segunda-feira, 27 de fevereiro de 2012

Une Amsterdam de rêve.




Amsterdam est une ville de rêve. La ville que j’ai toujours rêvé. Si je l’avais connue avant d’arriver en France, je ne sais pas si je serais encore ici.
Là bas, on a eu de la chance. Une première semaine du mois d’aout parfaite, une chaleur accueillante et surprenante, avec les histoires de mauvais temps qu’on entendait parler...
D’une minute à l’autre on a pris la décision et on a choisi le train à la place de chercher un vol pas cher pour s’y rendre, car on avait que trois jours pour visiter la ville et voir nos amis.
C’est vrai que, accueillis chez des amis, l’image de la ville est devenue encore plus spéciale…Ils étaient installés dans un quartier un peu retiré du centre ville qui réserve les attractions touristiques. Cependant, les environs de chez eux nous montrait le cœur de la culture hollandaise. Dans ce pays où la bicyclette reine souveraine, j’étais étonnée de témoigner des familles entières dans les remorques des vélos en circulant dans les couloirs qui les sont réservés, avec une joie spontanée, une légèreté…des relations très proches entre les parents et ses enfants, comme je ne vois il y a longtemps.

C’est très sympa d’y aller en famille, car la ville est pleine d’attractions pour tous. Il faut connaître le musée de technologie et sciences, le NEMO, un cargo déjà impressionnant à l’extérieur, et très interactive à l’intérieur, ce que permets aux enfants d’apprendre en s’amusant.
Le zoo Artis en plein cœur de la ville est magnifique, avec des grandes espaces, des arbres ombragés et des animaux très beaux. Réservez une journée pour s’y rendre et se détendre…

Les musées sont superbes, accessibles en plusieurs langues et très variés selon les gouts et les intérêts, il y a une cinquantaine des ces temples de l’âge d’or.
Le Musée Van Gogh, par exemple, possède 500 œuvres du peintre, qui sont exposés peu à peu dans le musée. Les expositions circulent autour des œuvres qui ont influencés son parcours, ses correspondances, enfin, tout l’univers de cet artiste profond.
Un autre musée curieux et unique en son genre est le Tropenmuseum – Le Musée Tropical, qui étudie les cultures et le développement dans les tropiques. L’exposition des cultures est très dynamiques et intéressante.
L’architecture unique décore les maisons avec une touche d’humeur et simplicité très harmoniques, quelque chose qui si marie parfaitement avec la vie quotidienne des familles hollandaises.

L’été s’est montré généreux les trois jours qui se sont suivis, et les journées prolongés sur les pelouses des Parcs de la ville, autour des barbecues, n’avaient pas l’heure de finir, car les parcs restaient ouverts même la nuit.
Les canaux qui croisent pratiquement tout le centre ville imposent un autre rythme, le rythme des eaux, ses marées et ses courants. Les promenades en bateaux nous permettent d’entrer un peu dans ce rythme, et nous laisser balader par les eaux en regardant les hauteurs des maisons hautes et étroites.

Le printemps s’annonce, pourquoi ne pas passer quelques jours des vacances de Pâques là bas ? En famille, entre amis, en amoureux… Même un weekend est suffisant, car les vols ne durent plus que 1 heure et quelque, la moitié du temps que le trajet par train… de toute façon, c’est vraiment un lieu superbe à visiter.

quarta-feira, 22 de fevereiro de 2012

Connexions gourmandes franco-brésiliennes







La cuisine brésilienne signifie, pour le brésilien qui aime la cuisine, une expression de générosité et d'amour. Ainsi que les bons plats de famille français, ils sont fêtés et savourés aux grands repas dominicales qui durent toute une journée. Certainement, il y a eu un moment de l’évolution de la cuisine amoureuse auxquelles les deux pays se sont rapprochés.
Sinon, comment expliquer les similitudes entre le Cassoulet et son cousin très populaire, préparé avec le haricot noir, notre connue "feijoada". Le pot au feu, qui réchauffe les corps et les coeurs très profondément, n'imagine pas que des soupes aussi chaleureuses sont longuement faites avec les boeufs du l'autre coté de l’océan, Et que, en plus, le bouillon peut être un vrai régal et s’appeler "Capelletti au brodo", comme en Italie. Les tourtes et nos "empadas" s'approchent beaucoup, et les farces sont toujours les plus belles découvertes, tant ici comme là bas...Le gigot d’agneaux, un classique de la cuisine française, est aussi un plat réservé aux moments les plus importants au Brésil, comme les fêtes de la fin de l'année et les pâques, liés à des coutumes religieux que, dans nos jours, il n'y a pas grand monde qui reconnait.
Les légumes farcis, différemment, mais aussi bien assaisonnés, ont toujours fait partie des plus belles tables familiales dans ma mémoire; des aubergines et poivrons dont le couvercle étaient des bouts de pains aromatisés à la farce, irrésistiblement parfumés.  Nos "escondidinhos" d'origine de la culture du Nord-est du pays- en traduisant, petits cachés - sont une version formidable du Hachis Parmentier, autant satisfaisant que la version française.
Un autre point en commun, que je trouve en regardant les deux univers, c''est la passion pour la viande. Tous les deux cultures sont, d'une façon générale, passionnés par la viande rouge, soit elle traité avec royauté - des touches de bon sel et poivre, saignant, presque nature;  soit elle généreusement salé et servi dans les "churrascarias", sur des plateaux qui circulent autour des assiettes des fidèles carnivores qui fréquentent les "rodizios" du Brésil, ou se mange à volonté. A part les défilé des viandes, des tables de salades attendent les plus affamés. 
Des exagères à part, la relation avec la nourriture nous approchent et est une invitation très séduisant pour ceux qui s’intéressent par des nouvelles impressions culturelles à travers la gourmandise.
Tout un monde s'ouvre à Sao Paulo, où vous pouvez vous approcher de toutes les cuisines du monde, préparés avec un soin extrême et une fidélité exemplaires. Des très bons restaurants japonais, chinois, portugais, espagnols, libanais, italiens, allemands, et de n'importe quel pays, servent de la bonne cuisine alliés à l'accueil très particulier brésilien, ce qui vous pouvez confirmer vous mêmes. Imaginez votre parcours dans la ville et partagez vos envies avec l'équipe du Cicerona Cultura : elle va transformer une simples promenade dans un voyage inoubliable !    

quinta-feira, 16 de fevereiro de 2012

Le Carnaval : le visage rayonnant d’un pays passionnant.


                             
Cette fête païenne qui est aussi religieuse, commence ce weekend, et comprends une bonne partie du Brésil. Le Carnaval réprésente la survie et l’espoir d’une grande partie de la population, des milliers des personnes se consacrent toute l’année en préparant ces jours (et nuits) radieux de fête.

A Rio de Janeiro, à Bahia, à Sao Paulo et à son intérieur, à Olinda et à Recife, presque toutes les capitales et même les petits villages aiment cette fête qui est, surtout, la décontraction musicale d’un pays qui est né pour la musique.

Dans les variations de la samba, vous allez s’émerveiller avec la pureté et affinité atteints, développés avec perfection à Sao Paulo et Rio de Janeiro. Regarder les défilés des écoles de samba n’est pas seulement le passage au étonnement devant les couleurs et la beauté spectaculaires, mais aussi l’écoute pure d’un travail exhaustive. Les quartiers de grandes villes se rencontrent d’une façon différente, dans la joie enveloppés d’animation, même si entourés d’un esprit compétitif. A Sao Paulo, les défilés se passent au Sambodromo do Anhembi le vendredi et samedi soir, et à Rio de Janeiro, la Marquês de Sapucai reçois les Ecoles de Samba le dimanche et lundi soir, toujours à partir de 21 heures, montré dans toutes les télévisions du pays. Toute cette ambiance vaux déjà le prix d’un vol qui, à cette époque est un peu abusif.

Les petites villes de tout le pays fêtent dans la rue, improvisent des défilés, en chantant les "marchinhas" des chansons du début du siècle qui seront toujours chantés, car se sont transmis des générations en générations. Des balles aux clubs réalisent des fêtes qui traversent la nuit, jusqu’au lever du soleil, où il faut toujours faire attention à mélanges dangereuses et illégales… Cela compte aussi pour les fêtes des rues.

Il y a toujours, pendant ce période, une campagne de sensibilisation du sexe sur, avec la distribution des condoms dans quelques villes, on peu faire la fête mais avec responsabilité...

Les villes de Recife et Olinda, au Nord-est du pays, ont maintenu les traditions du Carnaval de rue, dans les défilés déguisés très animés organisés par les habitants des ces villes, animés par le « frevo », pendant trois jours entiers… De la préparation physique est très recommandée !

La même préparation est souhaitable aux touristes du Carnaval de Salvador de Bahia : il faudra suivre les chars plein de stars de la musique brésilienne en jouant de « axé », rythme qui plait surtout les plus jeunes.

Et pourquoi pas prolonger le voyage en se promenant dans les plages de la cote, dans les parcs naturels préservés partout… En planifiant votre voyage, c’est plus simple de retrouver des vols pas chers, et un peu plus de tranquillité dans un période si intense de ce pays immense !

Bon carnaval !

domingo, 12 de fevereiro de 2012

La surprenante fête de Carnaval à Sao Paulo.


                                                   http://www.spturis.com/carnaval/2012/

Pendant qu'on attends la fin du froid, les grandes villes du Brésil se préparent pour la plus grande fête du pays : le Carnaval. Il est certain que dans quelques capitales le fête a déjà commencé, les villes du Nord-est du pays commencent la fête au moins une semaine avant et finissent une semaine après. L'esprit se prépare toute l'année pour cette fête spéciale. Mais vous allez vous surprendre avec la suggestion du guide routard, qui recommande le Carnaval authentique de Sao Paulo que continue encore populaire et au même temps accueillant pour ceux qui aiment les traditions chaleureuses brésiliennes. 

Entre les 17 et le 22 février, en pleine vacances d'hiver parisiennes, vous avez un large choix de loisir, en groupe, en famille, en couple pour fêter la Saint Valentin, si vous aimez cette fête ou pas.
Le défilé des écoles du premier groupe auront lieu le vendredi soir - les écoles de samba Camisa Verde e branco, Império Serrano, X9 , Vai Vai, Rosas de Ouro, Tucuruvi e Mancha Verde - à partir de 19h30; ainsi que le samedi soir, avec le défilé de Dragões, Pérola Negra, Mocidade Alegre, Águias de Ouro, Vila Maria, Gaviões da Fiel e Tom Maior. Le sambodromo do Anhembi va trembler même s'il pleut, car la pluie n'a jamais empêche l'animation de cette fête. L'équipe du Cicerona Cultura a certainement une proposition intéressante pour vous présenter, n'hésitez pas à les contacter.
Pour ceux qui cherchent des attractions plus tranquilles, plusieurs endroits seront ouverts pendant les jours fériés, quand c'est beaucoup plus calme de se promener, car il n'y a pas beaucoup de monde. Entrée libre à la bibliothèque Mario de Andrade, à la rue de la Consolaçao; à La Maison des Roses, en pleine avenue Paulista; les musés d'art contemporaine(dans la cité universitaire) et d'art moderne (au parc Ibirapuera).

Le carnaval se prolonge aussi dans les rues de la ville, quand ce qu'on appelle "blocos" de quartier s'organisent pour danser, chanter et jouer de la samba.

Depuis les années 70, ces organisations sont synonyme d'animation et décontraction, à chaque année plus organisées. Ils ont commence à défiler déjà le weekend dernier, et vont remplir les rues de joie même pendant la semaine : le 13 février à 21h, la Banda Redonda dans le quartier de la Consolaçao; la Banda do Candinho le 15 février, aussi à 21h dans le quartier italien du Bixiga; ainsi que le bloco Umes Caras Pintadas, à 19h. Déjà en plein Carnaval, le vendredi 17, à 21h la Banda do Trem Eletrico defilera dans le quartier de la Consolaçao. Je vous conseille vivement de chercher les conseils de guides Cicerona, qui pourront aider à choisir le meilleur parcours à faire pour marquer pour toujours ces jours de Carnaval dans cette ville écletique.