terça-feira, 27 de março de 2012

Le Mémorial de l’Amérique Latine fête Candido Portinari.


                                                       Image : aulaprofga.blogspot.com

Dans le cœur du quartier de Barra Funda, à Sao Paulo, se trouve le monumentale Mémorial de L’Amérique Latine. Cet espace projeté par Oscar Niemeyer et toute sa magnitude, a été conçu pour divulguer les manifestations artistiques et scientifiques de l’Amérique Latine.

L'idée est apparu aussi à partir de la prise de conscience que le Brésil et tous les pays que l'entourent ne se connaissaient pas; même avec une histoire construite parallèlement, et pourtant profondément liés.

C'est au 18 mars 1989 que le Mémorial est né, dans le concept et projet idéalisé par l'anthropologue Darcy Ribeiro, où la mission est de rapprocher les relations culturelles, politiques, économiques et sociales entre le Brésil et les pays sud-américains. Depuis, le Mémorial stimule la recherche et la divulgue, soutien l'identité sud-américaine et son développement créatif, en valorisant l'histoire du peuple sud-américain dans l’apprentissage des nouvelles générations d'étudiants.
Une des expositions de très grande importance se déroule autour des deux tableaux du peintre brésilien Candido Portinari. Né dans la petite ville de Brodowsky, à l'état de Sao Paulo, il a été un des grands peintres brésiliens reconnus mondialement. Les tableaux intitulés Guerre et Paix, faits par demande du gouvernement brésilien pour le bâtiment de l'ONU à New York, est la dernière œuvre de cet artiste magnifique, qui ironiquement n'a pas pu visiter ses propres tableaux. Les Etats Unis n'ont pas permis qu'un communiste entre dans le pays... attitude contradictoire au sens même de l'esprit du tableau : le questionnement du sens de la Guerre.

Avec les efforts de son fils, Joao Candido Portinari, un accord a été fait avec l'ONU, où le processus de restauration de cet œuvre a permis la connaissance et l'approche de son univers d'expression, si encore réservés au monde de collections privés, loin du peuple brésilien, qui lui a vraiment inspiré. Après la restauration, les tableaux les plus grands de l'artiste vont faire une tourné d'expositions.

L'exposition actuelle comprends 100 études faits par l'artiste pour la réalisation des tableaux, des documents historiques et photos qui racontent toute la trajectoire de l'artiste et son œuvre. Réalisé entre 1952 et 1956 par Candido Portinari, qui s'est consacré durement à sa concrétisation, en souffrant avec l'intoxication des peintures à l'huile qui avaient du plomb dans la composition, l'œuvre révèle le visage de la folie humaine, dans l'expression du désespoir des mères qui voient ses enfants mourir, des victimes de cette grande réaction indescriptible qui est la guerre.

Le président du Mémorial, Antonio Carlos Pannunzio décrit bien l'importance de l'exposition : "Les œuvres parlent tout à propos des souffrances et de l'espoir qui tourmentent et soulagent l'humanité depuis toujours et vont être vu par milliers des personnes. Sans aucun doute, elles aideront le Mémorial a accomplir sa mission d’approximer les peuples, spécialement les latino-américains, surtout si la motivation la plus forte soit la recherche de la paix".

Le Mémorial mérite d'être visité plusieurs fois, c'est un espace de partage culturelle dynamique et vivant... Si vous êtes dans la ville, contactez l'équipe du Cicerona pour transformer votre visite dans un moment inoubliable et joyeux.






quinta-feira, 22 de março de 2012

L’île du Miel, un petit bout du ciel.


                                                      tentaquiparanagua.blogspot.com

Un petit coin charmant du Brésil, localisé à l'état du Parana est considéré la petite perle de l'état : c'est la belle île du Miel. Son nom curieux est justifié de plusieurs façons, ce qui nous donne encore plus de raisons de la connaître de plus près. Pas très loin de la capitale Curitiba, desservie par plusieurs compagnies aériennes à partir de la France, pour rejoindre l'île à partir de la capitale il faut encore prendre la route BR 277. Alors, si vous aimez les petites et charmantes routes anciennes, prenez plutôt la " Estrada da Graciosa".

Comme toutes les îles et plages du Brésil, avant d'être peuplé par des immigrants européens, l'île a été peuple par les indiens Carijos, qui appréciaient beaucoup le miel... C'est évidement une de origines du nom de l'île.

Ce patrimoine historique est accessible à partir de Pontal Sud, par des lignes régulières qui traversent l’océan atlantique et nous laissent ou dans le village de Encantadas ou à Nova Brasilia, avec tous les chemins de sable doux ombragés qui nous attends. Plusieurs auberges peuvent être contactés et réserves en avance, très variés en prix et confort, de la simplicité au service irréprochable. Des promenades à l’intérieur du chemin sont orientés en portugais, anglais et espagnol pour aider le touriste à circuler dans l'île.

L' île est en grand partie préservé, avec l'accès interdit sans autorisation, dans l'objectif de préserver la forêt atlantique qui l'entoure. La simplicité et la rusticité de ce petit paradis transforme la promenade dans un moment très spécial, en contact avec les habitants chaleureux de l'île. Il y a environ 700 personnes qu'y habitent, parce que sont né dans ce patrimoine naturel. La nature compte sur nous, les visiteurs, pour la préserver avec des petits gestes, en prenant soin de nos dépouilles et de ne pas laisser des traces. En effet, depuis l'arrivé de générateurs électriques, et la croissance du tourisme et de l’intérêt générale sur l'île, la nature risque de souffrir avec l'intervention de l'homme, et pour cette raison les touristes sont limités à 5000 personnes à la fois. C'est important de connaître les règles et les conditions pour préserver les 200 hectares habitables, de 2700 hectares de l'île.

Un weekend prolongé est le temps minimum nécessaire pour parcourir les attractions de l'île, à par les plages, le Fort (constitué en acier ramené de Glasgow), la grotte, et entendre le silence au bord de la mer, et les bruits des vagues fraîches du sud du Brésil.

Cette époque de l'année est parfaite pour les amateurs du surf, car les vents automnales favorisent les vagues. La température de l'eau varie entre 21 degrés en été et 13 en hiver, qui coïncide avec les Grandes Vacances en Europe, une bon choix si jamais vous cherchez un vol vers un coin pas très connu du Brésil, mais plein d'histoire et de charme.

domingo, 18 de março de 2012

Le quartier du Bixiga à Sao Paulo : de la pizza à l’art.

                                                
                                              http://www.cidadedesaopaulo.com


Le quartier du Bixiga est le cœur italien de la ville de Sao Paulo, un quartier que dispose d’innombrables Théâtres, ainsi que de Pizzerias et Cantines Italiennes. Là, où on est toujours les bienvenus, où on mange généreusement bien, c’est aussi une partie du centre de la comédie «paulistana». C’est le quartier d’où ma descendance - en partie italienne - est venue, entouré des histoires de la vie quotidienne d’une époque qui est déjà très loin.
Actuellement, ce quartier et ses alentours proposent des attractions gratuites et surprenantes dans des espaces dédiés à la divulgation de l’art brésilienne.
L’espace Itau Cultural, placé dans l’avenue la plus connue de la ville, propose des expositions gratuites et très variés à Sao Paulo, mais aussi à Paris.
La programmation a été inauguré avec l’exposition «Convite à viagem - Rumos Artes Visuais» ( Invitation au voyage) qui présente plus de 100 œuvres de différents artistes brésiliens, de 9 février jusqu’ au 22 avril 2012. L’exposition est une invitation à voyager dans la diversité brésilienne et sa production d’art contemporaine. De la peinture à la photographie, même les deux au même temps, toutes les expressions sont représentés. L’exposition a lieu au 149, avenue Paulista, pas loin du métro Brigadeiro.

Cette semaine l’exposition dédié au cartooniste Angeli, appélé "Occupation Angeli" vient de commencer. Angeli est un artiste né à Sao Paulo, qui sais traduire avec précision et ironie un profil sarcastique de la personnalité du «paulista». Pas besoin de savoir et comprendre le portugais pour s’apercevoir de la malice des son art, mais pour les admirateurs de la langue et ses nuances, comptez avec l’équipe du Cicerona pour vous guider dans le monde d’Angeli et ses personnages historiques. L’exposition aura lieu entre le 16 mars et le 29 avril 2012.

Alors, si malheureusement vous n’êtes pas à Sao Paulo, et vous aimez l’art brésilienne, allez à la Maison Européenne de la photographie, au 5/7 rue de Fourcy, au 4eme arrondissement de Paris. L’exposition intitulé «O Elogio da Vertigem» expose l’originalité et l’audace des photographes brésiliens des années 40 et 60, ainsi que des dernières vingt ans. C’est grâce aux commémorations de l’année de la France au Brésil que la continuité des bonnes relations entre les deux pays continuent à donner des bons fruits, des fruits que nous tous pouvons agréablement partager.

Et si on parle des fruits, et le sujet nous rapelle l'acte de manger, ce n'est pas une mauvaise idée de prolonger la promenade en cherchant une des bonnes pizzeries ou cantines italiennes du Bixiga...  Que des bonnes nourritures pour tous les sens, n'est pas ?

sábado, 17 de março de 2012

Salamanque - vibrante et passionante


Salamanque est pour l'Espagne ce que Montpellier est pour la France: une ville du moyen âge qui a su garder son charme architectonique, et qui voit circuler dans ses rues la jeunesse universitaire.

Cette ville considéré Patrimoine de l'Humanité reste belle et rayonnante pendant la journée, ses bâtiments jaune claire reflètent la lumière du soleil généreux qui valorisent ses contours. Alors, une attention toute particulière est aussi consacré quand le soleil se couche; une illumination qui valorise l’histoire de la ville donne envie d’y rester un peu plus, de s’assoir quelque part et regarder autour la vie qui pulse.

A 212 km de Madrid, on peut la rejoindre à partir d’un vol, je pense que c’est le moyen le plus rapide. Par contre, elle ne se trouve pas très loin de la frontière portugaise non plus, accessible aussi pour ceux qui sont en voiture.

L’université de Salamanque est, sans aucune doute, un endroit à ne pas rater. Une des plus anciennes universités de l’Europe, la plus ancienne d’Espagne, nous transporte au moyen âge avec sa façade rempli de motifs typiques de l’art plateresque (style architectural de transition entre l’art gothique et la Renaissance, style très complexe pour être travaillé dans la pierre ). Entre les personnalités qui ont passé dans l’université, se trouve Christophe Colomb, qui a présenté son plan d’une expédition vers l’Asie dans l’espoir d’obtenir une aide financière de la dynastie régnante.

La vieille ville est de plus en plus valorisé depuis que l’Unesco l’a considéré Patrimoine de l’humanité. Aujourd’hui il y existe un itinéraire proposé par office de tourisme, où on peut circuler par ses couloirs et ruelles étroites, dont les murs reflètent la lumière du soleil couchant; en admirant chaque bâtiment qui exhale l’histoire.

Laissez vous guider par l’intuition de suivre le rythme de la ville, et finir l’après midi dans un passeo à la Plaza Mayor, le cœur de la ville dans tous le sens. C’est magique pouvoir tourner les yeux 360 degrés en admirant les bâtiments baroques, construites pour récompenser la fidélité de la ville pendant la guerre de Succession d’Espagne. On ne se rend pas compte, mais elle impressionne aussi par sa forme trapézoïdale qui valorise son format particulier (la plus grande partie des Plazas Mayores espagnoles sont carrés).

Asseyez vous dans la place, observez le changement de couleur, de luminosité et le contraste du rencontre de cette création de l’homme avec la profondeur du bleu du ciel… Spectacle assuré. En savourant un des jambons crus spéciales ou des simples et merveilleuses tortillas, un registre sensoriel pour toute la vie.

Une des prochaines fêtes locales se passera à la première semaine d’Avril, la «Semana Santa», pendant la vacances de Pâques. Alors, vous avez encore du temps pour retrouver un vol pas cher et venir à cette ville pleine de vie et d’histoires, connaître les mystères et ses cathédrales.

domingo, 11 de março de 2012

Couleurs vives et regard subtil : un message à travers de l’art.

                                                                   



Les quartiers de la ville de Sao Paulo sont hétérogènes ainsi que la température de cette ville vivante. Divisés par des frontières invisibles, mais liés par un fil d'expression, l’art contemporaine et expressive est visible dans la rue ou dans les musées et galeries des quartiers, facilement repérés par une observation plus attentive .

La nouvelle galerie Zipper, par exemple, crée avec l'objectif de divulguer les artistes inconnus d'une toute nouvelle génération, fraîchement créatifs. Ils expriment ses idées et ces concepts dans les nouvelles expositions.

Accompagnées par le soin descriptif, en détaillant le parcours personnel de chaque artiste, les expositions méritent d'être visités tranquillement, et pour cela, l'équipe du Cicerona Culture peux vous approcher de cet univers nouveau a connaitre, et transformer cette simples promenade dans un évènement spécial.

A partir de ce samedi, 10 mars, le "Jardinier" André Feliciano construit son univers très particulier, exposition appelé "Sob o Luar Fotografico ". Il propose un regard ludique où des petits appareils photos coloriés se transforment en fleurs, en singe, en abeille, et peut même jouer le rôle des membres du corps humain : des interventions qui suggèrent des réflexions. Un grand jardin photographique qui transmet un art poétique qui est au même temps dynamique. L’artiste veut faire transparaitre à partir des ses œuvres, ses idées les plus intimes. L’exposition de ce sympa jardinier peut être visité jusqu’au 16 avril. Si vous êtes de passage dans la ville, n’hésitez pas à la voir.



sábado, 3 de março de 2012

Belo Horizonte : imaginez un bel horizon.



                                                       65destinos.blogspot.com


Bien au cœur de Minas Gerais, un des états les plus diversifiés du pays - soit en culture, soit en climat et végétation - se trouve la ville et capitale de Belo Horizonte, jeune et au même temps pleine d’histoire à partager. De Paris, des vols pas chers, directs ou pas, peuvent être choisis, selon tous les envies.

Cette capitale arrive à réunir dans son architecture le modern et le néoclassique, l’art-deco et le pos-modern, harmoniquement.

Depuis plusieurs générations garde une diversité culturelle magnifique, représenté par la bohême bien vécue dans la ville. Des écrivains, compositeurs, artistes, poètes et musiciens sont nés d’une échange riche sur les tables des trottoirs de la capitale.

Comme le voisin Sao Paulo, l’art culinaire et gourmande est un résultat des mélanges culturelles du pays, avec un soin d’enrichir le plats avec les ingrédients régionaux. Sur un guide virtuel, vous trouverez, selon l’intérêt, la cuisine des vos besoins, celle que vous plaît, celle que vous avez envie de connaitre. Pour citer, les restaurants du chef Ivo Faria - par la 12ème fois le chef de l’année, proposent cette recherche gourmande de la bonne cuisine avec les ingrédients brésiliens. Dans les restaurants qui représentent la cuisine brésilienne, le Xapuri est le visage de la cuisine «mineira», les produits et l’atmosphère de la ferme, cuisinés artisanalement. Un vrai régal !
Et pour ceux qui veulent un apero prolongé pour toute la soirée, le Bar do Antonio, âgé des cinquante ans, fait rêver avec ses amuse bouches de caractère.
Des parcours thématiques peuvent être préparés selon les intérêts : un parcours historique, un autre écologique, et un troisième qui comprends les deux.

Pour connaitre la capitale par son histoire, rien de mieux que observer son architecture et ses musées. Les églises de Sao José, de Lourdes et du Carmo illustrent bien les différents styles des constructions selon l’époque et les influences. Les musées de l’art de la Pampulha, de la Minéralogie - dans un état qui a été très riche en or, ainsi que le musée historique de la ville ouvrent les portes de l’histoire de la capitale. Le musée «mineiro» detient une des plus belles collections d’art sacrée coloniale du Brésil.

Pour les amoureux de la nature, le Parc Municipale - le premier de la ville, le Parc des Mangabeiras, projeté par le paysagiste Burle Marx, et le musée d’histoire naturelle et Jardin botanique, préservé avec la végétation native depuis 1930; représentent bien le parcours écolo, fidele à l’exubérante nature brésilienne.

Des attractions à ne pas rater sont la carte postale de la ville : La Pampulha, un ensemble architectonique idéalisé par le président Juscelino Kubischek et projeté par Oscar Niemeyer, qui mérite une journée de tranquille promenade; ainsi que la Place de la Liberté avec son mélange des styles.Visiter le temple des sens, le Marché Municipale, en éprouvant ses odeurs, ses saveurs, dans l’univers de Minas Gerais, sa cuisine et ses produits, ses bonnes «cachaças» et finir sur une table dans un coin en discutant et voyant le mouvement de la vie, c'est parfait !

Bien choisi, c’est juste prendre un vol et venir, encore un coin du pays que va vous accueillir avec plaisir.

sexta-feira, 2 de março de 2012

Une journée inoubliable sur les rails



memoria91.blogspot.com

Plusieurs fois j’ai traversé la France en train, dans un mélange de sentiments. Si enchantée par les champs qui changent à chaque saison, selon l’époque des plantations; par les animaux qui croisent rapidement nos vues, à la recherche de nourriture : des faucons pèlerins, des biches, des lièvres…et cet enchantement nourri un rêve, le rêve que mon pays continent puisse un jour revivre les bons temps où il y avait un projet de maille ferroviaire qui traverserait le Brésil d’un coin à l’autre.

Je partage ce rêve avec d’autres nostalgiques brésiliens qui ont vécu à cette époque là… Moi, je n’avais jamais monté dans un train avant d’habiter ici.

Le seul souvenir que j’ai de cette machine impressionnante c’est à l’âge des 16 ans, quand je visitais une tante dans un village à l’intérieur de l’état de Rio de Janeiro, appelé Rio Claro. Cette petite maison au bord des rails témoignait le passage ponctuel des trains de charge, et j’était émerveillée d’accompagner pendant quelques jours ces simples événements de la vie.

Actuellement, l’état ne s’intéresse malheureusement pas en revigorer et amplifier les lignes qui pourrait raccourcir les distances et favoriser les affaires, le tourisme et les familles.

Notre seul espoir est de, à partir des lignes touristiques, essayer de faire les gouverneurs prendre conscience de l’importance historique de ce moyen de transport et de le reprendre en mains, comme quelque chose que peut devenir priorité dans un très proche avenir.

Sao Paulo propose un ligne touristique qui part de la station Luz, en direction de trois villes: Paranapiacaba, Mogi das Cruzes et Jundiai.
Des parcours écologiques, architectoniques et historiques sont proposés, selon les intérêts et les groupes qui puissent se former. Vous pouvez demander l’orientation de l’équipe du Cicerona Cultura selon le profil du groupe et des intérêts particuliers de chaque un.

A propos des villes visités, le circuit jusqu’à Jundiai, à 60 km de Sao Paulo propose des attractions gourmandes, dans les fermes des fruits qui se trouvent aux environs, sans parler des vues sur la « Serra do Japi » et des promenades qui peuvent être faites et le circuit historique et architectonique.

Le circuit jusqu’à Mogi das Cruzes traverse la nature et tout le bonheur qu’elle transmet… les fleurs et les orchidées, la source du fleuve Tietê et l’architecture du XVII siècle son des attractions à 48 km de la ville de Sao Paulo. Et le dernier circuit proposé jusqu’à nos jours a comme destin la ville de Paranapiacaba, dans un parcours de voyage dans le temps, cette ville candidate à Patrimoine Mondiale de l’Humanité offre aussi, en juillet, le sympa Festival d’Hiver. Des trajets à choisir, à s’inspirer, à rêver…

 Alors, si vous ne pouvez pas faire une des promenades sugerés, l’archive de l’état de Sao Paulo a crée un archive historique virtuel à partir des photos qui documentent les bons temps des rails.

On ne se rends pas compte que plusieurs villes sont nés autour des stations de trains, à l’époque de l’or du café « Paulista ». A partir du site de l‘exposition "Ferrovias Paulistas"  , un parcours pédagogique est proposé aux professeurs et ses élèves, en valorisant l’histoire d’une façon intéressante, favorisant l’apprentissage. Super bien pensé !

J’espère que ces activités puissent faire naitre dans le cœur de ces jeunes ce rêve qui est le mien et d’autres centaines des brésiliens : le rêve de traverser le pays par train, et le connaitre de plus près, leur réalité et leur visage diversifié.