga et la Sao Joao, chanté par plusieurs interprètes sera en fête entre 19h et 21h30. « Sampa », « Saudosa Maloca », « Punk da Periferia » et « Trem das onze », des chansons qui racontent l’enchantement d’une ville et ses contrastes seront joués par des musiciens brésiliens en pleine rue. Je garde de très bons souvenirs de cette region, où je me promenais à l'époque de la fac...
Mais il y aura aussi des manifestations artistiques, si c’est ça votre intérêt. Au MIS (musée de l’image et du son) avec une exposition des photos des dix dernières années de la ville, pendant que la Pinacoteca (région centrale) aura l’entrée libre.
Pour finir les choix des attractions, surprenez vous dans la soirée au Parc du Ibirapuera. Notre « Versailles » va présenter un spectacle d’images et sons de la ville dans la « Fonte Multimédia », finir une soirée en fraicheur à Sao Paulo, peut vous donner de bons souvenirs de la ville.
sexta-feira, 14 de janeiro de 2011
Barcelone, l’harmonie entre nature et architecture.
En voyage en famille, on a pris un vol vers une Catalogne peu connue. Après quelques jours dans les environs des Pyrénées Espagnoles, c’était le moment de reprendre la route vers la grande et unique Barcelone.
La deuxième ville de l’Etat espagnole en termes de population et la onzième la plus peuplé de l’Union Européenne, environ 5 millions d’habitants vivent dans cette ville magnifique.
On ne peut pas parler de Barcelone sans parler d’Antoni Gaudi, le roi de l’Art à ciel ouvert à Barcelone. Le superbe Parc Guell, une de ses belles œuvres, se situait juste a coté du Alberge où on a trouvé des places, et c’est là où on a pu connaître le travail en mosaïque de Gaudi. Des bancs, des statues, en regardant dans tous les cotés, il y avait ses traces uniques, architecture et nature en harmonie.
En effet, on respire Gaudi même dans la rue, quand on se dépare aux bâtiments presque organiques construits dans la ville. Ses courbes et sa originalité génuines sont impressionnantes quand on admire la Cathédrale « Sagrada Familia », œuvre à laquelle il s’est consacré jusqu’à la fin de sa vie. Ses constructions peuvent nous ramener au monde des rêves, des impressions de l’enfance, comme les châteaux de sables et le squelette d’un être humain, et c’est là qu’elles sont surprenantes.
Barcelone est aussi la ville des tapas; les bruschettas, si simples et si délicieuses ! Un pain grillé reçoit une couche d’ail frais, un fil d’huile d’olive et des tomates en dés, c’est tout simplement la combinaison parfaite. Dans la convivialité, on peut manger un vrai repas tout tranquillement, peu à peu, avec ses petits plats, et beaucoup de patience avec le service - chacun a son propre temps.
Et maintenant je suis sûre que même une grande ville touristique peut être accueillante, belle et silencieuse, quand on sort de son circuit très connue. Dans une même journée on a découvert le quartier du Port et ses petits rues rustiques, et aussi admiré du haut du Castell de Montjuic les lumières de la ville et ses bateaux au loin.
Plongés trois jours dans sa diversité unique, on a été conquis complètement, immanquable voler d’autres fois vers la perle de la Catalogne.
sexta-feira, 24 de dezembro de 2010
La lumière de Noel
Le Noel est déjà là, mais finalement qu’est-ce que ça signifie ? L’époque de Noel, dans la plupart de cultures, correspond à un moment festif et joyeux, où est cet esprit en ce moment ? Remplis d’espoir, on croit que tout ce qu’on n’a pas fait pendant l’année pourra se prolonger encore une année, et dans ce schéma on peut vivre toute la vie. Pourtant, il est bien vrai que la naissance de Jésus symbolise et invite à un renouvellement, et chacun de nous cherche à sa façon reprendre le souffle et continuer à tracer ses buts personnels, en essayant de les suivre encore une année. Mais sommes-nous dans le "bon"chemin ? Est-ce que nous vivons réelement et pleinement cet esprit ?
Soit sous la neige européenne, soit sous les toits des grands magasins américains; soit sous le soleil de l‘Amérique du Sud (y compris la pluie), soit dans une île perdue dans l’océan… on retrouve des vols à n’importe où, tous le destins peuvent être attendus par avion, au dernier minute ou avec quelques mois d’avance. Même avec cette liberté, la question nous accompagne... Moi, j’ai choisi la chaleur brésilienne de ma ville natale : Sao Paulo, et la question m'accompagné. Vivons nous vraiment l'esprit de Noel ?
Si on réfléchi sur tous les symboles évoqués en Noel, le symbolisme de la lumière est certainement commun à plusieurs cultures. Alors, si vous cherchez la chaleur mais pas la plage, je vous invite à connaitre Sao Paulo, et à parcourir la promenade de la lumière. La même lumière qui a guidé Marie, peut nous inspiré a retrouver une claireté à l'interieur de nous mêmes.
Une des attractions est l’Avenue Paulista, avec ses sapins et décorations de Noel que, selon un visiteur, nous ramène aux bons temps et nous fait revivre le souvenir des bonnes choses. En bus ou à pied, admirez le Musée d'Art Contemporaine, le Parc du Trianon et les batiments decorés et profitez pour manger en suite dans un bon resto locale. Pour remplir encore en peu plus cette promenade de couleur et lumière, vous pouvez contacter la Cicerona que peut vous faire découvrir des histoires cachées de l’avenue la plus connue de la ville.
Laissez vous enchanter par cette lumière et s’ouvrir pour le vrai sentiment de Noel… Portez, vous aussi, une question avec vous, ramenez du nouveau au nouvel an !
Bonne fêtes à tous !
Soit sous la neige européenne, soit sous les toits des grands magasins américains; soit sous le soleil de l‘Amérique du Sud (y compris la pluie), soit dans une île perdue dans l’océan… on retrouve des vols à n’importe où, tous le destins peuvent être attendus par avion, au dernier minute ou avec quelques mois d’avance. Même avec cette liberté, la question nous accompagne... Moi, j’ai choisi la chaleur brésilienne de ma ville natale : Sao Paulo, et la question m'accompagné. Vivons nous vraiment l'esprit de Noel ?
Si on réfléchi sur tous les symboles évoqués en Noel, le symbolisme de la lumière est certainement commun à plusieurs cultures. Alors, si vous cherchez la chaleur mais pas la plage, je vous invite à connaitre Sao Paulo, et à parcourir la promenade de la lumière. La même lumière qui a guidé Marie, peut nous inspiré a retrouver une claireté à l'interieur de nous mêmes.
Une des attractions est l’Avenue Paulista, avec ses sapins et décorations de Noel que, selon un visiteur, nous ramène aux bons temps et nous fait revivre le souvenir des bonnes choses. En bus ou à pied, admirez le Musée d'Art Contemporaine, le Parc du Trianon et les batiments decorés et profitez pour manger en suite dans un bon resto locale. Pour remplir encore en peu plus cette promenade de couleur et lumière, vous pouvez contacter la Cicerona que peut vous faire découvrir des histoires cachées de l’avenue la plus connue de la ville.
Laissez vous enchanter par cette lumière et s’ouvrir pour le vrai sentiment de Noel… Portez, vous aussi, une question avec vous, ramenez du nouveau au nouvel an !
Bonne fêtes à tous !
quinta-feira, 16 de dezembro de 2010
La vallée des vents chanteurs.
Quand on a trouvé un vol pas cher vers l’Espagne Catalan, on n’avait la moindre idée qu’on allait découvrir des coins pas très connus, sans beaucoup d’attractions touristiques et qui apparemment cachaient des surprises dans la nature. Peut être si on avait pris un vol jusqu’à la frontière sud de la France, ou même parti de Paris en voiture; on arriverai plus vite, mais le chemin ne serai pas aussi bien profité.
Entre les montagnes pointues du Pyrénées on a trouvé un petit village, avec un l’air complètement médiévale, comme le seul pont qui traversaient la rivière tranquille du coin.
Silencieuse et accueillante, Espot nous a enchanté comme la dame souriante qui nous a reçu dans son Gite, en parlant un espagnol sonore et incompréhensible pour moi. Elle nous a beaucoup aidé, en indiquant des endroits superbes a chercher.
On a découvert un paysage magnifique le jour même de notre arrivée. Elle nous avait parlé d’une montagne avec une vue magnifique de toute la vallée de la ville, et nous a donné toutes les indications pour y arriver. Par hasard nous nous sommes trompé de chemin ce qui a été une agréable surprise. L’état de préservation de la nature autour de la route, d’un vert profond mélangé avec les variations automnales de couleur de la saison apaisait l’impression d’être perdus. Tout à coup un magnifique cerf traverse bien tranquille devant la voiture, ce qui nous a laissé perplexes et enchantés. Voir un animal dans son habitat naturel transmet une impression beaucoup plus impactant que de le voir enfermé dans un zoo. Finalement dans la bonne route, nous avons arrivé dans une montagne où le vent soufflait si fort qui a fait bien peur aux enfants. Cet endroit caché nous a permis une vision incroyable de toute la vallée à ses pieds. Le vent était le seul bruit qui dérangeait le silence qui régnait, comme un chant d’une autre nature.
Le lendemain nous sommes partis bien équipés, inclus les protections pour la pluie, direction Parc National de Aigues Tortes, le seul parc espagnol de la Catalogne. Situé bien proche des montagnes des Pyrénées, ses lacs transparents sont d’origine glaciaire, et des différents types de végétation grâce aux différents types d’altitude. C’était bien ce qu’on a admiré pendant toute la promenade, l’incroyable changement du paysage. Les alentours des premiers lacs étaient bien plans et accessibles, différemment ce qu’on a trouvé en montant un peu plus, où la végétation était moins dense, l’air plus humide et la superbe vision des lacs « miroirs » dans la vallée. Impressions sans mots, ce qui valorise le sacrifice des obstacles traversés, et sous la pluie.
Remplis d’une fatigue compensatrice nous avons dîné au restaurant d’un hôtel de la ville, qui est très fréquenté pendant les périodes de ski. La soirée avait terminé, avec le goût d’une promenade inoubliable.
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