sexta-feira, 29 de julho de 2011

Olinda, encore une surprise brésilienne.




Oh, linda terra para se implantar uma vila !

Quelle belle terre pour se fonder une ville !

Il était une fois une ville appelé comme ça : Olinda. Cette belle terre, comme disait déjà son premier fondateur qui a beaucoup investi pour le développement du lieu, reste encore si belle et charmante comme dans les années qu’elle était capitale de l’état du Pernambuco.

Une terre pleine de bonheur, avec le soleil qui règne sur une mer tranquille et transparente, qui attends les fêtes très fréquentes. Là où une partie de mon cœur bat, chez mes parrains, j’ai découvert un autre rythme de vie, une autre température, une autre odeur.

La grande voisine capitale, la ville de Recife a pris heureusement son poste et a progressé avec ses bâtiments au bord de la mer, comme s’il voulaient toucher le ciel. Dommage, car ils ont crée quelques ombres sur les coraux naturels qu’y existent et embellissent la coté.

Olinda a échappé à ce progrès désordonné, et a gardé le charme et la beauté de ses constructions, déclaré il y a trente ans patrimoine mondiale de l'Humanité par l'Unesco. Son centre ville a su restaurer des bâtiments d’extrême beauté très caractéristique de la colonisation portugaise, et même de l’époque qu’elle a été sur le domaine hollandais.

Depuis environ vingt ans que je prends des vols visiter mes parrains, je suis toujours enchanté par son atmosphère. L’odeur des algues et l’air marin presque touchable quand on passé au bord de la mer, envahissent mon esprit et remplissent mon cœur de joie. Des apéritifs pris entre amis dans des petits restos avec cette brise inoubliable n’ont jamais abandonnés mes meilleurs souvenirs. Je me souviens jusqu’aujourd’hui de la première fois que je suis monté jusqu’à l’église Sé, et des toutes les impressions si précieuses reçues. La fatigue causé par l’effort de la monté a été fortement compensé par la superbe vue de la mer et de la capitale, à seulement six km de distance. La musique locale, qui font la joie des amateurs du Carnaval, emballaient le coucher du soleil et les tentes d’artisanat .

Et le petit creux qui est apparu a été rempli par la incomparable Tapioca. Une jolie et forte dame noir, habillée en blanc, dont le sourire contrastait avec la beauté brillante de sa teinte; préparait rapidement cette merveilleuse gourmandise, réchauffant la farine de manioc en ajoutant comme farce un fromage locale appelé « queijo coalho », de la noix de coco râpée et du lait concentré sucré… une délice ! Pas de soucis pour les calories, car on peut danser le forro pendant quatre heures de suite et les a brulées toutes…

Olinda n’a pas besoin de pub, c’est une ville vraiment unique, de caractère. Même le Carnaval arrive d’une forme qui garde les traditions de poupées géantes sans laisser de s’actualiser. Les défilés très variés, le rythme du Frevo et Maracatu, pendant trois jours et trois nuits laissent le plus animés complètement épuisés.

Il n’y a pas d’époque qu’elle ne soit pas belle et agréable. Si vous cherchez un vol pas cher pour venir en famille, je vous conseille la tranquillité et la brise du mois de juillet et aout, mais si vous voulez fuir de l’hiver européen, et en profiter du Carnaval, venez en février ou mars, vous n’allez pas regretter !

quinta-feira, 21 de julho de 2011

Sao Paulo de lumière.

Qu’est-ce qu’on peut imaginer retrouver dans un quartier appelé Lumière, en plein centre ville de Sao Paulo ? L’équipe du Cicerona Cultura a préparé une promenade qui propose la visite à les endroits le plus illuminés du coin, plein des surprises et plaisirs à découvrir…               Photo Fernando Cohen
Le Musée d’Orsay a inspiré un endroit à Sao Paulo, en plus, dans le quartier de la Lumière… La Sale Sao Paulo a été crée dans une station de train, la station Julio Prestes, ainsi que le Musée d’Orsay. Mais l’art qu’on y trouve n’est pas dans les toiles et sculptures, plutôt une nourriture pour d’autres sens : à travers de la musique. Je ne cacherai plus aucun mystère : la Sale Sao Paulo est un des endroits avec une des meilleurs acoustiques du monde, une sale que reçoit des concerts de musique classique, et qui est aussi le centre de l’orchestre symphonique de Sao Paulo. Rien que la voir pour décrire telle splendeur.
C’est vraiment une opportunité d’admirer les stations restaurés au centre ville, et la station Luz qui a été construite en style victorien est un exemple à connaître, un carrefour qui traverse la ville et transporte milliers de « paulistanos » vers leurs travail ou chez eux, d’un coin à l’autre de la ville.
La Pinacoteca juste à coté est aussi à visiter, avec ses ouvres d’arts contemporaines et une dizaine d’expositions, un musée éclectique et dynamique qui certainement peut plaire tous les gouts, de ceux qui aiment les sculptures ou les toiles.                                               

Mais finalement si l’art ne vous intéresse pas autant, n’est pas votre sorte de nourriture préféré, l’art tout simple, la promenade vous réserve quelques petites surprises… l’art culinaire, mon cher !
Sao Paulo a été le centre de la caféiculture au Brésil, avec son apogée et sa décadence, alors, pourquoi pas ne prendre un petit café au Café du Musée, accompagnée d’une « empadinha »,une surprise fondant à la farce au poulet ? C’est trop peu pour votre gourmandise ? Les connaisseurs du coin indique une « Galinhada do Bahia »  qui vous régalera certainement… Les conseils sont donnés, maintenant c’est à vous d’en profiter !

quinta-feira, 14 de julho de 2011

Un petit bout flamand.


La meilleure façon de connaître un endroit, c’est d’être présentée par un natif, je veux dire, quelqu’un qui connais un coin très particulièrement, parce ce qu’il est né ou il a grandi là -bas. C’était notre cas à propos de Gand, la deuxième plus grande ville belge, où on a passé un weekend entre amis. Même si juste une journée de promenade a été très peu, les impressions vécus et partagés entre nous dans cette ville sympathique nous ont marqués pour toujours.
Mon amie belge représente pour moi la dimension que peut prendre la diversité. Une personne discrète, mais toujours enthousiaste, qui parle cinq langues couramment, mais qui connais l’importance de se conserver les traditions de sa culture. Même en parlant flamand avec ses enfants, en valorisant ses coutumes, ne les a jamais empêché de s’enrichir avec les autres cultures. Cette famille multiculturelle a habité déjà en France et est en Allemagne en ce moment.

Il y a environ 6 ans, l’aventure a commencé avec le voyage en train, quand on a couru comme des fous pour ne pas perdre la connexion très tôt le samedi matin. Ma petite famille, avec nos petits garçons de 7 et 5 ans, et nos amis avec ses deux petits de 2 ans et 2 mois. Bien installés dans le train, le voyage s’est passé très tranquillement. A l’époque, le voyage par train n’était pas très cher, mais j’en suis sûre qu’il est possible de trouver un vol pas cher si vous vous planifiez en avance.
Même pour les réservations en hôtel, l‘avance garantit des bons prix. Dans notre cas, on avait la chance de pouvoir s’héberger avec nos amis, dans leur propre maison de famille, aux environs du centre ville.
C’était magnifique la vision de cette toute petite maison, presque enchantée telle était son charme. La surprise était alors cachée à l’intérieur : les pièces étaient disposés en plusieurs étages, si étroite elle y était. A l’étage, la salle avec une très mignonne cheminée, et juste à coté, la cuisine, pleine de lumière grâce à son toit transparente, d’où on pouvait admirer la lune et les étoiles. Une toute petite échelle ramenait à une chambre et la salle de bains, et encore une autre au grenier très spacieux ou je me suis installée avec ma famille.
Toute la journée du samedi a été pleine de découvertes. Vous découvrirez Ghent, ou Gand, ou Gent, peu importe, dans ses charmantes ruelles et ses églises du moyen âge; vous pouvez circuler et prendre du temps dans ces charmants petits restos, ou même admirer l’unique forme des ses constructions, qu’on dirait des escaliers qui montent et descends, comme si on pouvait pressentir une ordre naturelle des choses, des hauts et bas que nous tous passons dans nos vies. Pour nous, le plus, était de partager ses moments avec des chers amis, en prenant des verres, en s’arrêtant entre les fontaines et les envies des enfants et ses petites curiosités.
La soirée était très agréable, et nous a conduit dans un resto exotique, qui servait toute sorte des viandes qu’on peut imaginer, ce qui a intéressé même les enfants. La nuit nous invitait à une petite promenade, cette fois ci, avec le changement de lumière qui valorisait le contour naturel des constructions et donnait des ailes à l’imagination.
Le lendemain matin était surprenante, avec l’attitude des enfants en préparer eux mêmes le petit déjeuner, en cherchant les utiles et gourmandises tranquilles dans la cuisine, comme s’ils était chez nous. Une voyage inoubliable et très enrichissante, ce qui prouve qu’un weekend bien vécu est plus significatif qu’un mois entier de vacances…
Ce dimanche là, on a repris le train bien fatigués (là un vol allait très bien, car on pourrait même rester un peu plus entre amis), mais bien heureux avec les instants vécus et partagés.

quarta-feira, 6 de julho de 2011

Qui n’a pas une place préférée ?

A l’ombre d’un arbre, on peut bien se tranquilliser. Sur un banc, on entend les oiseaux, on sent le vent, on est bien. Qui n’a pas une place préféré, un lieu aimé pour se reposer ? Pour lire un livre, réfléchir, discuter. Avec ou sans une petite chapelle ou une église, il y a des places autant qu' il y en a des gens sur les villes.

A Sao Paulo on trouve même une concentration d’elles, fait qui a donné l’idée de créer une promenade dirigé à  connaître quelques unes, avec ses particularités par l’équipe du Cicerona Cultura.

Parcourir 500 ans d’histoire dans un tout petit coin du centre ville. La place Clovis est aujourd’hui presque intégré à la Place da Sé, plus connu par la station de métro et la cathédrale, mais registre dans ses bancs et sur la mémoire des ceux qu’y ont vécu un temps ou les Places étaient des lieux de rencontre et du bien manger, pas seulement un point de référence. Avec la modernisation, des démolitions mal gérées on presque effacé des certains coins, qui restent seulement dans la mémoire des gens du quartier, par exemple le ciné-thêatre Saint Hellène. 

A propos de la Cathédrale de la Sé, nous pouvons admirer l'un des cinq plus grands édifices religieux de style gothique  avec toute la beauté et splendeur de ce lieu de prière.

Au palais du Conte de Sarvedas, restauré après un état de ruines, nous pouvons voir des jolies vitraux et des délicats travaux manuels sur les bois, un bâtiment ancien entouré de bâtiments modernes. Aujourd’hui il abrite le Musée de la Justice de l’état de Sao Paulo, qui peut être visité de lundi à vendredi.

Au patio du collège, nous revivons la naissance de la ville avec l’instalation de jésuites, là ou l’histoire de la ville a commencé.

Revivre l’histoire de la ville au centre le plus mouvementée de l’Amérique Latine.